prévention tertiaire
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2020 ◽  
Vol 68 ◽  
pp. S131-S132
Author(s):  
R. Touzani ◽  
D. Rey ◽  
A. Monet ◽  
M. Préau ◽  
M. Bendiane ◽  
...  

Author(s):  
W. J. Wayne Skinner ◽  
Nina Littman-Sharp ◽  
Jane Leslie ◽  
Peter Ferentzy ◽  
Salaha Zaheer ◽  
...  

Whereas the proportion of older adults who experience gambling problems appears relatively small, factors such as cognitive changes with age, social isolation and maintaining fixed incomes can make older adults particularly susceptible to gambling problems, increasing the severity of the consequences they may experience. Relatively few resources are available that are directed specifically to older adults with gambling problems. This report identifies, based on the knowledge and evidence currently available, Best Practices for treating gambling problems among older adults intended for practitioners, patients, families, policy makers and others concerned with this population. A team of gambling researchers and experienced clinicians first identified overarching conceptual frameworks to guide the work. The researchers then shaped a set of Best Practices that was reviewed by a working group developing Best Practices for preventing gambling problems among older adults. Based on their feedback, the authors created a final set of Best Practices. This process was informed at all stages by a systematic review of the literature, evidence from a recent population survey of gambling among Ontario older adults, and ongoing review by practice experts. These guidelines focus on five areas: (1) person-centred and family-focused care, (2) screening and assessment, (3) secondary prevention and early intervention, (4) tertiary prevention and specialized treatment, and (5) ongoing support and recovery resources. Limitations include the paucity of studies specifically on gambling and older adults. We offer these as the most current clinical guidelines for those clinicians and researchers working with older adults, in anticipation of evolving Best Practices as new evidence and consequent greater knowledge become available.RésuméBien que la proportion de personnes âgées ayant des problèmes de jeu semble relativement faible, des facteurs tels que les changements cognitifs avec l’âge, l’isolement social et des revenus fixes peuvent rendre les adultes plus vulnérables aux problèmes de jeu, ce qui augmente la gravité des conséquences. Il existe relativement peu de ressources disponibles destinées spécifiquement aux personnes âgées ayant des problèmes de jeu. Selon les connaissances et les données probantes actuellement disponibles, ce rapport fait l’inventaire des meilleures pratiques pour traiter les problèmes de jeu chez les personnes âgées, pratiques qui sont destinées aux praticiens, aux patients, aux familles, aux décideurs et aux autres personnes concernées par cette population. Une équipe de chercheurs sur le jeu et de cliniciens chevronnés a d’abord établi les cadres conceptuels généraux pour guider le travail. Ensuite, un ensemble de pratiques exemplaires a été constitué et examiné par un groupe de travail chargé de mettre au point les meilleures pratiques pour prévenir les problèmes de jeu chez les personnes âgées. Un ensemble de meilleures pratiques a été retenu en tenant compte de leurs commentaires. Toutes les étapes du processus ont été soutenues par une revue systématique de la littérature, des preuves tirées d’une enquête récente sur la population des personnes âgées en Ontario et un examen continu effectué par des experts praticiens. Les directives portent sur cinq domaines: (1) les soins centrés sur la personne et la famille, (2) le dépistage et l’évaluation, (3) la prévention secondaire et l’intervention précoce, (4) la prévention tertiaire et le traitement spécialisé, (5) ainsi que les ressources permanentes pour le soutien et le rétablissement. La rareté des études portant spécifiquement sur le jeu et les personnes plus âgées a limité cette analyse. Nous offrons actuellement les meilleures lignes directrices cliniques aux personnes qui travaillent avec des personnes âgées, en gardant en vue l’évolution des meilleures pratiques au gré de nouvelles preuves et connaissances.


2017 ◽  
Vol 21 (1) ◽  
pp. 88
Author(s):  
S. Espenel ◽  
M.-A. Garcia ◽  
J.-B. Guy ◽  
A. Vallard ◽  
M. Ben Mrad ◽  
...  

2017 ◽  
Vol 21 (1) ◽  
pp. 85-86
Author(s):  
S. Espenel ◽  
M.-A. Garcia ◽  
J.-B. Guy ◽  
A. Vallard ◽  
M. Ben Mrad ◽  
...  

