lutte biologique
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Author(s):  
Agnaldo Plácido da Silva ◽  
Eloá Jessica Mendes dos Santos Plácido ◽  
Walber Breno de Souza Moraes

L’un des plus grands défis actuellement pour la santé publique au Brésil et dans le monde sont les maladies à transmission vectorielle, et les mesures de lutte actuelles sont inefficaces. Les moustiques sont parmi les vecteurs de diverses maladies, parce qu’ils sont hématophagous, les femelles ont besoin de sang dans la période d’ovulation pour la reproduction et une fois contaminés, le moustique peut contenir des bactéries, protozoaires et virus qui sont alloués dans leurs glandes salivaires, infectant ainsi l’individu directement dans la circulation sanguine. Aedes aegypti est responsable de ces maladies : dengue, zika, chikungunya et fièvre jaune. Les formes de lutte contre les moustiques vecteurs jusqu’à présent sont inefficaces, et avec cela plusieurs technologies ont été développées comme alternatives dans la lutte et la lutte contre le moustique Aedes aegypti. Avec les approbations récentes pour la libération d’insectes génétiquement modifiés, il est nécessaire d’avoir des études plus détaillées pour évaluer leur potentiel écologique et leurs effets évolutifs. Ces effets peuvent se produire en deux phases : une phase transitoire lorsque la population focale change de densité, et une phase d’état stable lorsqu’elle atteint une densité nouvelle et constante. Avec les innovations dans la lutte antivectorielle par le biais d’insectes génétiquement modifiés nous donner une nouvelle perspective par rapport à la manipulation génétique. Cette étude vise à évaluer les effets potentiels d’un changement rapide de la densité du moustique Aedes aegypti lié à la lutte biologique par le moustique génétiquement modifié. Nous nous demandons donc si la biotechnologie peut être une solution aux problèmes de santé publique dans le cas du moustique Aedes aegypti ou un problème? Puisque la transformation ou les modifications de ces êtres vivants dans les laboratoires sont de nouvelles techniques qu’il est impossible jusqu’à présent de savoir quelles seront les conséquences à long terme.


2019 ◽  
pp. 153-159
Author(s):  
Hilal Tunca ◽  
Marine Venard ◽  
Etty-Ambre Colombel ◽  
Élisabeth Tabone

Description du sujet. Dans le cadre d’un projet de biocontrôle de la processionnaire du pin, Thaumetopoea pityocampa Denis & Schiffermüller, l’utilisation de parasitoïdes indigènes pour lutter contre ce ravageur a été étudiée au sein du Laboratoire Biocontrôle à l’UEFM (Unité Expérimentale Entomologie et Forêt Méditerranéenne) à l’INRA PACA. Objectifs. Il est nécessaire de rechercher le meilleur hôte de substitution et de mettre au point son élevage. Plus particulièrement, l'espèce Ooencyrtus pityocampae (Mercet) a été étudiée. Méthode. Thaumetopoea pityocampa étant une espèce allergisante, plusieurs hôtes de substitution ont été comparés pour l’élevage des parasitoïdes : Philosamia ricini (Danovan), Nezara viridula (L.) et Halyomorpha halys (Stål). Les caractéristiques biologiques et la fitness des descendants ont été comparées en conditions de laboratoire (25 ± 1 °C, 75 ± 5 % HR, 16L:8D). Résultats. Philosamia ricini est le meilleur hôte de substitution pour l’élevage d’O. pityocampae pour ce qui est de la quantité et de la qualité des individus produits. Conclusions. Cette étude servira de base à une réflexion sur les possibilités d’utiliser ce parasitoïde dans le cadre de la lutte biologique contre certains ravageurs méditerranéens.


2019 ◽  
pp. 226-244
Author(s):  
Marie Bessat ◽  
Emmanuel Castella ◽  
Martin C.D. Speight ◽  
Dominique Fleury ◽  
Nicolas Delabays
Keyword(s):  

Description du sujet. Cette étude traite de la végétation et des Diptères Syrphidae au sein de Surfaces de Promotion de la Biodiversité (SPB) de type « prairies extensives » en contexte agricole. Objectifs. L’objectif consiste à tester l’influence des facteurs « taille » et « qualité botanique » des SPB sur la syrphifaune qui s’y développe. Il s’agit également de rechercher les relations entre la végétation et les syrphes, ainsi que de mettre en avant le potentiel de lutte biologique de ces surfaces. Méthode. Douze SPB ont été sélectionnées, sur la base de leur taille (< 3 000 m2 vs > 9 000 m2) et de leur niveau de qualité botanique établi sur la base de la présence d'espèces végétales indicatrices. Des inventaires de végétation ont été réalisés dans chacune des SPB, l’échantillonnage des syrphes a été effectué par la pose de deux pièges à émergence et d’un piège Malaise par site. Résultats. Indépendamment de leur taille ou de leur niveau de qualité botanique, les SPB abritent et attirent une faune syrphidologique majoritairement aphidiphage au stade larvaire. Les fleurs de couleur jaune et blanche ainsi que celles produisant du nectar influencent la richesse et l'abondance en syrphes. Conclusions. Le potentiel des SPB à abriter et attirer des syrphes aphidiphages montre qu'elles sont en mesure d’offrir un service de lutte biologique contre les ravageurs des cultures adjacentes.


2018 ◽  
pp. 605
Author(s):  
Marc Kenis ◽  
Brett P. Hurley ◽  
Ann E. Hajek ◽  
Matthew J.W. Cock
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 7 (3) ◽  
pp. 924
Author(s):  
CF Ladoh Yemeda ◽  
R Mony ◽  
M Tchatat ◽  
S Dibong
Keyword(s):  

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