bouffées de chaleur
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2021 ◽  
Author(s):  
K.K.Y. Kouassi ◽  
B.A. Odo ◽  
B.P.L. Nzamba ◽  
P.L. Touré ◽  
T.C. Nziengui ◽  
...  

Contexte : L’hormonothérapie par castration dans le cancer de la prostate avancé expose le patient à des effets secondaires qui doivent être également pris en charge. Objectif : Identifier les effets secondaires de la castration dans le cancer de la prostate avancé et leur prise en charge en milieu ivoirien. Patients et méthode : êtude rétrospective à visée descriptive qui s’est déroulée dans le service de cancérologie du centre hospitalier de Treichville en Côte-d’Ivoire sur une période de deux ans. Résultats : Soixante-quinze dossiers de patients ont pu être analysés. Tous les patients étaient noirs et la moitié avait moins de 55 ans. Quatre-vingt-trois pour cent des patients étaient métastatiques au diagnostic. La castration était chimique dans 84 % des cas parmi lesquelles 64 % ont reçu une suppression androgénique complète. La majorité des patients ont décrit des troubles de l’érection (100 %), des troubles de la libido (75 %), des bouffées de chaleur (88 %) et une anémie (100 %). L’anémie a été prise en charge chez tous les patients, tandis que les troubles de la sexualité ont rarement été traités. Conclusion : La prise en charge des effets secondaires liés à l’hormonothérapie au long cours dans le cancer de la prostate doit être optimisée dans notre contexte où les patients sont jeunes et actifs.


2020 ◽  
Vol 107 (11) ◽  
pp. 1171-1185
Author(s):  
Iphigénie Cavadias ◽  
Roman Rouzier ◽  
Florence Lerebours ◽  
Delphine Héquet

Books ◽  
2020 ◽  
Vol N° 108 (6) ◽  
pp. 51-53
Author(s):  
Tanya Marie Luhrmann ◽  
Isabelle Lauze
Keyword(s):  

Author(s):  
Johnathan Crépeau ◽  
Sarah Dussault ◽  
Mireille Lampron ◽  
Orlane Ballot ◽  
Charles M. Morin
Keyword(s):  

Cette étude s’intéresse à l’implication de l’hyperactivation cognitive et somatique et des bouffées de chaleur dans l’insomnie pendant la transition ménopausique. La présente étude inclut 12 femmes (50,75 ± 9,30 ans) en périménopause ou en début de postménopause souffrant d’insomnie. Cette dernière peut être présente depuis plus de trois ans avant la transition ménopausique (prémorbide) ou depuis moins de trois ans après le début de la transition ménopausique (récente). Les participantes ont répondu à des questionnaires évaluant la sévérité de l’insomnie, l’hyperactivation et la fréquence des bouffées de chaleur. Une association significative a été observée entre le niveau d’hyperactivation et la sévérité de l’insomnie. Aucune association significative n’a été observée entre la fréquence subjective des bouffées de chaleur et la sévérité de l’insomnie ainsi qu’entre les bouffées de chaleur et l’hyperactivation. De plus, aucune différence significative n’a été observée entre les femmes avec insomnie récente et les femmes avec insomnie prémorbide sur les deux composantes d’hyperactivation (somatique, cognitive). Les résultats ont permis de partiellement valider l’implication de l’hyperactivation dans l’insomnie chez une population de femmes en transition ménopausique.


Author(s):  
Christelle Besnard-Charvet ◽  
Antoine Demonceaux
Keyword(s):  

2014 ◽  
Vol 8 (3-4) ◽  
pp. 159
Author(s):  
Imad Ziouziou ◽  
Tariq Karmouni ◽  
Khalid El khader ◽  
Abdellatif Koutani ◽  
Aahmed Iben attya andaloussi

Les effets indésirables de l’hormonothérapie anti-androgénique (HAA) dans le traitement du cancer de la prostate sont attribuables à la carence d’androgènes. L’HAA entraîne le syndrome de castration, qui se caractérise par une diminution de la libido, la dysfonction érectile, l’asthénie, des bouffées de chaleur, la diminution des capacités intellectuelles et la dépression. Il en résulte également une augmentation de la graisse abdominale, ce qui favorise l’insulinorésistance et le diabète. La perte de la densité minérale osseuse secondaire à l’HAA entraîne un risque fracturaire accru. Il existe de plus un risque cardiovasculaire important dû aux facteurs métaboliques. L’effet thérapeutique de l’HAA doit donc être soupesé en regard de la toxicité liée à l’hypogonadisme.


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