G - 38 Indicateurs d’accessibilité à une imagerie cérébrale dans la région de la Bourgogne

2007 ◽  
Vol 163 (4) ◽  
pp. 36
Author(s):  
A. Hyenne ◽  
C. Combier ◽  
G.V. Osseby ◽  
M. Ballereau ◽  
M. Giroud
Keyword(s):  
G 38 ◽  
2003 ◽  
Vol 187 (2) ◽  
pp. 295-304
Author(s):  
Richard S.J. Frackowiak ◽  
Patricia Dowsey-Limousin ◽  
Marjan Jahanshahi ◽  
Marwan Hariz

2006 ◽  
Vol 87 (6) ◽  
pp. 779-791 ◽  
Author(s):  
S. Bracard ◽  
L. Taillandier ◽  
V. Antoine ◽  
S. Kremer ◽  
C. Taillandier ◽  
...  
Keyword(s):  

2011 ◽  
pp. 141-154
Author(s):  
S. Thobois ◽  
E. Broussolle
Keyword(s):  

2016 ◽  
Vol 78 (6-9) ◽  
Author(s):  
Saber Rashid ◽  
N. Islami ◽  
A. K. Ariffin ◽  
M. Ridha ◽  
S. Fonna

The aim of this study is to investigate the impact of immersion time, at different time values for two cases, with stressed and no stressed on materials. This study is conducted using SUS304 material with the presence of 3.5% NaCl at the range of stresses for the specimens lower than the yield strength.  The geometry of the C-ring specimen was selected for 18.974 mm and 1.244 mm for the outer diameters and the thickness respectively. The immersion time effect was investigated using the half-cell potential measurement following the ASTM G-38 standard. The approach of corrosion environment was applied to resemble the condition of loading history. Three levels of stresses were designed and applied in finite element analysis and the results known as the parameters of stress-corrosion measurement. The ASTM G-38 standard is prominent for making C-ring stress-corrosion for elastic stress analysis. The stress-corrosion test was performed at two parameters, fixed stress and no stress. The value of stresses for fixed stress was chosen for 179.199 MPa, 328.665 MPa and 460.131 MPa, correspondingly. The immersion time were selected from 0, 10 and 30 days. The electrochemical result shows that the immersion time did not affect vastly to the corrosion behavior for no stress-corrosion compared with fixed stress. The corrosion rate increases proportionally with the time immersion increments due to the inability of the steel layer protection to regenerate itself. Subsequently, it is also due to the metal was exposed to plastic deformation that resulting the internal stresses due to the plastic anisotropy of the grains.


2008 ◽  
Vol 32 (2) ◽  
pp. 177-190
Author(s):  
Stéphane Potvin ◽  
Emmanuel Stip

Résumé Cher Jean-Yves, le 27 avril 2004, tu nous as quitté sur la pointe des pieds, laissant inachevés des projets de recherche portant sur la comorbidité schizophrénie — toxicomanie, que nous avons eu l’occasion de compléter au cours des dernières années au Centre de recherche Fernand-Seguin. Ce sont ces développements que nous souhaitons ici te raconter. Nous te présentons d’abord une série de travaux qui évaluent la validité de l’hypothèse de l’automédication, impliquant diverses techniques scientifiques (méta-analyse, imagerie cérébrale et neuropsychologie). Les résultats de ces travaux suggèrent fortement que les patients souffrant à la fois de schizophrénie et de toxicomanie ont moins de symptômes négatifs et de déficits cognitifs que les patients non toxicomanes. Ils présentent toutefois davantage de symptômes extrapyramidaux. En particulier, les résultats montrent que les patients avec un double diagnostic ont moins d’anhédonie, ce qui place la notion de plaisir au coeur de l’enjeu de la comorbidité, comme tu l’anticipais justement. Nous présentons ensuite les résultats préliminaires d’une étude ouverte qui suggère un potentiel effet bénéfique de la quétiapine chez les patients schizophrènes et toxicomanes, une étude qui nous également permis, comme tu l’espérais, de mettre en lumière des relations intrigantes entre les cannabinoïdes endogènes, les cytokines, la schizophrénie et la toxicomanie. Le caractère prometteur de ces résultats a fait en sorte que nous venons d’obtenir un financement où nous pourrons évaluer, dans les mêmes conditions et selon les mêmes paramètres, des patients schizophrènes non toxicomanes et des patients toxicomanes qui ne souffrent pas d’un trouble psychotique.


2006 ◽  
Vol 87 (9) ◽  
pp. 1103
Author(s):  
J. Froger ◽  
J. Pelissier ◽  
C. Oppenheim
Keyword(s):  

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