The Epistemological Function of Foreign Policy Analysis in the Empirical Research Program

Author(s):  
Gunnar Fermann
Author(s):  
Benno Teschke ◽  
Steffan Wyn-Jones

The problematic implications of the long absence of a dedicated encounter between Marxism and FPA (foreign policy analysis) are discussed. This absence has been marked by a series of different starting points and theoretical preferences between both intellectual projects. A paradigmatic turn for the incorporation of FPA and international politics into a revised Marxist research program is needed. Whereas FPA originated within a United States–centric Cold War context, growing out of the subfield of “comparative foreign policy,” which initially pursued a positivistic methodology, Marxism’s European theoretical legacy afforded neither international relations nor foreign policy analysis any systematic place since its inception in the 19th century. Recurring rapprochements were qualified successes due to Marxism’s tendency to relapse into structuralist versions of grand theorizing. While these could speak to general theories of international relations in the field of IR (international relations) from the late 20th century onward, FPA fell again and again through the cracks of this grand analytical register. Marxist FPA has only very recently been recognized as a serious research program, notably within the two traditions of neo-Gramscian international political economy (IPE) and Marxist historical sociology. With this move, Marxism has started to identify a problematique and produced a nascent literature that should bear fruit in the future.


2017 ◽  
Vol 31 (2) ◽  
pp. 245-271 ◽  
Author(s):  
María Catalina Monroy ◽  
Fabio Sánchez

1969 ◽  
Vol 2 (2) ◽  
pp. 187-199 ◽  
Author(s):  
Gilbert R. Winham

Cet article avance que les analystes de la politique étrangère pourraient et devraient se servir des techniques quantitatives de recherche. L'auteur examine la valeur opérationnelle de quatre d'entre elles pour des études de cette nature : (1) analyses des opinions de I'élite et de la masse, pouvant soustendre des attitudes générates susceptibles d'influencer cette politique; (2) analyses de faits quantifiables tels que les mouvements de commerce, les pertes de guerre et les budgets gouvernementaux; (3) techniques de simulation et de dynamique de groupes, propres à permettre l'élaboration d'une théorie générale de la décision; (4) analyses de contenu des messages des responsables de la politique étrangére.Il semble que, en matière de politique étrangère, l'analyse de contenu soit la plus fructueuse de ces techniques quantitatives de recherche, parce qu'elle centre I'étude sur la conjoncture de la décision, parce qu'elle permet l'examen de décisions spécifiques et parce qu'elle porte sur des documents d'information dont le volume est relativement abondant. On a utilisé cette technique avec profit dans l'étude des crises internationales; on pourrait se servir de méthodes similaires dans nombre de situations diverses impliquant la politique étrangère. A cet effet, l'analyste doit systématiser le choix des porte-paroles dont il scrute les messages et bâtir une grille complexe d'analyse, lui permettant de coder les thèmes de leur politique.L'article signale trois difficultés inhérentes à la méthode et dont l'importance varie d'après les buts de chaque étude : une information incomplète, l'authenticité de l'information et la signification qu'il faut attribuer à un thème d'après la fréquence d'utilisation par son auteur.


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