Classe sociale : un terme fourre-tout ? Fréquence et utilisations des termes liés à la stratification sociale dans deux revues (Sociologie du travail et la Revue française de sociologie)

1996 ◽  
Vol 38 (2) ◽  
pp. 195-207
Author(s):  
Yannick Lemel ◽  
Marco Oberti ◽  
Frédéric Reillier ◽  
Florence Traoré
1992 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 491-497 ◽  
Author(s):  
Georges Benguigui ◽  
Antoinette Chauvenet ◽  
Françoise Orlic

1962 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
pp. 1-14 ◽  
Author(s):  
Suzanne Keller ◽  
Marisa Zavalloni
Keyword(s):  

1989 ◽  
Vol 54 ◽  
Author(s):  
J. Reh ◽  
N. Lust

Des  mesurages des caractères morphologiques, biométriques et analitiques, ainsi  de processus de croissance ont été exécutés dans deux fourrés de hêtre, issus  d’une régénération naturelle dans la forêt de Soignes.     Le but de la recherche était de caractériser les brins de hêtre en fonction  de leur âge et de l’étage social auquel ils appartiennent.     Les résultats permettent de conclure que les fourrés sont d’une bonne  qualité et qu’ils descendent d’une provenance convenable. Ils permettent aussi  de mettre en graphique les arbres modèles de chaque groupe d’âge et de chaque  classe sociale.


1982 ◽  
Vol 23 (2) ◽  
pp. 329
Author(s):  
Jean-René Tréanton ◽  
François Gresle ◽  
Jean-Rene Treanton ◽  
Francois Gresle
Keyword(s):  

2005 ◽  
Vol 40 (3) ◽  
pp. 9-23 ◽  
Author(s):  
Lise Noël
Keyword(s):  

Le propos de cet article est d'ébaucher une problématique de l'intolérance et de l'oppression par la voie de deux objectifs : soulever la question des causes de ces phénomènes et essayer de déterminer s'il existe une oppression fondamentale. Un tour d'horizon des causes nous apprend très vite que les « explications » fournies décrivent beaucoup plus un enchaînement qu'elles ne remontent aux origines. Déterminer la part de la « nature humaine » dans les rapports de domination, par exemple, est un défi insoluble. Théoriciens et gens d'action gagnent donc à se pencher sur le comment plutôt que sur le pourquoi de l'intolérance. En ce sens, on peut se demander s'il est une oppression plus fondamentale que les autres. Et en effet, parce qu'on ne peut en changer, celle qui porte sur l'identité est plus essentielle que celle qui s'articule autour des manières de penser ou d'agir. Or, l'analyse comparée permet de conclure que, parce qu'ils décuplent tous les autres, les rapports de domination fondés sur le sexe sont, non pas plus fondamentaux, mais plus universels que ceux qui reposent sur l'âge, la classe sociale, la condition physique ou mentale, l'ethnie / « race » ou l'orientation sexuelle.


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