Suivi médical, vie quotidienne et vêcu de jeunes adultes après transplantation hépatique dans l’enfance

2008 ◽  
Vol 192 (8) ◽  
pp. 1641-1656
Author(s):  
Jean-Paul Dommergues ◽  
Alexia Letierce ◽  
Olivier Bernard ◽  
Dominique Debray
2008 ◽  
Vol 15 (5) ◽  
pp. 855-856 ◽  
Author(s):  
J.P. Dommergues ◽  
A. Letierce ◽  
C. Descots ◽  
D. Debray

2009 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 19-54 ◽  
Author(s):  
Christine Thoër ◽  
Janine Pierret ◽  
Joseph Josy Lévy

Résumé La progression de l’utilisation « non médicale » des médicaments, que ceux-ci soient disponibles avec ou sans ordonnance, apparaît aujourd’hui comme une préoccupation d’importance croissante dans le champ de la santé publique. Cette tendance, qui touche particulièrement les adolescents et les jeunes adultes, englobe une multitude de pratiques, allant du détournement à l’automédication en passant par « l’abus » et le dopage, pratiques qui seront définies ici et qui peuvent conduire au développement d’une dépendance au médicament. S’appuyant sur une revue de la littérature en sciences sociales et en santé publique, cet article met en évidence les problèmes que soulève la catégorisation des pratiques, notamment parce que les frontières entre les usages licites et illicites du médicament semblent de plus en plus brouillées dans les sociétés contemporaines. L’utilisation « non médicale » du médicament s’inscrit dans un contexte social marqué par un plus grand accès aux produits pharmaceutiques et aux savoirs qui s’y rapportent ainsi que par une tendance à la banalisation du recours chimique dans la vie quotidienne. Cet usage de l’assistance chimique à la vie quotidienne soulève la question de l’autonomie du sujet en santé et du rapport des individus à l’expertise médicale.


2006 ◽  
Vol 9 (2) ◽  
pp. 134-140 ◽  
Author(s):  
Yves Lecomte

Résumé Pour la première fois une génération d'individus (les jeunes adultes de 18-35 ans) ayant des problèmes psychiatriques sérieux ne peut recourir à l'asile pour se protéger des stress de la vie quotidienne. Elle doit, à l'aide de l'équipe soignante, des structures intermédiaires et de la médication, compter sur ses apprentissages pour affronter les vicissitudes de la vie, conformément à la politique de désinstitutionnalisation des années 60. Mais, comme ces personnes sont très vulnérables aux stress (elles souffrent de psychose et de troubles de personnalité), cela ne se fait pas sans heurts. Et, comme elles constituent environ 10 % de la population qui consulte en psychiatrie tout en accaparant 40 % du temps des thérapeutes, elles représentent un sérieux défi pour les équipes soignantes. Vu l'acuité de ce problème, nous avons pensé qu'il serait intéressant, à l'aide d'une revue de littérature de connaître davantage ces jeunes. Pour ce faire, nous essaierons de répondre dans cet article aux questions suivantes : qui sont ces jeunes ? Quel est leur avenir ? Quelle est la dynamique sous-jacente à leur comportement? Quels programmes de soins leur offre-t-on?


2009 ◽  
Vol 38 (9) ◽  
pp. 1319-1324 ◽  
Author(s):  
Amélie Cannesson ◽  
Emmanuel Boleslawski ◽  
Nicole Declerck ◽  
Philippe Mathurin ◽  
François René Pruvot ◽  
...  

2006 ◽  
Vol 24 (1) ◽  
pp. 101-120 ◽  
Author(s):  
Christiane Morin ◽  
Catherine Briand ◽  
Pierre Lalonde

Résumé Les personnes atteintes de schizophrénie présentent des difficultés d'adaptation et de gestion des situations problématiques de la vie quotidienne, diminuant ainsi leurs capacités d'ajustement social (coping). Plusieurs composantes, comme les biais et les déficits cognitifs, en association avec la symptomatologie, perturbent les habiletés pour la résolution de problèmes. Dans la démarche de réadaptation, il est essentiel de tenir compte de l'ensemble de ces caractéristiques et ainsi d'offrir une approche d'intervention intégrée. Cet article présente une approche d'intervention au niveau des habiletés de résolution de problèmes qui tient compte des connaissances contemporaines sur la schizophrénie. Le fonctionnement de la Clinique Jeunes Adultes (schizophrénie) de l'hôpital Louis-H. Lafontaine est présenté et sert de référence.


