LAW ART

Il saggio vuole riflettere su un autore che, sebbene negli ultimi anni abbia conosciuto una riscoperta sia in Francia che in Europa, rimane, soprattutto in Italia, poco noto e sottovalutato. L’opera di Romain Gary invece si presta più di altre a essere esaminata con la lente del giurista e dello storico, attenta a scrutare nelle pagine romanzesche istanze legate al diritto, alla libertà e alla giustizia. La Resistenza vissuta e narrata da Gary attraverso i suoi numerosi alter ego letterari rappresenta un momento etico e pedagogico, mai retorico, di lotta per il diritto e per la memoria.

Albert Cohen y Romain Gary «De Profundis»: del «mal de mère» al «mal de fils» en "Le Livre de ma mère" y en "La Promesse de l’aube"

En primer lugar, centraremos nuestro interés en definir el “mal de hijo” de Albert (A. Cohen, Le Livre de ma mère) y de Romain (R. Gary, La Promesse de l’aube), tras haber constatado que estos remiten respectivamente a un “mal de madre” y a un arquetipo materno de la madre. Dado que el “mal de hijo” se manifiesta a nivel psicológico y conductual, se abordará en la segunda parte del artículo las principales características del perfil actitudinal y conductual de Romain y Albert en relación con sus respectivas madres y amantes. A tal fin, se analizará la estructura profunda del ego de cada narrador desde una perspectiva que combina el psicoanálisis, la mitología y la filosofía.

Les Inversions de l’héritage littéraire entre Eric-Emmanuel Schmitt et Romain Gary

A travers un jeu de reflets intertextuels et d’inversions diégétiques dans « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran » (2001), Eric-Emmanuel Schmitt rend hommage à Romain Gary et à « La Vie devant soi » (1975). Dans cet article, nous explorerons l’héritage littéraire qui lie ces deux romans et les divergences esthétiques qui les différencient et créent des mondes inversés. Chez Gary, le jeune orphelin Mohammed devient Moïse, chez Schmitt, Moïse devient Mohammed. Chez les deux écrivains, l’orphelin demeure au centre, refuse son parent biologique et adopte un parent qui partage ses valeurs humanistes. Alors que « La Vie devant soi »met en lumière la complexité de la mémoire, l’indicibilité du traumatisme et la richesse de la subtilité langagière, « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran» souligne la force libératrice de l’oubli, la possibilité de la guérison et la joie de la simplicité. Au fond, ces deux œuvres représentent un plaidoyer de l’amour et de l’empathie qui réunissent les êtres séparés par la race et la religion.