cardiopathie congénitale
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2017 ◽  
Vol 4 (2) ◽  
pp. 174-176
Author(s):  
Soumaya Bendjaballah ◽  
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Redha Lakehal ◽  
Farid Aimer ◽  
Rabeh Bouharagua ◽  
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Introduction : L’oreillette unique est une cardiopathie congénitale rare. Le traitement est la chirurgie. Son pronostic est bon après chirurgie. Le but de ce travail est de rapporter un cas d’oreillette unique. Observation : Nous rapportons l’observation d’une jeune femme âgée de 17 ans issue d’un mariage non consanguin sans antécédents, présentant depuis quelques mois une dyspnée d’aggravation progressive. L’examen physique avait révélé un souffle latérosternal de 5/6. La radiographie pulmonaire mettait en évidence une hyper vascularisation pulmonaire et un ICT à 0,60. Echocardiographie : oreillette unique, insuffisance tricuspide grade II, FE : 45 %, PAPS : 63 mm hg. Exploration per-opératoire : veine cave supérieure gauche se jetant dans un sinus coronaire dilaté de topographie anormale et oreillette unique par absence complète du septum interauriculaire. Elle a bénéficié de la fermeture de la communication inter auriculaire par un patch péricardique autologue sous circulation extracorporelle. Les suites post opératoires étaient simples. Conclusion : L’oreillette unique est une variété rare de communications inter-auriculaires caractérisée par l’absence du septum inter-auriculaire. Elle peut être isolée ou associée à d’autres cardiopathies congénitales.


2017 ◽  
Vol 22 (8) ◽  
pp. 499-503
Author(s):  
Michael Narvey ◽  
Kenny K Wong ◽  
Anne Fournier

Author(s):  
Redha Lakehal ◽  
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Soumaya Bendjaballah ◽  
Radouane Boukarroucha ◽  
Farid Aimer ◽  
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Introduction : La coarctation de l’isthme aortique est une cardiopathie congénitale (5-8%) dont la prise ne charge s’effectue à un âge précoce afin d’éviter les complications. Chirurgicalement, on distingue deux formes, celle de l'enfant et celle du nouveau-né. La prise en charge de ce type de pathologie dans notre pays souffre d’un retard de diagnostic et une chirurgie tardive, en conséquence, lors du suivi, deux problématiques se sont soulevés : devenir de l’HTA (quel est bénéfice de la chirurgie ?), et surtout, la constatation d’un gradient au niveau de la prothèse, s’agit-il d’un gradient fonctionnel ou d’un gradient organique (faut-il réintervenir ?). La particularité de notre étude réside dans la prise en charge de cette entité de certain âge, d’apporter nos résultats opératoires (morbi-mortalité) et à moyen terme (HTA, Récidive). Afin de répondre à cette problématique, nous avons mené cette étude rétrospective. Méthodes : De Janvier 2001 à Mai 2017, 40 patients ont bénéficié d’une chirurgie pour coarctation de l’aorte isthmique ; l’âge moyen est de 20 ans (4 à 46 ans), 32 hommes et 08 femmes ; HTA présente chez la majorité des patients ; le diagnostic établi à l’échographie Doppler cardiaque et l’angioTDM thoracique ; 04 patients ont été opérés sous CEC d’assistance ; le traitement avait consisté en une résection de la coarctation et mise en place d’un tube prothétique pour la majorité des patients. Résultats : La mortalité hospitalière globale est de 2,5 % (1 patient) ; Ventilation de 12,6 heures (3 heures à 24 j) ; Séjour en réanimation de 3,9 j en moyenne (1 à 24 j) ; Séjour hospitalier de15 j en moyenne (8 à 60 j). Complications hospitalières : deux patients ont présenté une insuffisance rénale aigue, les deux patients ont bénéficié d’une hémodialyse avec récupération de la fonction pour l’un et décès du second patient ; un patient a présenté une hémorragie digestive d’origine ulcéreuse (hémostase chirurgicale) ; saignement pleural chez 5 patients (contrôle chirurgical). Suivi moyen de 59 mois avec des extrêmes allant de 8 à 141 mois. Mortalité tardive de 1 patient. Conclusion : A l’heure actuelle, le traitement des coarctations fait appel à divers techniques (chirurgie, endovasculaire) ; l’essentiel dans la chirurgie des coarctations est d’éviter la survenue des complications majeures précoces (paraplégie, insuffisance rénale, complications ischémiques viscérales) et tardives (re-coarctation et anévrysme anastomotique). Néanmoins, l’indication opératoire doit être prise tôt par un diagnostic précoce afin d’éviter l’irréversibilité de l’HTA.


2017 ◽  
Vol 46 (5) ◽  
pp. 530-537 ◽  
Author(s):  
Pascal Amedro ◽  
Arthur Gavotto ◽  
Charlène Bredy ◽  
Sophie Guillaumont

2015 ◽  
Vol 22 (5) ◽  
pp. 214
Author(s):  
O. Guillard ◽  
D. Khraiche ◽  
M. Ladouceur ◽  
F. Raimondi ◽  
L. Iserin ◽  
...  

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