Évaluation des résultats opératoires et des coûts liés à la mise en place d’une activité d’urétéroscopie souple au sein d’un centre hospitalo-universitaire

2017 ◽  
Vol 27 (6) ◽  
pp. 375-380
Author(s):  
K. Del Santo ◽  
M. Audouin ◽  
I. Ouzaid ◽  
V. Ravery ◽  
O. Traxer
2008 ◽  
Vol 145 (4) ◽  
pp. 396
Author(s):  
A. Sa Cunha ◽  
A. Rault ◽  
C. Beau ◽  
C. Laurent ◽  
D. Collet ◽  
...  

2008 ◽  
Vol 145 (4) ◽  
pp. 401
Author(s):  
D. Ribero ◽  
E.K. Abdalla ◽  
D.C. Madoff ◽  
M. Donadon ◽  
E.M. Loyer ◽  
...  

2009 ◽  
Vol 33 (3) ◽  
pp. A189
Author(s):  
J. Lefèvre ◽  
F. Bretagnol ◽  
L. Maggiori ◽  
A. Bekmezian ◽  
M. Ferron ◽  
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Author(s):  
Redha Lakehal ◽  
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Soumaya Bendjaballah ◽  
Radouane Boukarroucha ◽  
Farid Aimer ◽  
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Introduction : La coarctation de l’isthme aortique est une cardiopathie congénitale (5-8%) dont la prise ne charge s’effectue à un âge précoce afin d’éviter les complications. Chirurgicalement, on distingue deux formes, celle de l'enfant et celle du nouveau-né. La prise en charge de ce type de pathologie dans notre pays souffre d’un retard de diagnostic et une chirurgie tardive, en conséquence, lors du suivi, deux problématiques se sont soulevés : devenir de l’HTA (quel est bénéfice de la chirurgie ?), et surtout, la constatation d’un gradient au niveau de la prothèse, s’agit-il d’un gradient fonctionnel ou d’un gradient organique (faut-il réintervenir ?). La particularité de notre étude réside dans la prise en charge de cette entité de certain âge, d’apporter nos résultats opératoires (morbi-mortalité) et à moyen terme (HTA, Récidive). Afin de répondre à cette problématique, nous avons mené cette étude rétrospective. Méthodes : De Janvier 2001 à Mai 2017, 40 patients ont bénéficié d’une chirurgie pour coarctation de l’aorte isthmique ; l’âge moyen est de 20 ans (4 à 46 ans), 32 hommes et 08 femmes ; HTA présente chez la majorité des patients ; le diagnostic établi à l’échographie Doppler cardiaque et l’angioTDM thoracique ; 04 patients ont été opérés sous CEC d’assistance ; le traitement avait consisté en une résection de la coarctation et mise en place d’un tube prothétique pour la majorité des patients. Résultats : La mortalité hospitalière globale est de 2,5 % (1 patient) ; Ventilation de 12,6 heures (3 heures à 24 j) ; Séjour en réanimation de 3,9 j en moyenne (1 à 24 j) ; Séjour hospitalier de15 j en moyenne (8 à 60 j). Complications hospitalières : deux patients ont présenté une insuffisance rénale aigue, les deux patients ont bénéficié d’une hémodialyse avec récupération de la fonction pour l’un et décès du second patient ; un patient a présenté une hémorragie digestive d’origine ulcéreuse (hémostase chirurgicale) ; saignement pleural chez 5 patients (contrôle chirurgical). Suivi moyen de 59 mois avec des extrêmes allant de 8 à 141 mois. Mortalité tardive de 1 patient. Conclusion : A l’heure actuelle, le traitement des coarctations fait appel à divers techniques (chirurgie, endovasculaire) ; l’essentiel dans la chirurgie des coarctations est d’éviter la survenue des complications majeures précoces (paraplégie, insuffisance rénale, complications ischémiques viscérales) et tardives (re-coarctation et anévrysme anastomotique). Néanmoins, l’indication opératoire doit être prise tôt par un diagnostic précoce afin d’éviter l’irréversibilité de l’HTA.


2007 ◽  
Vol 144 (2) ◽  
pp. 162-163
Author(s):  
C. Mariette ◽  
S. Benoist ◽  
Ph. De Mestier

1983 ◽  
Vol 2 (1) ◽  
pp. 46-55 ◽  
Author(s):  
Y. Richard ◽  
J.P. Collin ◽  
J.G. Asencio ◽  
G. Vanneuville ◽  
F. Elzein ◽  
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