Traitements médicaux des cancers de l’œsophage : radiochimiothérapie et chimiothérapie

2012 ◽  
Vol 7 (3) ◽  
pp. 1-8
Author(s):  
L. Dahan
2019 ◽  
Vol 9 (5) ◽  
pp. 295-306 ◽  
Author(s):  
D. Carnicelli ◽  
P. Bondil ◽  
D. Habold

Le priapisme veineux aigu (PVA) est urgent en raison de séquelles érectiles éventuelles. Sa rareté et l’absence de procédure expliquent des traitements encore inégaux, peu normés. Objectif : Optimiser la prise en charge initiale d’un PVA grâce à une procédure décisionnelle, adaptée aux urgentistes. Matériel et méthode : Une revue systématique de la littérature recense les algorithmes schématisés ainsi que des articles de revue et mises au point récents. Les critères diagnostiques et thérapeutiques ont été analysés puis comparés pour vérifier s’ils répondaient aux besoins. La validation de cette procédure par des experts a été recherchée. Résultats : L’originalité de notre procédure réside dans sa cible (urgentistes), sa hiérarchisation, « Que faire ? Comment faire ? Quand faire ? Qui fait ? », de façon graduée et séquentielle via une chronologie détaillée, et une priorité donnée à la gazométrie caverneuse, fil conducteur de la prise en charge, facilement disponible. À cela s’ajoutent des tableaux, des check-lists (contexte étiologique et souffrance ischémique), des schémas descriptifs des traitements médicaux indiqués en première ligne (technique, matériel de ponction décompressive et d’injection intracaverneuse d’alpha-stimulant), critères de recours à l’urologue, suivi et hospitalisation. Cette procédure a été validée par le conseil scientifique du réseau nord-alpin des Urgences, le comité d’andrologie et médecine sexuelle de l’Association française d’urologie. Conclusion : Facile à utiliser, cette procédure inédite répond à un réel besoin. Son appropriation et sa diffusion s’inscrivent dans une démarche qualité adaptée au parcours de soins du PVA en France afin de prévenir les séquelles érectiles de cette urgence affectant majoritairement des sujets jeunes.


1993 ◽  
Vol 266 (1) ◽  
pp. 65-75 ◽  
Author(s):  
Dominique Bureau ◽  
Geneviève Plu-Bureau ◽  
Jean-Christophe Thalabard

2017 ◽  
Vol 103 (7) ◽  
pp. S79
Author(s):  
Nicolas Sérandour ◽  
Julie Mocquard ◽  
Sophie Touchais ◽  
Erwan Corbineau ◽  
Norbert Passuti ◽  
...  

2008 ◽  
pp. 153-156
Author(s):  
Brigitte Dreno ◽  
Anabelle Brocard

ONCOLOGIE ◽  
2015 ◽  
Vol 17 (4) ◽  
pp. 178-183
Author(s):  
P. Lavaud ◽  
M. Gizzi ◽  
Y. Loriot

2009 ◽  
Vol 7 (1) ◽  
pp. 357-389 ◽  
Author(s):  
Manon Houle ◽  
Marie-Claude Raymond

Résumé Malgré la controverse suscitée par le recours aux opioïdes pour soulager la douleur chronique non cancéreuse (DCNC), pouvant être causée par un problème médical souvent réfractaire aux traitements médicaux conventionnels, la popularité de cette classe de médicaments s’est accrue au cours de la dernière décennie. Alors que plusieurs médecins demeurent réticents à prescrire les opioïdes, d’autres, au contraire, les prescrivent sans égard aux conséquences néfastes qu’ils peuvent entraîner pour les patients. Cet article présente un recensement des méta-analyses et articles de révision portant sur l’utilisation des opioïdes dans la DCNC, publiés au cours des quinze dernières années. Leurs principales lacunes méthodologiques sont abordées puis les résultats portant sur l’efficacité analgésique des opioïdes, leurs effets secondaires et le risque encouru de développer la toxicomanie sont présentés. Des recommandations permettant le suivi sécuritaire des patients recevant des opioïdes sont ensuite formulées. La décision de prescrire ou non des opioïdes pour le traitement de la DCNC est finalement analysée dans une perspective globale tenant compte à la fois de l’objectif du médecin de soulager la douleur, de celui du patient de demeurer un membre actif de la société et de celui d’éviter que le médicament ne devienne une drogue.


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