Logique formelle d’appartenance, liberté de choix et sécularisation dans l’islam

2017 ◽  
pp. 189-201
Author(s):  
Franck Frégosi
Keyword(s):  
2005 ◽  
Vol 31 (1) ◽  
pp. 227-260
Author(s):  
Alessandro Caldarone

Le droit est une matière qui se prête très bien au traitement informatique. En effet nous pouvons dans cette discipline identifier deux aspects différents et complémentaires de la même réalité, à savoir l'aspect éthique et l'aspect logique. Dans cette étude, l'auteur se penche sur l'aspect logique du droit. Pour ce faire, il utilise la logique formelle afin de réduire sous forme de règles la matière portant sur le remboursement des améliorations faites sur l'immeuble d'autrui. Le résultat final en est un d'intelligence artificielle avec la réalisation d'un système expert portant le nom de LEX-A. Celui-ci a été réalisé sur ordinateur Macintosh et utilise le langage de programmation PROLOG.


1952 ◽  
Vol 49 (1) ◽  
pp. 24
Author(s):  
Ernest Nagel ◽  
Joseph Dopp
Keyword(s):  

1949 ◽  
Vol 46 (9) ◽  
pp. 275
Author(s):  
V. J. McGill ◽  
Henri Lefebvre.
Keyword(s):  

1940 ◽  
Vol 5 (3) ◽  
pp. 98-103 ◽  
Author(s):  
G. Pólya

Il s'agit d'un problème combinatoire de logique formelle, formulé par Jevons; il sera expliqué en détails dans ce qui suit (voir no. 1). Jevona luimême n'a traité le problème que dans les cas les plus simples (n = 1, 2, 3); un cas plus difficile (n = 4) a été traité par Clifford; le cas général (n quelconque) a été à peine abordé.Le but de ce travail est de faire remarquer que ce problème de Jevons et de Clifford est contenu comme cas particutier dans un problème combinatoire général que j'ai traité ailleurs. La méthode générale ramène le problème présent à l'étude d'un certain groupe de permutations d'ordre n!2n, étroitement lié au groupe symétrique d'ordre n!. J'ai fait les calculs nécessaires pour n = 1, 2, 3, 4. Mes résultats numèriques sont complètement en accord avec les résultats de Jevons, mais ils ne s'accordent qu'en partie avec les résultats de Clifford.Une proposition peut être vraie ou fausse. On peut exprimer la même chose en disant que nous pouvons attribuer à une proposition l'une ou l'autre des deux “valeurs logiques” qui s'excluent mutuellement: la “vérité” et la “fausseté.”


1981 ◽  
Vol 46 (1) ◽  
pp. 6-16 ◽  
Author(s):  
André Boileau ◽  
André Joyal

Les synthèses nouvelles par le rapprochement de disciplines mathématiques différentes constituent des événements remarquables dans l'histoire des mathématiques. Une telle synthèse semble émerger actuellement du rapprochement de:(1) La géométrie algébrique sous la forme élaborée par Grothendieck.(2) La logique formelle.Le point de contact s'est effectué aux environs de 1970 par W. Lawvere et M. Tierney et l'instrument de rapprochement a été la théorie des catégories, plus particulièrement la théorie des faisceaux. Depuis ce moment, une dialectique incessante imprime un mouvement dynamique à toute une série de recherches qui visent à rapprocher les méthodes suivantes:(1) Mathématique intuitionniste.(2) Forcing de Cohen et Robinson.(3) Logique algébrique.(4) Géométrie algébrique.(5) Géométrie différentielle et analytique.(6) Topologie algébrique: cohomologie, homotopie.(7) Théorie de Galois.Certains rapprochements sont dans un stade avancé, d'autres encore embryonnaires: (6) ↔ (3).La structure centrale qui joue le rôle d'élément provocateur et unificateur est celle de topos. Avant d'être axiomatisée par Lawvere, celle-ci a été étudiée systématiquement par l'école de Grothendieck (voir [1]) et c'est dans le contexte de la géométrie algébrique qu'elle fit son apparition. Dans cet article nous utiliserons cependant la définition de Lawvere telle qu'améliorée par Mikkelsen [12] et Kock [8].Le but de ce travail est de présenter une version (au sens de la logique formelle) du concept de topos et d'examiner brièvement les rapports entre la théorie des topos, la logique et les mathématiques. Cette version a déjà été exposée par l'un des auteurs lors du Séminaire de Mathématiques Supérieures de l'Université de Montréal, à l'été 1974. Depuis elle a fait l'objet d'une thèse où elle a été améliorée et sa cohérence vérifiée [2]. Des systèmes différents ont été proposés simultanément par Fourman [4] et Coste [3].


2002 ◽  
pp. 31-42 ◽  
Author(s):  
Michel Borgetto ◽  
Robert Lafore

Résumé Le droit social, forme juridique prise en France par l'État-providence, est apparu lors de sa fondation comme une alternative globale aux impasses du droit issu de la Révolution. Dans un contexte de développement de la société industrielle, les principes individualistes, égalitaires et consensualistes du modèle civiliste étaient en effet inopérants pour encadrer la situation faite aux travailleurs salariés. Le droit social a entendu substituer une logique distributive à la justice commutative du contrat et de la responsabilité. Aux mécanismes interindividuels, il a préféré un cadre collectif. En lieu et place de la logique formelle et descendante du droit civil, il a imposé une prise en compte concrète et matérielle des rapports sociaux pour en dégager des normes et des institutions praticables. Mais, loin de supplanter intégralement les cadres civilistes du droit, le droit social et ses institutions d'essence solidariste ont en réalité composé avec eux : certaines techniques du droit de la responsabilité ont été maintenues à la périphérie des institutions collectives du droit social. Le droit civil a même reconquis peu à peu une partie du terrain perdu au fur et à mesure qu'il se perfectionnait en liaison avec l'évolution de la société. Cette reconquête permet, en dernière analyse, de mieux saisir la place et la nature exactes du droit social au sein du système juridique français.


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