santé de la population
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Author(s):  
José Valdeci Almeida Gitirana ◽  
Rosa Maria Batista Pinheiro da Fonseca ◽  
Fábio Marmentini Piloneto ◽  
Luis Felipe Gaia Bevilaqua ◽  
Ingrid de Assis ◽  
...  

Actuellement, les politiques publiques, les actions gouvernementales et les différents programmes impliquant l’éducation sanitaire (ES) sont mis en œuvre en faveur de la santé de la population. En ce qui concerne le thème de la ES, il s’agit d’un thème à multiples facettes, convergeant vers diverses conceptions personnelles, que ce soit dans le domaine de l’éducation ou de la santé, qui peuvent entraîner des compréhensions divergentes. En raison de la complexité du thème, le problème survient en raison du manque de compréhension de ce qui est réellement la ES face à la population, ce qui dissout l’importance de la ES pour les mesures préventives contre différentes maladies, ce qui génère un coût budgétaire élevé en santé publique. Dans ce contexte, cet article a pour question principale : comment l’éducation sanitaire peut-elle contribuer à la prévention des maladies dans la population ? L’étude visait à présenter l’ES pour la prévention des maladies (PD), en abordant ses concepts, ainsi qu’en soulignant les bases juridiques qui assurent l’ES à la population. À cette fin, l’étude a été menée par le biais d’une revue de la littérature par le site de recherche « Google Scholar », « Scielo » et « PubMed ». Par le biais des descripteurs : Éducation sanitaire; L’éducation sanitaire en tant que prévention des maladies; éducation sanitaire pour la population, où des études ont été choisies qui présentaient les ES axées sur la PD. Il est conclu que les ES sont l’éducation à la connaissance de soi et à la réflexion sur leur propre santé, ainsi que la pleine conscience que quelque chose ne va pas, attribuant la réflexion critique du sujet concernant leurs habitudes et leurs mesures préventives. Il est appliqué à travers le programme scolaire de l’école primaire ainsi que par les programmes gouvernementaux dans les centres de santé, afin d’éduquer la société à sensibiliser aux mesures préventives et à promouvoir une meilleure qualité de vie, empêchant ainsi la propagation des maladies.


2021 ◽  
Vol 82 (5) ◽  
pp. 543
Author(s):  
O. Berriche ◽  
M. Belkhiri ◽  
S. Arfa ◽  
H. Hlel ◽  
O. Jomaa ◽  
...  

2021 ◽  
Vol 15 (3) ◽  
pp. 860-868
Author(s):  
Namory Keita ◽  
Raphael Dore ◽  
Aboubacar Hady Toure ◽  
Kerfalla Kourouma ◽  
Mamadou Cellou Balde

L’étude porte sur la propagation du Lyssavirus chez les petits mammifères dans la Préfecture de Kindia (Basse Guinée) a été réalisée entre avril 2015 et mars 2016 dans les différents biotopes (Maisons habitées, Forêts-Buissons, Champs agricoles, Entrepôts et Berges) et qui a pour objectif: Contribuée à l’amélioration de l’état de santé de la population. Pendant cette période d’étude, 412 rongeurs repartis en 12 espèces ont été capturées à savoir le rat d’herbe-Arvicanthis rufinus, les rats-Cricetomys gambianus, les rats-Crocidurinae spp., les souris rayées-Lemniscomys striatus, Lophuromys ansorgei, Lophuromys sikapusi, le rat à mamelles multiples-Mastomys spp., souris de maison-Mus musculus, Pelomys fallax, le rat de forêt-Praomys rostratus, le rat noir-Rattus rattus et le Malacomys edyardsi spp. Les plus répandus sont les Mastomys, Rattus rattus, Mus musculus et Cricetomys gambianus. En saison sèche, le nombre de rongeurs capturés dans la préfecture de Kindia a atteint 292 (71%) contre 120 (29%) rongeurs en saison pluvieuse. Pour des fins de recherches virologiques, le cerveau de 221 rongeurs a été prélevé et analysé parmi eux, 18 (8%) ont été trouvé porteurs de l’ARN de Lyssavirus. English title: Spread of Lyssavirus among small mammals (Muridae and Soricidae) in Kindia prefecture, Republic of Guinea (Lower Guinea) The study focuses on the spread of Lyssavirus among small mammals in the Prefecture of Kindia (Lower Guinea) was carried out between April 2015 and March 2016 in the different biotopes (inhabited houses, Forests-Bushes, Agricultural fields, Warehouses and Banks) and which has for objective: Contributed to the improvement of the state of health of the population. During this period, 412 rodents were caught in 12 species including the grass rat-Arvicanthis rufinus, the Cricetomys gambianus-rats, the Crocidurinae spp rats, striped mice Lemniscomys striatus, Lophuromys ansorgei, Lophuromys sikapusi, the multiple-teat rat-Mastomys spp., house mouse-Mus musculus, Pelomys fallax, forest rat-Praomys rostratus, black rat-Rattus rattus, and Malacomys edwardsi spp. The most common are: Mastomys spp., Rattus rattus, Mus musculus and Cricetomys gambianus. In the dry season, the number of rodents caught in the prefecture of Kindia reached 292 (71%) against 120 (29%) rodents caught during the rainy season. For virological research purposes, the brain of 221 rodents was collected and analyzed among them 18 rodents (8%) were found to carry Lyssavirus RNA.


