Bulletin de la Société d'égyptologie, Genève
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Published By Universite De Geneve

2674-1342, 0255-6286

Author(s):  
Philippe Collombert

L’étude des différentes graphies employées pour les toponymes traditionnellement traduits par « Djêmé », en suivant leur chronologie, permet de proposer un schéma explicatif cohérent de l’emploi de ces graphies avant l’époque ptolémaïque. Cet aperçu témoigne de la remarquable circulation des systèmes théologiques et de leur continuelle adaptation au gré de synthèses locales.


Author(s):  
Olivier Perdu
Keyword(s):  

Les diverses opinions exprimées sur la façon dont les chefs de Siwa contemporains des XXVIe et XXXe dynasties sont désignés ont conduit à réexaminer cette question et à préciser la portée de la solution retenue.


Author(s):  
Katia Novoa

Publication de deux vases canopes conservés au Musée d’art et d’histoire de Genève (A 2018-70 et A 2018-71). Ces objets ont été reçus en don en 2018. L’un d’eux est inscrit au nom de Paheter, l’autre est anépigraphe.


Author(s):  
Jean-Luc Chappaz

Jean-Jacques Rifaud (1786-1852) est connu par ses découvertes pionnières et par quelques publications assez maladroites. Il laisse également d’importantes archives, dont quelques milliers de feuillets nouveaux ont été récemment portés à l’inventaire de la Bibliothèque de Genève. Outre l’Égypte, ces documents concernent aussi V enise, la Belgique, la Hollande et la Suisse. Après une présentation rapide du contenu des archives égyptiennes, cet article s’attarde plus parti- culièrement sur ses descriptions de Genève, mettant en exergue la personnalité bipolaire de l’auteur, ses prétentions, ainsi que le manque d’originalité de ses observations.


Author(s):  
Simon Delvaux
Keyword(s):  

Comment la représentation d’un porteur de palanche dans un mastaba conduit à s’interroger sur la perception que nous avons des conventions artistiques égyptiennes.


Author(s):  
Pascal Vernus

Un texte exceptionnel connu par deux versions dans le temple de Dendara (Dendara III 53, 5-54, 9 ; XIII 21, 5-23, 1) semble dériver d’un oracle d’Hathor qui fut émis lors d’une procession de la barque sacrée de la déesse. Hathor s’engage à protéger sa ville et à assurer la pros-périté de l’Égypte. L’oracle, qui présente de forts éléments de néo-égyptien, peut-être dus au fait qu’il fut originellement prononcé à la Troisième Période intermédiaire, soulève la question complexe de l’hétérogénéité linguistique dans les temples gréco-romains : dans quelle mesure les textes de l’égyptien de la deuxième phase sont-ils placés à côté de textes originaux de l’égyptien de la première phase (« égyptien de tradition reproductif ») et de textes mimétiques d’égyptien de la première phase (« égyptien de tradition productif ») et jusqu’à quel point font-ils l’objet de retouches et bricolages ?


Author(s):  
Annik Wüthrich

Présent uniquement dans les sources administratives dès le Moyen Empire, le lexème ḥbs.yt indique une relation de dépendance entre une femme et un homme. À partir de la Troisième Période intermédiaire, on le retrouve sur plusieurs objets funéraires appartenant à des femmes. Le statut marital de ces dernières n’étant généralement pas indiqué sur leurs monuments, il est nécessaire de mieux cerner la signification de ce terme afin de comprendre les raisons de son emploi dans l’expression de l’identité féminine à partir de l’époque libyenne.


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