Prise en charge chirurgicale des spondylolyses lombaires multi-étagées : à propos d’un cas et revue de littérature

2014 ◽  
Vol 100 (3) ◽  
pp. 259-263
Author(s):  
A. Darnis ◽  
O. Launay ◽  
G. Perrin ◽  
C. Barrey
2003 ◽  
Vol 28 (1) ◽  
pp. 212-231
Author(s):  
Martine Vincent ◽  
Paul C. Veilleux ◽  
Hélène David

Les cocaïnomanes désaffiliés ont un contact précaire avec le réseau d’aide compliquant ainsi la prévention du VIH et des hépatites chez ces personnes. Leur méfiance envers le réseau d’aide et la prise en charge par la société entravent le développement d’une relation porteuse de changements et d’une mobilisation par ces personnes à une réduction des risques. Le manque de coordination entre les ressources crée un autre obstacle. Après une revue de littérature sur la désaffiliation sociale et les risques d’infections virales chez les cocaïnomanes, les auteurs proposent une analyse critique des avenues préventives concernant ces infections. Ainsi, la philosophie de la réduction des méfaits et les programmes aux exigences peu élevées, les interventions d’information, de sensibilisation ainsi que les approches motivationnelles, l’empowerment et la promotion de la santé sont commentés.


2013 ◽  
Vol 84 (1) ◽  
pp. 29-39
Author(s):  
Claude Chabre

En présence d’une malocclusion de classe II division 1, faut-il traiter précocement en denture mixte ou plus tardivement en denture adolescente? Dans une revue systématique Cochrane, les auteurs concluent : « Les preuves suggèrent que mettre en place un traitement orthodontique précoce pour les enfants ayant les dents antérieures du maxillaire en proalvéolie n’est pas plus efficace qu’effectuer un traitement orthodontique en une phase lorsque l’enfant est au début de l’adolescence. » Alors, faut-il attendre pour traiter ? Certainement pas! De nombreux arguments en faveur des traitements précoces existent : risque de fracture des incisives proéminentes, esthétique, bien-être de l’enfant et épanouissement psychologique, diminution du temps de traitement multibague et donc réduction des effets iatrogènes, création d’un environnement anatomique plus propice au développement harmonieux des fonctions et de la croissance, sans oublier la notion juridique de perte de chance. Ces différents éléments seront développés au cours d’une revue de littérature et illustrés par un cas clinique.


2010 ◽  
Vol 81 (1) ◽  
pp. 41-58 ◽  
Author(s):  
Papa Ibrahima Ngom ◽  
Henri Michel Benoist ◽  
Delphine Soulier-Peigue ◽  
Awa Niang

L'objectif de cette revue de littérature est de faire le point sur les rapports réciproques entre l'orthodontie et la parodontologie. Un des fondements rationnels de notre discipline est que des relations intra- et inter-arcades normales sont un préalable anatomique et fonctionnel dans la préservation d'une denture saine. Certaines dysmorphoses orthodontiques sont ainsi associées à des difficultés à maintenir une bonne hygiène avec une gingivite et potentiellement une parodontite comme possibles conséquences. De la même façon, l'alignement correct des dents dans leurs arcades respectives et l'établissement de relations inter-arcades normales que procurent les traitements orthodontiques facilitent le maintien de l'hygiène et le contrôle de l'inflammation parodontale. D'un autre côté, les dispositifs orthodontiques par leur présence constituent de véritables pièges à plaque et contribuent de ce fait au risque local de maladie parodontal. Les parodontites sont des maladies infectieuses inflammatoires d'origine bactérienne provoquant une perte du support osseux et ligamentaires des dents. Elles sont accompagnées de troubles esthétiques et fonctionnels dus au processus pathologique lui-même (déplacements dentaires pathologiques, recession gingivale, mobilités dentaires) ou aux séquelles laissées par le traitement parodontal. L'orthodontie peut contribuer à la prise en charge de ces problèmes esthétiques et fonctionnels. Sa mise en œuvre requiert néanmoins un contrôle préalable de la progression de la maladie parodontale et une bonne connaissance de la biomécanique spécifique du déplacement orthodontique des dents au parodonte réduit. Les résultats à court terme et long terme montrent l'efficacité de la synergie d'action entre orthodontie et parodontie.


2018 ◽  
Vol 89 (4) ◽  
pp. 387-396
Author(s):  
Hélène Gil ◽  
Frédéric Courson

Introduction : La plupart des malocclusions sont souvent d’origine dysfonctionnelle et une prise en charge pluridisciplinaire apparaît indispensable pour corriger, mais aussi pérenniser les traitements orthopédiques réalisés. Cependant, certains traitements « ré »éducateurs ne donnent pas toujours les résultats escomptés et la persistance des dysfonctions peut ainsi compromettre la stabilité des résultats à long terme des traitements d’orthodontie. Matériel et méthode : À travers une revue de littérature, cet article analyse les théories anciennes et actuelles sur la rééducation maxillo-faciale. Résultats : On doit aujourd’hui toujours considérer les deux théories expliquant les échecs en matière de rééducation maxillo-faciale car il existe à ce jour peu de données sur le sujet. Discussion : L’évolution des neurosciences permet aujourd’hui de donner des voies de compréhension et d’approche lors de cette rééducation, favorisant une meilleure adaptabilité du thérapeute.


2020 ◽  
Vol 12 (3) ◽  
pp. 144-148
Author(s):  
A. Dereume ◽  
C. Pirard ◽  
G. Rege

2009 ◽  
Vol 15 (4) ◽  
pp. 405-413 ◽  
Author(s):  
E. Carruzzo ◽  
G. Zimmermann ◽  
C. Zufferey ◽  
M. Monnat ◽  
A. Rougemont-Buecking ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 56 ◽  
pp. e204
Author(s):  
H. Migaou ◽  
E. Toulgui ◽  
S. Salah ◽  
S. Boudokhane ◽  
A. Nouira ◽  
...  

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