logique formelle
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2021 ◽  
pp. 89-233
Author(s):  
Oliver Schlaudt ◽  
Anne-Francoise Schmid
Keyword(s):  

Sens public ◽  
2015 ◽  
Author(s):  
Roberto Gac
Keyword(s):  

Dans un texte rédigé en italien, Marcello Vitali Rosati analyse la pensée d’Emmanuel Lévinas d’un point de vue logique. La distance prise par Lévinas face à l’ontologie et à la logique formelle contraint l’auteur à développer sa propre « logique de la transcendance », en s’appuyant, entre autres, sur la « logique de l’Inconscient », explorée dans la deuxième moitié du XXe siècle par le psychiatre et psychanalyste Ignacio Matte Blanco.


2014 ◽  
Vol 5 (1) ◽  
pp. 28-48 ◽  
Author(s):  
Paul Ricoeur

This article presents an edited version of lectures given by Paul Ricœur at Johns Hopkins University in April 1966. Ricœur offers a comparative analysis of Wittgenstein’s and Husserl’s late works, taking the problem of language as the common ground of investigation for these two central figures of phenomenology and analytic philosophy. Ricœur develops his study in two parts. The first part considers Husserl’s approach to language after the Logical Investigations and concentrates on Formal and Transcendental Logic; leaving a transcendental reflection on language behind it re-examines a phenomenological conception, according to which the sphere of logic is not separable from that of experience. The main focus of the second part is Wittgenstein’s later philosophy as it moved on from the conception of an isomorphic relation between language and the world, as set out in the picture theory in the Tractatus Logico-Philosophicus, to the more pragmatic notion of a language-game in the Philosophical Investigations. In order to get beyond the irrevocable differences between the two philosophies and the unresolved theoretical issues on both sides, Ricœur suggests turning to a semiological paradigm based on the Saussurean distinction between “language” and “speaking.” Keywords: Analytic Philosophy, Husserl, Phenomenology, Semiology, Wittgenstein.Résumé Cet article est une version éditée de conférences données par Paul Ricœur à la Johns Hopkins University en avril 1966. Ricœur propose une analyse comparée des dernières œuvres de Wittgenstein et Husserl, avec le problème du langage comme sol commun d’investigations pour ces deux figures centrales de la phénoménologie et la philosophie analytique. Cette analyse de Ricœur se joue à travers deux parties. La première partie revient sur l'approche du langage chez Husserl depuis Recherches logiques avec une attention particulière aux développements de Logique formelle et logique transcendantale; dans le cadre d’une réflexion transcendantale sur le langage il revient sur une conception phénoménologique selon laquelle, le domaine du logique n’est pas séparable de celui de l'expérience. La deuxième partie se concentre principalement sur la dernière philosophie de Wittgenstein alors qu’il s'est départi de l’idée d’une relation isomorphique entre le langage et le monde telle que posée par la théorie du tableau dans le Tractatus logico-philosophicus, pour s’engager vers la notion plus pragmatique de jeu de langage dans les Investigations philosophiques. Afin de surmonter les différences irrémédiables entre les deux philosophies et, dans une certaine mesure, certains des problèmes théoriques non résolus depuis les deux bords, Ricœur fait finalement référence à un paradigme sémiologique et à la distinction saussurienne entre “langue” et “parole.” Mots-clés: Husserl, phénoménologie, sémiologie, philosophie analytique, Wittgenstein


2010 ◽  
Vol 36 (2) ◽  
pp. 447-465 ◽  
Author(s):  
Claire Ortiz Hill
Keyword(s):  

Résumé Pour projeter de la lumière dans de nombreux coins et recoins obscurs de la logique pure de Husserl et dans les rapports entre sa logique formelle et sa logique transcendantale, et combler des lacunes empêchant qu’on arrive à une appréciation juste de sa Mannigfaltigkeitslehre, ou théorie de multiplicités, on examine comment, en prônant une théorie des systèmes déductifs, ou systèmes d’axiomes, comme tâche suprême de la logique pure, Husserl cherchait à résoudre certains problèmes épineux auxquels il s’était heurté en écrivant Philosophie de l’arithmétique. Ces problèmes sont décrits. Ensuite, on rassemble les éléments nécessaires pour caractériser ce que Husserl, à travers les textes présentement disponibles, voulait dire des Mannigfaltigkeiten. Pour conclure, il est indiqué comment Husserl pouvait considérer que sa théorie représentait une solution aux problèmes qui avaient conduit à son élaboration.


2008 ◽  
Vol 64 (2) ◽  
pp. 359-376
Author(s):  
Tosaka Jun
Keyword(s):  

Le concept de caractère (seikaku) se distingue de ceux d’individu ou d’essence en ce qu’il ne fonctionne pas à partir du principe d’individuation permettant de déterminer la limite et l’extension d’un objet en tant qu’unité insécable ou catégorie scientifique. Le caractère d’un objet est sa propriété la plus représentative définie par la méthode pratique et les projets quotidiens. Le critère en est le mouvement de la totalité de l’histoire en relation avec l’activité des hommes en société. Il développe une théorie alternative au modèle de la logique formelle.


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