No. 1963 a). Accord sur la protection des végétaux dans la région de l’Asie du Sud-Est et du Pacifique. Conclu à Rome, le 27 Février 195

2005 ◽  
Vol 86 (1) ◽  
pp. 53-59 ◽  
Author(s):  
Yolande Dalpé

Les mycorhizes arbusculaires constituent la symbiose végétale la plus répandue à l’échelle planétaire. Les champignons concernés, regroupés dans le phylum Glomeromycota et distribués sur l’ensemble des écosystèmes, colonisent la majorité des plantes terrestres. Aux avantages bien connus des mycorhizes sur la croissance végétale, s’ajoutent plusieurs bénéfices, notamment pour la survie des plantes, leur biodiversité, l’impact sur la microflore du sol et le potentiel d’agent de réduction des stress tant abiotiques que biotiques. Devant une telle panoplie d’avantages pour les plantes et l’environnement, on pourrait croire que les mycorhizes représentent une panacée à plusieurs problèmes liés à la production et à la protection des végétaux. Le complexe « plante-mycorhize-parasite-environnement » constitue la norme à maintenir ou à retrouver pour assurer la durabilité de l’environnement. Le fonctionnement des mycorhizes comme agent de lutte biologique touche globalement cinq mécanismes d’interaction. Certains concernent directement la plante, soit : 1) une stimulation de croissance par le biais d’un apport nutritif accru et une meilleure santé végétale, 2) une transformation morphologique au niveau racinaire, 3) l’induction ou la suppression de mécanismes de défense, notamment ceux impliquant plusieurs enzymes. D’autres agissent sur le parasite : 4) via une compétition directe avec les champignons mycorhiziens liée à la disponibilité de nutriments et de sites d’infection, et sur la structure et la qualité du sol, par le biais d’une 5) modification de la microflore et de l’augmentation du taux de matière organique.


OENO One ◽  
1970 ◽  
Vol 4 (2) ◽  
pp. 227-230
Author(s):  
C. ROUSSEL

Les essais réalisés par la Protection des Végétaux à ST-GENES-DELOMBAUD (Gironde), dans une vigne de Muscadelle avaient pour but de comparer l'efficacité de trois spécialités organiques de synthèse (Phaltane à 200 grammes de matière active par hectolitre, Dichlofluanide à 200 grammes de matière active par hectolitre et Bénomyle à 50 grammes de matière active par hectolitre) à un étalon (Thirame à 400 grammes de matière active par hectolitre) et à un témoin non traité.Les observations sur la fermentation et la vinification ont été poursuivies pour le Phaltane et le Dichlofluanide et réalisées pour la première fois avec le Bénomyle


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