scholarly journals Le voyage allégorique chez Christine de Pisan

Author(s):  
Stéphane Gompertz
Keyword(s):  
1861 ◽  
Vol s2-XII (293) ◽  
pp. 107-107
Keyword(s):  

Manuscripta ◽  
1977 ◽  
Vol 21 (3) ◽  
pp. 144-153
Author(s):  
Josette A. Wisman
Keyword(s):  

1914 ◽  
Vol 29 (2) ◽  
pp. 58 ◽  
Author(s):  
George L. Hamilton ◽  
Mathilde Laigle
Keyword(s):  

Speculum ◽  
1979 ◽  
Vol 54 (3) ◽  
pp. 559-560
Author(s):  
Nathaniel B. Smith
Keyword(s):  

2020 ◽  
Vol 12 (1) ◽  
pp. 261-276
Author(s):  
Kim Fuchs Godec

Oubliées à tort pendant plusieurs siècles, les femmes de lettres, dont Christine de Pisan, Louise Labé, Madelaine et Catherine des Roches, Marceline Desbordes-Valmore et beaucoup d’autres, prêtaient à maintes reprises leur plume prolixe au service des épanchements du cœur. La voix féminine de la poésie courtoise, Christine de Pisan, s’est inscrite dans l’histoire comme la première Française à avoir jamais vécu de ses écrits. D’origine vénitienne, elle s’est permis, à la fin du XIVe, début du XVe siècle, de célébrer le mariage et chanter, en son propre nom, l’amour pour son mari et le délice de la nuit de noces afin de montrer du doigt le concept erroné de l’amour courtois, vanté par les troubadours. Néanmoins, ce n’est qu’à la Renaissance que la scène littéraire assiste à « l’avènement » de la figure de la femme écrivaine/poétesse, incarnée par-dessus tout dans le personnage de Louise Labé, femme dotée de la liberté d’esprit, qui assumait pleinement sa féminité dans ses vers. À l’aube du XIXe siècle, le cercle s’agrandit avec Marceline Desbordes-Valmore, connue de nos jours comme prédécesseure de la poésie romantique.


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