1998 ◽  
Vol 65 (1) ◽  
pp. 20-29
Author(s):  
Anne Bouchard ◽  
Renée Bourbonnais ◽  
Sylvie Tétreault

Le travail joue un rôle primordial dans la vie de tous les individus. Toutefois, il demeure inaccessible pour certains jeunes adultes vivant avec une déficience physique. Les données recueillies lors de cette recherche ont permis de décrire 67 jeunes adultes présentant une infirmité motrice cérébrale. Les variables socio-démographiques, l'état de santé, le niveau d'autonomie dans les activités de la vie quotidienne et le statut de travail ont été examinés. Des proportions ont été calculées et ont été comparées pour chacune des catégories de ces variables. De plus, les variables ayant un lien avec le statut de travail ont été mises en évidence. Ces variables, soit l'âge, l'âge au premier emploi, le type d'école fréquentée, la capacité de remplir soi-même le questionnaire, la présence de problèmes de santé et la majorité des activités de la vie quotidienne, semblent toutes reliées à l'autonomie de la personne. Enfin, il apparaît que les résultats obtenus concordent en général avec ceux retrouvés dans la littérature c'est-à-dire que les mêmes variables montrent un lien avec le travail.


2004 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 180-194 ◽  
Author(s):  
Pascale Dufour

Résumé À partir d’entrevues menées au Québec et en France, cet article analyse les processus de construction et de reconstruction identitaire de personnes sans emploi. L’espace social dans lequel vivent les jeunes adultes rencontrés n’est pas un espace homogène. Cependant, il est possible de repérer des communautés de croyances, où les personnes partagent une situation et un « univers de croyances » avec d’autres sans-emploi. Au total, quatre grandes formes de récits ont été repérées, indépendamment de la société considérée. À côté des « figures » plus connues de sans-emploi désaffiliés, on trouve des récits de résistances quotidiennes qui correspondent à de véritables actes politiques.


2007 ◽  
Vol 32 (1) ◽  
pp. 159-179 ◽  
Author(s):  
Emmanuel Stip ◽  
Juliette Sablier ◽  
Amir Ali Sephery ◽  
Stéphane Rivard ◽  
Chantal Cloutier ◽  
...  

Dans cette étude exploratoire, les auteurs examinent les différentes évaluations ergothérapiques et neuropsychologiques utilisées pour analyser qualitativement et quantitativement les déficits rencontrés par les patients schizophrènes. Les auteurs estiment qu’il est nécessaire d’explorer davantage leurs répercussions dans la réalisation des activités de la vie quotidienne (AVQ) et domestique (AVD) et ainsi, ont voulu vérifier si la distinction entre deux niveaux d’autonomie fonctionnelle pouvait se traduire en différences au plan cognitif et clinique chez (25) 23 patients inclus dans un programme pour jeunes adultes (schizophrenia spectrum DSM-IV criteria) à Montréal. Ces patients avaient l’opportunité, au sein du programme clinique, de se soumettre à des évaluations d’ordre neuropsychologique ainsi qu’à des évaluations offertes par le service d’ergothérapie grâce à un outil très fréquemment utilisé par les ergothérapeutes intitulé Assessment of Motor and Process Skills (AMPS). L’objectif de cet article est de conjuguer deux regards possibles, issus de deux disciplines différentes, sur une activité très courante pour les êtres humains, à savoir « faire la cuisine », chez des personnes souffrant de schizophrénie, dont le fonctionnement dans la vie quotidienne est perturbé.


2008 ◽  
Vol 192 (8) ◽  
pp. 1657-1668
Author(s):  
Françoise Stoll-Keller ◽  
Samira Fafi-Kremer ◽  
Philippe Wolf ◽  
Michel Doffoël ◽  
Thomas Baumert

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