Étude clinique randomisée et en double insu du résultat fonctionnel de la chirurgie prothétique du genou par abord mini-subvastus comparé à l’abord conventionnel para-patellaire médial

2012 ◽  
Vol 98 (7) ◽  
pp. S294-S295
Author(s):  
Julien Wegrzyn ◽  
Sébastien Parratte ◽  
Emily J. Miller ◽  
Kenton R. Kaufman ◽  
Mark W. Pagnano
1978 ◽  
Vol 12 (4) ◽  
pp. 423-434
Author(s):  
F. Laurent ◽  
S. Vukanovic ◽  
J.-M. Chausse
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 177 ◽  
pp. S77
Author(s):  
Abir Zioudi ◽  
Thouraya Ben Younes ◽  
Hedia Klaa ◽  
Hanene Benrhouma ◽  
Aida Rouissi ◽  
...  
Keyword(s):  

Author(s):  
Ruixia Sun ◽  
Jie Lu ◽  
Hui Li ◽  
Xiaoyu Cheng ◽  
Ying Xin ◽  
...  
Keyword(s):  

1990 ◽  
Vol 5 (2) ◽  
pp. 137-143 ◽  
Author(s):  
G Clerc ◽  
R Pagot ◽  
JM Bouchard ◽  
J Oules ◽  
M Guibert ◽  
...  
Keyword(s):  

RésuméCent douze patients hospitalisés pour un épisode dépressif majeur (75% appartenant au sous-type mélancolique), d’origine endogène selon les critères de Newcastle, ont reçu du milnacipran (100 mg/24 h) ou de la clomipramine (150 mg/24 h) pendant une durée maximale de 3 mois lors d‘un essai réalisé en double-insu. Après exclusion d‘une observation du groupe clomipramine (arrêt à J3 pour nausées), restaient 111 observations exploitables pour l’analyse de l’activité : (milnacipran : 55 ; clomipramine: 56). Quatre-vingt-quatorze pour cent des patients ont atteint 4 semaines de traitement, 78% 8 semaines et 74% 12 semaines. Le nombre de sorties d’essai était comparable dans les 2 groupes, le pourcentage de celles qui étaient liées à un défaut d’activité étant identique (12,5%). A tous les temps étudiés, de J7 à J84, les évolutions obtenues sous milnacipran et sous clomipramine ont été comparables, pour les scores totaux des échelles de dépression de Hamilton (1967), de Montgomery et Asberg (1979) (MADRS) et de ralentissement de Widlocher (1981), mais aussi pour chacun des items de ces échelles. L’amélioration moyenne du score total de la MADRS a été, à partir d’un score initial de 38, de: 41% à J14; 66% à J28; 74% à J56; 76% à J84 sous milnacipran; 41% à J14; 59% à J28; 76% à J56; 83% à J84 sous clomipramine. Pour tous les paramètres étudiés, les niveaux de signification étaient particulièrement élevés (P = 0,3 à 0,9), indiquant des profils d’activité pharmacodynamique identiques pour le milnacipran et la clomipramine. L’appréciation du rapport bénéfice/risque (CG1-3), a été constamment favorable au milnacipran, avec des différences significatives à J14, J21, J28, J56 et J70: ces résultats favorables traduisaient la meilleure tolérance du milnacipran, notamment vis-à-vis des sécheresses buccales, des vertiges et des tremblements. Les activités antidépressives du milnacipran 100 mg et de la clomipramine 150 mg ont été identiques tout au long de cet essai de 3 mois. Le milnacipran a été mieux toléré que la clomipramine. Les résultats de cette étude ont confirmé ceux d‘études antérieures, en référence à d‘autres tricycliques ou à un placebo.


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