service d’urgence
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140
(FIVE YEARS 10)

H-INDEX

4
(FIVE YEARS 1)

2021 ◽  
Vol 43 (3) ◽  
pp. 10-12
Author(s):  
Richard Drew

Dans un monde où les exigences de sécurité sont omniprésentes, les harnais antichute sont devenus monnaie courante pour les personnes qui travaillent en hauteur. Les harnais et dispositifs antichute sont aujourd’hui fréquemment utilisés dans l’industrie de la construction, l’alpinisme et les autres activités récréatives comportant un risque de chute. Grâce à la législation sur la santé et la sécurité au travail, aux programmes de prévention sur les lieux de travail et à la culture de réduction des risques au travail, on comprend mieux quand et comment porter les dispositifs antichute, ainsi que les dangers potentiels associés à leur utilisation. Le milieu de la santé manque toutefois de connaissances sur la prise en charge clinique des patients qui, blessés par ce type d’équipement, subissent un traumatisme de suspension, aussi appelé « syndrome du harnais » ou « choc orthostatique par suspension ». Cet article aide à accroître la sensibilisation et la compréhension de ce qu’est un traumatisme de suspension et comment gérer de manière pragmatique cette condition à la fois du point de vue préhospitalier et du service d’urgence.


2020 ◽  
Vol 10 (6) ◽  
pp. 363-371
Author(s):  
T. Lafon ◽  
P. Feydeau ◽  
A. Baisse ◽  
V. Bigrat ◽  
C. Raynaud ◽  
...  

Introduction : L’identification du profil hémodynamique des patients septiques au service d’urgence (SU) pourrait permettre d’adapter individuellement les recommandations de la Surviving Sepsis Campaign (SSC). L’objectif de cette étude était de décrire le profil hémodynamique précoce par échocardiographie ciblée chez les patients en sepsis et leur impact thérapeutique. Méthode : Étude prospective monocentrique incluant les patients septiques (score qSOFA [quick Sepsis-related Organ Failure Assessment] ≥ 2) sur une période de 30 mois. L’échocardiographie était réalisée par des médecins urgentistes de niveau échographie clinique en médecine d’urgence 1 afin de déterminer le profil hémodynamique (hypovolémie, vasoplégie avec hyperkinésie, insuffisance ventriculaire ou profil « normal ») dès le sepsis identifié au SU. L’impact thérapeutique était défini par le nombre de patients pour lesquels l’échocardiographie modifiait le traitement de la SSC. Résultats : Quatre-vingt-un patients (44 sepsis, 37 chocs septiques) ont été étudiés (âge moyen : 70 ± 15 ans ; hommes [n = 47, 58 %] ; SOFA = 5,3 ± 2,9 ; lactates = 4,6 ± 4,2 mmol/l ; admission en réanimation [n = 30, 37 %] ; mortalité j28 [n = 28, 35 %]) après un remplissage vasculaire médian de 500 ml (écart interquartile : 250–1 500 ml). Les profils hémodynamiques dominants étaient l’hypovolémie (n = 54, 66 %), parfois associée à une vasoplégie (n = 26, 32 %) et l’insuffisance ventriculaire (n = 21, 26 %). L’impact thérapeutique concernait 21 patients (26 %), dont un arrêt précoce du remplissage vasculaire après un volume de 850 ± 740 ml chez huit patients. Conclusion : La dysfonction ventriculaire précoce est présente chez plus de 20 % des patients septiques. L’impact pronostique d’une évaluation échocardiographique dès l’identification du sepsis au SU reste à déterminer.


