scholarly journals Analyse de discours pour la didactisation du genre récit de voyage en classe de FLE

2018 ◽  
Author(s):  
Nacima Makhloufi
Keyword(s):  
Author(s):  
Florence Giust-Desprairies ◽  
André Lévy
Keyword(s):  

2006 ◽  
Vol 12 (1) ◽  
pp. 97-110
Author(s):  
S. Combaluzier ◽  
B. Gouvernet ◽  
J.-L. Viaux
Keyword(s):  

1992 ◽  
Vol 21 (2) ◽  
pp. 199-229 ◽  
Author(s):  
Hilary CHAPPELL ◽  
Sandra A. THOMPSON

Nous examinons dans cet article l'emploi du morphème "associatif de en mandarin. Il s'agit de la première analyse de discours fondée sur un important corpus d'exemples écrits et parlés. Nous nous servons d'un modèle probabiliste pour démontrer que la présence ou l'absence de de dans les phrases nominales associatives est un phénomène complexe qui est déterminé par l'interaction de variables linguistiques telles que (i) le facteur pragmatique de l'"information flow"; (ii) les propriétés sémantiques du nom principal et (iii) des propriétés structurelles et combinatoires de la phrase nominale. Pour l'explication des résultats concernant les propriétés sémantiques du déterminant et du déterminé dans cette construction associative, nous employons également une hierarchie d'égocentricité et une théorie de l'iconicité.


2010 ◽  
Vol 20 (1) ◽  
pp. 61-74 ◽  
Author(s):  
GENEVIÈVE TRÉGUER-FELTEN

ABSTRACTCet article propose une analyse de discours contrastive des documents professionnels qu'une entreprise multinationale adresse à son personnel en deux versions linguistiques différentes (anglais-américain et français) de statut égal. Produits au terme d'un processus collectif complexe (écriture en anglais lingua franca et ‘bi-textes’) visant à en faire des documents identiques, ces Principes d'Action révèlent pourtant des dissemblances. On en cherche la cohérence en croisant les analyses énonciative, sémantique et linguistique des diverses catégories sur lesquelles reposent les différences, avant de conclure à une représentation d'univers de travail distincts dans lesquels, entre autres, l'autorité s'exerce différemment, notamment en fonction des sujets concernés. On s'interroge, pour finir, sur les liens entre les univers de travail représentés et la culture des sociétés concernées.


FORUM ◽  
2017 ◽  
Vol 15 (2) ◽  
pp. 212-227
Author(s):  
Michel Rochard

Résumé En juin 1990 se tenait dans les locaux de l’ESIT un colloque sur La liberté en traduction en hommage à Danica Seleskovitch. Nous retiendrons cette date et ce colloque comme point de départ de notre contribution sur le rapport de la traduction avec l’écrit et la réécriture parce qu’ils s’inscrivent dans un contexte remarquable: Le thème de la liberté en traduction renvoie à la question du rapport du traducteur avec le texte original (l’écrit) et aux limites de son action de réécriture. Sur le plan traductologique, le débat entre sourciers et ciblistes est pratiquement dépassé et les grands courants pragmatistes (Théorie interprétative, Théorie du Skopos et analyse de discours) commencent à converger. Les théories linguistiques de la traduction perdent du terrain. Le métier n’est encore que peu touché par les mutations technologiques. La TAO est balbutiante, la traduction automatique moribonde et la généralisation du traitement de texte peut être considérée comme un simple changement d’instrument d’écriture. Le papier (texte, document, publication, livre…) est le vecteur archi-dominant de la communication susceptible de faire appel aux traducteurs. L’impact de la Chute du mur de Berlin sur l’économie mondiale n’est pas encore perceptible. Dans la suite de notre communication, ce sont ces éléments de contexte qui nous serviront de paramètres pour l’analyse de l’évolution du rapport de la traduction avec l’écrit et la réécriture au cours des deux périodes, à savoir la vingtaine d’années qui suit (mondialisation économique, Internet et messagerie, développement de la TAO) et surtout la période actuelle de la transformation numérique qui semble devoir donner lieu aux plus grandes mutations du métier de traducteur, notamment dans ses rapports avec le papier, l’écrit et la réécriture.


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