TEP/TDM au 18FDG dans la prise en charge du cancer du canal anal

2019 ◽  
Vol 43 (2) ◽  
pp. 188
Author(s):  
S. Nadi ◽  
S. Zouine ◽  
S. Choukry ◽  
A. Guensi
2009 ◽  
Vol 33 (7) ◽  
pp. 415-424 ◽  
Author(s):  
S. Renaud ◽  
S. Guillemard ◽  
M.-C. Eberlé-Pouzeratte ◽  
C. Lemanski ◽  
P. Faurous ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 118-126
Author(s):  
N. Giraud ◽  
M. Bacci ◽  
V. Vendrely

Le cancer du canal anal est une pathologie rare mais d’incidence croissante. L’atteinte métastatique au diagnostic est peu fréquente (< 10 %). Le traitement des formes non métastatiques repose sur une chimioradiothérapie exclusive à visée curative, la chirurgie étant réservée aux rechutes locorégionales. D’allure inchangée depuis les années 1980, cette stratégie thérapeutique a pourtant bénéficié des avancées techniques majeures en radiothérapie et en imagerie, ainsi que d’une amélioration de la prise en charge des toxicités induites par les traitements. Des résultats excellents sont observés pour les petites tumeurs T1-T2, N0, avec une survie d’environ 80 %à cinq ans et un très bon contrôle local, faisant envisager des stratégies de désescalade thérapeutique. Ces résultats contrastent avec ceux obtenus pour des stades plus évolués (T3-T4 ou N+), avec jusqu’à 30–40 % de récidives locorégionales ou à distance. De précédents essais d’intensification thérapeutique avec escalade de dose d’irradiation ou modification du traitement systémique n’ont pas montré de supériorité. Les études actuelles s’intéressent à l’adjonction de thérapies ciblées ainsi qu’aux immunothérapies. L’un des espoirs futurs serait de mieux stratifier les patients, dans une optique de médecine personnalisée. À cet égard, de nouveaux domaines d’étude tels que le profilage moléculaire, la radiomique et l’intelligence artificielle pourraient devenir une aide intéressante afin de proposer en amont le traitement « optimal » à l’échelle individuelle.


ONCOLOGIE ◽  
2018 ◽  
Vol 20 (5-6) ◽  
pp. 94-106
Author(s):  
I. Marref ◽  
C. Reichling ◽  
V. Vendrely ◽  
T. Mouillot

2010 ◽  
Vol 34 (2) ◽  
pp. 96-102
Author(s):  
L. Vercellino ◽  
V. de Parades ◽  
V. Nataf ◽  
K. Kerrou ◽  
V. Huchet ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 13 (4) ◽  
pp. 180-187
Author(s):  
M. Delestre ◽  
A. David ◽  
E. Frampas

L’obstruction à la défécation, qu’elle soit d’origine fonctionnelle ou mécanique, ou du fait de l’association de ces deux mécanismes, nécessite désormais un bilan d’imagerie dynamique afin d’en caractériser l’étiologie et le retentissement anatomique, dans le but d’orienter la prise en charge. Cet article a pour but de faire l’inventaire des différentes entités anatomiques rencontrées en imagerie par résonance magnétique (IRM). Différents repères anatomiques sont importants, comme la ligne pubococcygienne joignant le pubis à la dernière articulation coccygienne et permettant de définir la descente périnéale, ou bien l’axe du canal anal dans le diagnostic des rectocèles. Dans certaines situations, comme dans le cas du prolapsus rectal extériorisé, l’usage de l’IRM n’est pas utile au diagnostic, mais plus dans le but de démasquer d’autres entités associées, par exemple une élytrocèle. C’est pour ces raisons que l’IRM pelvienne dynamique (déféco-IRM) est aujourd’hui de pratique courante dans le bilan des troubles de la statique pelvienne et joue un rôle dans le choix de la prise en charge.


2012 ◽  
Vol 16 (5-6) ◽  
pp. 558-559
Author(s):  
L. Moureau-Zabotto ◽  
C. Ortholan ◽  
J.-M. Hannoun-Lévi ◽  
E. Tessier ◽  
D. Cowen ◽  
...  
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 18 (5-6) ◽  
pp. 588-589
Author(s):  
C. Houard ◽  
V. Vendrely ◽  
J. Pinaquy ◽  
T. Haaser ◽  
H. de Clermont ◽  
...  

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