Cette étude explore les pratiques de réouverture de sépultures dans la moitié nord de la France au haut Moyen Âge (VIe-VIIIe siècles). En s’appuyant sur les données archéologiques, et une analyse archéothanatologique des structures funéraires, il propose une nouvelle lecture d’actes longtemps identifiés comme transgressifs, et commis à l’encontre du repos des morts.