Boris Vian et les équivoques du Déserteur

2018 ◽

Author(s):

Kaitlin Lewis

Keyword(s):

De Se ◽

Avec des images telles qu’une araignée comme sonnette et une souris arborant le visage d’un homme, le film L’écume des jours donne l’impression de se dérouler comme un rêve d’enfant. Boris Vian a écrit L’écume des jours dans les années 40, puis le film, adapté par Michel Gondry, le réalisateur d’Eternal Sunshine of a Spotless Mind, est sorti en 2013. Gondry est reonnu pour son style visuel inventif. Le monde qu’il crée dans ce film est un spectacle remarquable et charmant. L’écume des jours utilise le surréalisme pour exprimer une histoire d’amour classique de Colin (Romain Duris) et Chloé (Audrey Tatou). Mais leur monde parfait et leur maison changent peu de temps après le mariage quand ils découvrent qu'un nénuphar pousse dans le poumon de Chloé. Alors que l’état de Chloé s'aggrave rapidement, leur maison et les alentours se dégradent eux aussi. À travers le film, les sentiments et les émotions des personnages prennent forme dans le monde réel. Les images surréalistes dans l’oeuvre soutiennent l’intrigue et l’ambiance en donnant une manifestation visuelle. Vian parle des contextes sociaux d’une manière controversée sous l’apparence des scènes pittoresque comme dans un conte des fées. Gondry fait contraster des images fantaisistes et légères avec des sentiments sombres et des critiques puissantes de la société. Dans L’écume des jours, la représentation physique est liée à l’espace que Gondry et Vian ont créé pour susciter une discussion.

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El lobo civilizado de Boris Vian y su adaptación cinematográfica moralizante

Çédille ◽

10.21071/ced.v12i.5623 ◽

2016 ◽

Vol 12 ◽

pp. 244

Author(s):

Estefanía Montecchio

Keyword(s):

Boris Vian

Dans le dialogue entre le cinéma et la littérature, la question des adaptations cinématographies a été abondamment discutée. Cette polémique a fait attention, principalement, à la recodification du texte dans le langage cinématographique, en négligeant, néanmoins, la propre empreinte que l´intervention peut imposer à une oeuvre. Il est donc significatif le cas du court-métrage À feu de Mavounia- Kouka, d´après le conte de Vian « Le loup-garou ». Afin de les mettre en question, ce dernier texte travaille des lieux communs étant présents aussi dans le film, bien que re-signifiés à travers l´introduction d´une Vierge qui représente la moralité. C’est ainsi que la subversión des lieux communs devient dans le court-métrage une question d´ordre moral.

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Reflejos de la educación de la niña-adulta en el teatro contemporáneo: Frágil, del Teatro de los Andes (Bolivia)

América sin nombre ◽

10.14198/amesn.2021.25.14 ◽

2021 ◽

pp. 171

Author(s):

Elena Guichot-Muñoz

Keyword(s):

La Niña ◽

La Nina ◽

Boris Vian

Este artículo parte del análisis de una obra emblemática en la representación de la niña en la dramaturgia contemporánea latinoamericana: Frágil, del Teatro de los Andes (Bolivia). El objetivo es desvelar el paradigma sociocultural reflejado en el lenguaje confesional de la protagonista, en relación con los estudios de identidad femenina. Se realiza un análisis intertextual, examinando los intertextos de la pieza (Paola Masino, Boris Vian), y un análisis semiológico, reconociendo en los diálogos de la protagonista la construcción del género. En el texto se percibe cómo la sensibilidad negada, y la simbología que se atribuye a la transición entre mujer niña y mujer adulta -relacionada con la locura o histeria- nace como consecuencia de una educación castradora. Se descubre la materialización y la abyección atribuida a la condición de mujer (Kristeva, 1967; Butler, 1993), y se erige un discurso marginal: la voz de la niña-adulta que habla del peso de una herencia reprimida.

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