Bouffées de chaleur

Author(s):  
Christelle Besnard-Charvet ◽  
Antoine Demonceaux
Keyword(s):  
2021 ◽  
Author(s):  
K.K.Y. Kouassi ◽  
B.A. Odo ◽  
B.P.L. Nzamba ◽  
P.L. Touré ◽  
T.C. Nziengui ◽  
...  

Contexte : L’hormonothérapie par castration dans le cancer de la prostate avancé expose le patient à des effets secondaires qui doivent être également pris en charge. Objectif : Identifier les effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate avancé et leur prise en charge en milieu ivoirien. Patients et méthode : êtude rétrospective à visée descriptive qui s’est déroulée dans le service de cancérologie du centre hospitalier de Treichville en Côte-d’Ivoire sur une période de deux ans. Résultats : Soixante-quinze dossiers de patients ont pu être analysés. Tous les patients étaient noirs et la moitié avait moins de 55 ans. Quatre-vingt-trois pour cent des patients étaient métastatiques au diagnostic. La castration était chimique dans 84 % des cas parmi lesquelles 64 % ont reçu une suppression androgénique complète. La majorité des patients ont décrit des troubles de l’érection (100 %), des troubles de la libido (75 %), des bouffées de chaleur (88 %) et une anémie (100 %). L’anémie a été prise en charge chez tous les patients, tandis que les troubles de la sexualité ont rarement été traités. Conclusion : La prise en charge des effets secondaires liés à l’hormonothérapie au long cours dans le cancer de la prostate doit être optimisée dans notre contexte où les patients sont jeunes et actifs.


2005 ◽  
Vol 26 (6) ◽  
pp. 453-457 ◽  
Author(s):  
K. Masmoudi ◽  
V. Gras-Champel ◽  
A.S. Lemaire-Hurtel ◽  
H. Masson ◽  
A. Munier ◽  
...  
Keyword(s):  

Author(s):  
Johnathan Crépeau ◽  
Sarah Dussault ◽  
Mireille Lampron ◽  
Orlane Ballot ◽  
Charles M. Morin
Keyword(s):  

Cette étude s’intéresse à l’implication de l’hyperactivation cognitive et somatique et des bouffées de chaleur dans l’insomnie pendant la transition ménopausique. La présente étude inclut 12 femmes (50,75 ± 9,30 ans) en périménopause ou en début de postménopause souffrant d’insomnie. Cette dernière peut être présente depuis plus de trois ans avant la transition ménopausique (prémorbide) ou depuis moins de trois ans après le début de la transition ménopausique (récente). Les participantes ont répondu à des questionnaires évaluant la sévérité de l’insomnie, l’hyperactivation et la fréquence des bouffées de chaleur. Une association significative a été observée entre le niveau d’hyperactivation et la sévérité de l’insomnie. Aucune association significative n’a été observée entre la fréquence subjective des bouffées de chaleur et la sévérité de l’insomnie ainsi qu’entre les bouffées de chaleur et l’hyperactivation. De plus, aucune différence significative n’a été observée entre les femmes avec insomnie récente et les femmes avec insomnie prémorbide sur les deux composantes d’hyperactivation (somatique, cognitive). Les résultats ont permis de partiellement valider l’implication de l’hyperactivation dans l’insomnie chez une population de femmes en transition ménopausique.


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