e-Pinut 2019–Influence de l’état nutritionnel pré-hospitalisation sur la durée de séjour chez l’enfant hospitalisé

2020 ◽  
Vol 34 (1) ◽  
pp. 16
Author(s):  
V. Raoult ◽  
D. Guimber ◽  
N. Peretti ◽  
H. Piloquet ◽  
R. Hankard ◽  
...  
Keyword(s):  
2008 ◽  
Vol 56 (2) ◽  
pp. 79-85 ◽  
Author(s):  
S. Bahrami ◽  
J. Holstein ◽  
G. Chatellier ◽  
Y.-E. Le Roux ◽  
B. Dormont
Keyword(s):  

2007 ◽  
Vol 34 (1) ◽  
pp. 32
Author(s):  
M. Hachemi ◽  
C. Di Roi ◽  
R. Attof ◽  
F. Artru ◽  
F. Dailler

2013 ◽  
Vol 32 ◽  
pp. A124-A125
Author(s):  
V. Degos ◽  
F. Clarençon ◽  
W. Koubaa ◽  
C. Zeghal ◽  
V. Reina ◽  
...  
Keyword(s):  

2004 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 95-118 ◽  
Author(s):  
Charles Castonguay
Keyword(s):  
Il Y A ◽  

RÉSUMÉ Selon le recensement de 1986, l'anglais maintient sa place comme première langue d'assimilation des Montréalais d'une autre langue que l'anglais ou le français. Cette constance recouvre toutefois des mouvements divergents. Si les allophones nés à Montréal s'anglicisent nettement plus qu'en 1971, le français progresse d'autant parmi les immigrés : il y a cependant un léger regain de l'anglais chez les derniers arrivés. Le progrès de la francisation paraît lié surtout au développement de l'immigration créole, espagnole, arabe et vietnamienne. La scolarisation en français semble aussi orienter assez fermement les enfants des nouveaux immigrants vers la francisation. Depuis la conjoncture socio-politique de 1976-1980, particulièrement favorable au français, le regain de l'anglais paraît traduire le retour à un certain Québec bilingue. L'attrait de l'anglais semble également s'accroître avec la durée de séjour à Montréal.


2018 ◽  
Vol 8 (2) ◽  
pp. 94-99
Author(s):  
C. Cahuzac ◽  
T. H. Ta ◽  
A. Henaoui ◽  
F.-X. Laborne ◽  
N. Briole ◽  
...  

Objectifs : Le délai door in-door out (DIDO) représente la durée de séjour au service d’urgence (SU) des patients pris en charge pour un syndrome coronarien aigu ST+ (SCAST+), avant transfert en centre de cardiologie interventionnelle (CCI). Le DIDO ne devrait pas dépasser 30 minutes. Notre objectif était d’évaluer le DIDO dans le réseau des urgences Sud Île-de-France (RESSIF). Matériel et méthodes : Étude épidémiologique, rétrospective, multicentrique comparant le DIDO entre 2014 et 2015 (période 1), puis en 2016 (période 2) dans deux hôpitaux sans CCI, l’hôpital de Longjumeau et l’hôpital d’Arpajon. En 2016 était appliqué dans notre protocole régional SCAST+ le « réflexe électro-oculotéléphonique » (REOT), avec l’objectif de diminuer le DIDO : dès l’électrocardiogramme qualifiant (ECGq), avant tout traitement ou obtention du CCI de transfert, le médecin urgentiste appelle le service d’aide médicale à l’urgence (SAMU) pour l’envoi immédiat d’un service mobile d’urgence et de réanimation (SMUR) secondaire. Résultats : Entre les deux périodes, le délai DIDO médian n’a pas été modifié significativement (–16 min [4–42] ; p = 0,06). Le délai entre ECGq et appel du SAMU n’était pas significativement différent avant et après application du REOT (15 [8–34] vs 9 min [6–26] ; p = 0,12). Le DIDO était supérieur ou égal à 30 min en période 1, contre 6 % en période 2 (p = 0,11). Conclusion : Le DIDO du RESSIF n’a pas été significativement modifié. Il n’y a pas eu d’impact significatif du REOT sur le DIDO, mais notre étude manque de puissance. Le REOT pourrait être évalué plus largement dans les SU. Un réseau de soins impliquant les SAMU, SMUR, SU et CCI avec protocoles partagés est essentiel pour le pronostic des SCAST+.


2019 ◽  
Vol 105 (5) ◽  
pp. 606-612
Author(s):  
Corentin Roger ◽  
Emmanuel Debuyzer ◽  
Massinissa Dehl ◽  
Yassine Bulaïd ◽  
Lamrani Adnane ◽  
...  
Keyword(s):  

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