2017 ◽  
Vol 21 (1) ◽  
pp. 77-83 ◽  
Author(s):  
S. Espenel ◽  
M.-A. Garcia ◽  
J.-B. Guy ◽  
A. Vallard ◽  
M. Ben Mrad ◽  
...  

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 628-629
Author(s):  
P. Lascar

Les suicides de salariés et de demandeurs d’emploi ont été les révélateurs d’une souffrance liée au monde du travail. Il est préféré à ce terme, trop subjectif et compassionnel, mal défini car n’apparaissant ni dans le vocabulaire juridique, ni dans la sémiologie médicale, celui de Risques PsychoSociaux (RPS).Nous retiendrons les définitions suivantes qui articuleront les trois communications :– facteurs de risques psychosociaux : éléments organisationnels et relationnels relatifs à l’environnement professionnel du travailleur qui peuvent potentiellement entraîner chez lui des troubles psychiques;– troubles psychosociaux : troubles psychiques chez un travailleur, dont l’origine est directement liée à son milieu professionnel;– risques psychosociaux : probabilité de survenue de troubles psychosociaux relative à une exposition à des facteurs de risques psychosociaux.Selon la définition de l’Organisation mondiale de la santé, les RPS sont entendus comme risques pour la santé mentale, physique et sociale, engendrés par une exposition à des conditions d’emploi, des facteurs organisationnels et relationnels en milieu professionnel susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental.Diverses dispositions juridiques (art. L 4121-1 et suivants du Code du travail) et accords nationaux interprofessionnels s’imposent aux employeurs. Leur responsabilité sur la sécurité et la protection de la santé physique mais aussi mentale des travailleurs est engagée. Ils doivent inscrire les RPS dans une démarche globale de prévention et d’évaluation des risques.Notre discipline doit s’engager dans la prise en compte du stress au travail, dans l’identification (prévention secondaire) et dans la prise en charge des RPS (prévention tertiaire). Elle doit remédier à l’absence d’inscription de pathologies psychiques dans un tableau de maladies professionnelles. Des réponses sont apportées tant dans le domaine des préventions que dans celui de la reconnaissance de pathologies psychiques d’origine professionnelle.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 629-629
Author(s):  
Z. Zachariou

La clinique du stress « Françoise-Le-Coz » est un dispositif original dans la psychiatrie publique et cela en intervenant sur deux axes.Son premier axe d’intervention (la prévention secondaire) concerne l’élaboration et la mise en place des actions de sensibilisation spécifiques. Elle tient compte de l’ambiance interpersonnelle et professionnelle et les particularités de la structure organisationnelle. Des facteurs comme la nature du métier et les récits des cadres et des salariés nécessitent des adaptations pédagogiques rapides et adéquates. La psychoéducation clarifie les particularités des orientations thérapeutiques. La définition du programme est l’objet d’un consensus organisationnel préalable et le cadre éthique est assuré. Son deuxième axe d’intervention (la prévention tertiaire) concerne les suivis médicopsychologiques. L’analyse de la demande et sa contextualisation sont essentielles. Au-delà de l’anamnèse classique, l’accent est mis sur certains facteurs relationnels et psychologiques. Les différents types de personnalité et d’attribution causale (interne ou externe) sont examinés par rapport à l’historique et l’évolution de la plainte. L’interaction des schémas de fonctionnement du patient avec des facteurs contextuels tels que les conditions et l’ambiance de travail entrent en considération dans la planification des traitements. De plus, on tient également compte de la subjectivité des différentes situations cliniques mais aussi organisationnelles et des limitations qui en découlent. Les stratégies thérapeutiques appliquées s’intègrent de façon réaliste dans une démarche pluridisciplinaire en tenant compte de la complexité du contexte médico-juridique et parfois financier.En conclusion, le développement de ce type de structures hospitalières constitue une perspective d’ouverture avantageuse pour la psychiatrie publique. Il a comme vocation d’être un pivot essentiel du projet de « dispositif régional de prévention des risques psychosociaux » (DRPRP) d’Île-de-France.


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