scholarly journals Protas, pažįstantis save patį: dvynio sutiktuvės? Augustino de Trinitate

2019 ◽  
Vol 16 ◽  
pp. 7-17
Author(s):  
Gintarė Kurlavičiūtė
Keyword(s):  
2020 ◽  
Vol 23 (2) ◽  
pp. 423-446
Author(s):  
Sylvain Roudaut

Abstract This paper offers an overview of the history of the axiom forma dat esse, which was commonly quoted during the Middle Ages to describe formal causality. The first part of the paper studies the origin of this principle, and recalls how the ambiguity of Boethius’s first formulation of it in the De Trinitate was variously interpreted by the members of the School of Chartres. Then, the paper examines the various declensions of the axiom that existed in the late Middle Ages, and shows how its evolution significantly follows the progressive decline of the Aristotelian model of formal causality.


2021 ◽  
Vol 82 (2) ◽  
pp. 332-350
Author(s):  
Reginald M. Lynch

This article examines the influence of Augustine’s De Trinitate 9–14 on the concept of foolishness that Anselm develops in the Monologion and Proslogion. Building on Augustine’s understanding of the soul as trinitarian image, I argue that Anselm effectively extends the implications of Augustine’s theological anthropology in such a way that foolishness appears as a denial of the necessary teleological implications of this same trinitarian psychology.


2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 2-3
Author(s):  
E. Peyron

La prise en charge du sujet alcoolodépendant, utilisant les techniques de thérapie cognitivo-comportementales (TCC) a suivi l’évolution de ces techniques. Historiquement, les TCC ont évolué selon trois vagues. La première vague est comportementale et s’inspire directement des théories de l’apprentissage. On cherche dans ce cas à aider le patient à modifier son comportement. La deuxième vague des TCC a été centrée sur les cognitions. Le but du travail psychothérapique était d’aider le patient à favoriser des pensées alternatives lors d’une situation à risque. Depuis les années 2000, est née une troisième vague. Celle-ci se centre sur les relations entre la cognition et l’émotion [4]. L’hypothèse est que les troubles psychiques résulteraient d’une suppression erronée d’information émotionnelle. Par conséquent, la thérapie de la mindfulness – de la pleine conscience –, c’est à dire de l’expérience vécue pleinement de l’ici et maintenant, s’intéresse au contexte des expériences psychologiques. Les premiers programmes de thérapie de la pleine conscience ont été développés pour le sujet souffrant de maladies ou de douleurs chroniques pour améliorer leur qualité de vie [5]. Pour le sujet alcoolodépendant, un programme intégrant la pratique de la mindfulness à la prévention de la rechute (Mindfulness-Based Relapse Therapy: MBRT) [3,6,7]. Ce programme thérapeutique, que nous décrirons, s’appuie sur huit séances hebdomadaires. Nous avons aussi utilisé le programme classique de la mindfulness chez le sujet alcoolodépendant. La thérapie de la pleine conscience nous paraît intéressante à la fois dans la gestion du craving, mais aussi dans la gestion des émotions. Enfin, nous chercherons aussi, à partir des lectures des Stoïciens, d’Augustin (De Trinitate) [2], et d’Arendt (La vie de l’esprit) [1] à expliquer comment la pleine conscience est acceptation, acceptation d’un ordre qui ne dépend pas de nous, mais acceptation constitutive de notre liberté. L’acceptation est donc éthique.


1965 ◽  
Author(s):  
Thomas Aquinas ◽  
B. Decker
Keyword(s):  

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