Author(s):  
Marie Bertier ◽  
Jeroen Luyten ◽  
Sandy Tubeuf

La moyenne hebdomadaire des nouvelles admissions COVID des dernières semaines a conduit le SPF Santé Publique à suggérer un passage à la phase 1B du plan de Surge Capacity le 22 mars 2021. Selon cette phase 1B, les hôpitaux doivent reporter des soins non urgents afin de disposer d’une capacité hospitalière suffisante pour fournir les soins nécessaires aux patients COVID comme aux patients non-COVID. Le report et/ou le renoncement à des soins médicaux depuis le début de la crise sanitaire est devenu plus fréquent dans la population. Qu’il s’agisse d’un report de rendez-vous par les professionnels de santé ou un renoncement aux soins par les patients par crainte de contracter le coronavirus, ces soins médicaux non satisfaits pourraient conduire à une dégradation ultérieure de l’état de santé et donc directement ou indirectement à une surmortalité. Ce numéro de Regards économiques réalise un premier état des lieux de l’ampleur du renoncement aux soins durant le premier confinement à partir des données d’une enquête en ligne menée auprès de la population en Belgique au printemps 2020. L’analyse montre un important renoncement à des soins spécialistes et des examens médicaux dans la plupart des cas pour des raisons qui relèvent de l’offre de soins, notamment le fait que les hôpitaux ou les établissements de soins ont annulé ou reporté les rendez-vous médicaux ou que les professionnels de santé avaient fermé leur cabinet. Puisqu’ils sont nécessairement de plus grands utilisateurs de soins, ce sont les plus malades qui ont particulièrement renoncé à des soins médicaux. En revanche, dans le cas des soins dentaires, des disparités dans le renoncement s’observent majoritairement au détriment des plus pauvres. Une détérioration de l’état de santé de la population est donc à craindre du fait du renoncement à des soins médicaux durant le confinement et au-delà puisqu’une proportion non négligeable de personnes rapportent ne pas envisager d’aller consulter lors d’un futur besoin de soins. A partir de ces premiers résultats chiffrés de l’ampleur et les raisons du renoncement aux soins durant le premier confinement, nous formulons plusieurs points d’attention pour les décideurs politiques. Bien que nous ne soyons pas en mesure de comparer l’ampleur du renoncement aux soins au cours des confinements successifs, le maintien de l’offre de soins dans les confinements plus récents devrait permettre de limiter les externalités négatives sur les autres malades que les malades COVID-19. Le report de soins même jugés non urgents devrait être évité autant que possible. Alors que le profil des répondants à l’enquête est socialement plus avantagé que la population générale, nous avançons que ces résultats sont une borne inférieure de l’ampleur du renoncement aux soins dans la population belge et des conséquences futures sur la santé de la population. Les conséquences de soins médicaux non satisfaits sont susceptibles d’être encore plus importantes dans des sous-groupes de la population qui cumuleront non seulement un renoncement aux soins médicaux dû au confinement mais aussi un renoncement pour raisons financières s’ils subissent des pertes d’emploi ou de revenu accrues en raison de la COVID-19. Ces obstacles à l'accès aux soins de santé et les besoins insatisfaits ont mis en évidence la difficulté du système de santé à être suffisamment résilient pour absorber le choc d’une pandémie. Il sera donc important que les décideurs politiques envisagent des plans nationaux de santé publique de grande ampleur qui «ramènent» les patients vers les soins. Il s’agira non seulement d’encourager les patients dont le suivi s’est interrompu à reprendre leur traitement et à évaluer la détérioration de leur état de santé mais aussi d’encourager tous les patients qui ont manqué une opportunité de dépistage de ne pas perdre plus de temps dans l’identification potentielle de problèmes de santé sévères.


2020 ◽  
pp. 175797592097783
Author(s):  
Delphine Amstutz ◽  
Oriana Villa

La crise de la COVID-19 a mis en évidence les vulnérabilités et inégalités sociales de santé préexistantes. Elle a également montré le rôle des collectivités territoriales dans l’implémentation des recommandations de santé publique, qu’il s’agisse de prévenir la propagation du virus ou de promouvoir la santé de chacune et chacun. En Suisse, dans le canton de Vaud, les communes ont réagi promptement mais différemment selon les ressources et l’expertise à disposition. Bien que toutes ces actions soient louables, avec une réponse asymétrique, le risque de créer, voire de renforcer des inégalités territoriales de santé est néanmoins bien présent. Pour promouvoir la santé de manière équitable, efficiente et durable, nous devons renforcer les stratégies de promotion de la santé, assurer une meilleure coordination au niveau local, et développer une approche multisectorielle de la santé. Créer un groupe de coordination et d’accompagnement des communes en matière de promotion de la santé est une approche prometteuse.


Author(s):  
Christiane Liliane Kammogne ◽  
Alain Marchand

Cette recherche vise à comprendre en quoi les traits d’identité culturelle, plus particulièrement l’ethnicité et le statut d’immigrant, pourraient modifier la façon dont le travail s’associe aux symptômes de détresse psychologique au sein de la main-d’oeuvre canadienne. Les résultats basés sur les données longitudinales de l’Enquête nationale sur la santé de la population (ENSP) de Statistique Canada font état d’un rôle plus important de l’ethnicité en comparaison au statut d’immigrant.


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