Un nouveau TENS, miniaturisé et connecté au smartphone, plus efficace et mieux toléré que les opioïdes faibles dans la prise en charge de la douleur chronique, modérée à sévère de la gonarthrose. Une étude de non-infériorité, randomisée et contrôlée

2021 ◽  
Vol 88 ◽  
pp. A19
Author(s):  
E. Maheu ◽  
S. Soriot-Thomas ◽  
E. Noel ◽  
H. Ganry ◽  
P. Fardellone ◽  
...  
2020 ◽  
Author(s):  
K. Benistan ◽  
S. Dugué

L’hypermobilité articulaire généralisée est fréquente en population pédiatrique et diminue avec l’âge. Les étiologies peuvent être variables. L’hypermobilité favorise des traumatismes orthopédiques répétés, responsables de douleurs intenses, dont la répétition fait le lit du syndrome douloureux chronique. La douleur est un symptôme cardinal du syndrome d’Ehlers-Danlos hypermobile (SEDh). De nouveaux critères internationaux élaborés par un consortium d’experts en 2017 permettent de mieux distinguer les patients ayant un SEDh des patients présentant un désordre du spectre de l’hypermobilité. La prise en charge de ces patients doit être multidisciplinaire et globale, selon le modèle biopsychosocial, associant au médecin traitant une structure de prise en charge de la douleur chronique pédiatrique et un centre de référence ou de compétence des SED non vasculaires. Dans ce sens, un protocole national de diagnostic et de soins a été récemment publié.


2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
pp. 19-23
Author(s):  
B. Leroy ◽  
C. Demoulin

La douleur chronique touche 20 % des Européens. Une prise en charge interdisciplinaire apparaît nécessaire en raison des facteurs cognitifs et affectivomotivationnels qui deviennent prédominants sur les facteurs sensoridiscriminatifs. Dans les programmes de gestion de la douleur, différentes disciplines interagissent de façon à aider le patient à atteindre un objectif fonctionnel qu’il s’est fixé. Le patient sera encouragé à faire des activités en dehors du centre afin de rendre pérenne son changement de comportement.


2019 ◽  
Vol 32 (2) ◽  
pp. 87-94
Author(s):  
G. Mick ◽  
D. Gillet ◽  
S. Heritier ◽  
C. Garcia-Porra ◽  
E. Bochet

Du fait de l’augmentation du nombre de prescription de prégabaline dans le domaine de la douleur chronique et de cas relevés de mésusage récréatif ou toxicomaniaque avec ce médicament dans le monde, dans le contexte de la crise sanitaire en cours avec l’usage des opioïdes aux États-Unis, la crainte d’un risque addictif directement lié à l’usage de cette molécule a incité les autorités de divers pays à une surveillance accrue. Les recueils effectués par les centres de pharmacovigilance concernant la prégabaline relevant avant tout les situations considérées comme anormales, la description de l’usage de cette molécule au quotidien par un ensemble de prescripteurs et d’utilisateurs durant une période prolongée reflète mieux les conditions naturelles d’emploi de cette molécule et permet d’identifier les divers types de comportements des professionnels et usagers de santé à son égard. Une analyse rétrospective des dossiers de patients utilisateurs de prégabaline reçus et suivis dans une structure d’évaluation et prise en charge de la douleur pendant six ans a été réalisée, comprenant des données précises concernant les conditions d’usage et les effets du médicament. Les données issues de la littérature internationale et celles issues de l’étude montrent que le risque de mésusage et addictif est faible dans un contexte de prescription antalgique et de suivi médical adéquat, alors qu’il est élevé et directement lié à un mésusage de type récréatif ou toxicomaniaque en association avec les opioïdes ou l’alcool, en particulier dans la population jeune et en dehors du milieu des soins. Des recommandations d’usage de la prégabaline sont proposées aux professionnels afin de rappeler ces facteurs de risque.


Soins ◽  
2017 ◽  
Vol 62 (815) ◽  
pp. 38-40
Author(s):  
Christine Berlemont

2021 ◽  
Author(s):  
V. Barfety-Servignat ◽  
A. Sallet

Comme tout médicament, la kétamine a une action sur les plans sensoriel et psychique chez tout sujet. Que vivent et que nous rapportent les patients sous kétamine de leurs sensations et plus généralement de la sensorialité sous kétamine ? Il s’agit dans cet article de questionner ce qui se passe pour nos patients qui font l’expérience de la kétamine dans la prise en charge des douleurs chroniques et de le mettre en perspective avec la clinique psychopathologique du trauma et de la douleur chronique. Il convient de nous interroger sur la fonction que vient tenir, pour le patient, la demande de kétamine et celle que tient, pour le prescripteur, la proposition d’un tel traitement quand cela fait courir le risque de venir geler un travail d’appropriation d’un corps vécu et capable d’agir sur le monde.


2006 ◽  
Vol 7 ◽  
pp. 133
Author(s):  
C. Garin ◽  
K. Gastineau ◽  
F. Goblet Legendre ◽  
C. Maindet Dominici ◽  
S. Pons de Vincent

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