2020 ◽  
Vol 10 (4-5) ◽  
pp. 233-242 ◽  
Author(s):  
M. Drogrey ◽  
J. Pernet ◽  
P. Hausfater

Depuis décembre 2019 le monde a dû faire face à une nouvelle maladie nommée : Covid-19. Sa dissémination rapide a imposé à l’Organisation mondiale de la santé de déclarer le statut de pandémie mondiale. La réponse des services d’urgence français à cette catastrophe sanitaire était cruciale. Elle a dû intégrer la notion d’urgence inhérente à la multiplication des nouveaux cas, mais également la nécessité d’une réponse organisée et d’une modulation continuelle de celle-ci sur une période jusqu’alors inconnue. Nous présentons dans cet article un schéma d’organisation et un retour d’expérience, d’un service d’urgence de centre hospitalier universitaire (CHU), établissement de santé de référence (ESR) pour le risque épidémique et biologique pour faire face à l’épidémie. Nous exposons les grandes lignes d’une réorganisation structurelle de notre service, la modification du circuit patient en amont de la filière des urgences et en aval, mais également la modification de nos pratiques de soins. Cette réorganisation a dû prendre en compte la notion de contagiosité avec la nécessité d’une séparation précoce en deux filières de soins, effectuée grâce à un processus de prétriage et de triage en amont de la filière. L’un des points clés de cette organisation a été l’évolutivité des définitions des cas suspects au cours du temps et au gré de l’évolution de la connaissance de ce virus et de sa dissémination. Cela a nécessité une adaptabilité de notre filière et une réévaluation quasi quotidienne de cette organisation associée à une information, une formation et un entraînement du personnel de cette structure.


2020 ◽  
Vol 34 (218) ◽  
pp. 10-13
Author(s):  
Marie-Cécile Moussu ◽  
Sonia Djelidi
Keyword(s):  

Criminologie ◽  
2020 ◽  
Vol 53 (2) ◽  
pp. 193
Author(s):  
Marty Laforest ◽  
Jessica Rioux-Turcotte ◽  
Michel St-Yves
Keyword(s):  

L Encéphale ◽  
2019 ◽  
Vol 45 (5) ◽  
pp. 405-412
Author(s):  
V. Dauriac-Le Masson ◽  
C. Peiffer ◽  
D. Barruel ◽  
F. Perquier ◽  
R. Gourevitch
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 9 (6) ◽  
pp. 362-368
Author(s):  
Y. Chouhab ◽  
T. Lefebvre ◽  
C. Forestier ◽  
P. Parsis ◽  
M. Martinez

Objectif : L’objectif principal de notre travail était d’analyser les courriers de plainte (CP) adressés à un service d’urgence (SU). L’objectif secondaire était de déterminer s’il existait une corrélation entre CP et temporalité de passage au SU. Matériel et méthodes : Étude rétrospective monocentrique sur six ans portant sur les CP concernant les prises en charge en SU. Résultats : Quatre-vingt-un CP ont été analysés, la moyenne annuelle et l’incidence étaient de 13,5 CP/an et de 5,5 CP/ 10 000 passages. L’incidence était de 3,5 CP/10 000 passages pour les enfants vs 6,1 CP/10 000 passages pour les adultes (p = 0,11). Le plaignant était la famille dans 44 CP (55 %) et le patient dans 34 CP (42 %). Il n’y avait pas de différence significative entre le jour et la nuit (5,7 CP/10 000 vs 4,8 CP/ 10 000 passages ; p = 0,57) ni entre horaires de garde et horaires hors garde (5,6 CP/10 000 vs 5,2 CP/10 000 passages ; p = 0,78). Nous avons dénombré 133 doléances, avec une cause médicale dans 64 CP (48 %), une cause organisationnelle dans 44 CP (33 %), une cause relationnelle dans 25 CP (19 %). Une indemnisation financière a été demandée dans 13 CP (16 %) et a été accordée pour deux dossiers (2 %). Aucun CP n’a entraîné de poursuite en justice. Conclusion : L’incidence des CP de notre SU reste dans la moyenne basse des données retrouvées au niveau national et sans relation avec la temporalité du passage. L’analyse des CP permet d’améliorer la qualité de la prise en charge et de proposer des mesures correctives en relation avec la commission des usagers.


2019 ◽  
Vol 49 (4) ◽  
pp. S106
Author(s):  
M. Martinot ◽  
V. Greigert ◽  
S. Gravier ◽  
S. Klein ◽  
M. Mohseni Zadeh ◽  
...  
Keyword(s):  

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