médecin traitant
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(FIVE YEARS 0)

2021 ◽  
pp. 457-462
Author(s):  
Nicole Rutkowski ◽  
Carrie MacDonald-Liska ◽  
Kelly-Anne Baines ◽  
Vicky Samuel ◽  
Cheryl Harris ◽  
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Le Programme de bien-être au-delà du cancer fournit des plans de soins de suivi (PSS) aux survivants qui passent du centre de cancérologie à leur médecin traitant une fois leurs traitements terminés. L’évaluation de ce programme a permis de vérifier si les PSS normalisés stimulent autant les connaissances et l’activation des patients que les PSS personnalisés. Les survivantes d’un cancer du sein qui ont reçu un PSS (normalisé ou personnalisé) ont répondu à un premier sondage avant le « rendez-vous de transition » puis à un autre à la fin de la rencontre. On leur demandait alors d’autoévaluer leurs connaissances et de répondre aux questions sur l’Efficacité perçue de la relation médecin-patient (PEPPI) et la Mesure d’activation du patient (MAP). Au total, quatre-vingt-sept survivantes du cancer du sein ont répondu aux sondages (PSS personnalisé, n = 43; PSS normalisé, n = 44). Dans les deux cas, les résultats sur les connaissances et l’activation des patientes étaient comparables. Les PSS normalisés, plus rentables, pourraient donc contribuer à alléger les contraintes relatives aux ressources humaines et faire l’objet d’évaluations plus poussées en vue d’être intégrés dans les centres de cancérologie.


2021 ◽  
Vol 9 (06) ◽  
pp. 739-742
Author(s):  
S. Bammou ◽  
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R. Ekoundzola ◽  
S. Rafi ◽  
G.El Mghari ◽  
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Resume:Le jeune du mois de Ramadan constitue lun des cinq piliers sur lesquels lIslam est edifie, represente un defi majeur pour les personnes atteintes du diabete sucre, et ceci en les predisposant a plusieurs risques tels lhypoglycemie, lhyperglycemie et la deshydratation , doù la necessite dun bon accompagnement des patients diabetiques afin de pouvoir assurer un jeune sans incidents. Lobjectif de notre travail est devaluer limpact du jeune sur la survenue des hypoglycemies et hyperglycemies au cours du mois de Ramadan et danalyser les resultats obtenus sur une periode de 3 mois. Patients et methode : cest une etude prospective transversale, menee du mois de Chaâbane au mois de Chawal 1413 incluant le mois de Ramadan de la meme annee, soit du mois dAvril 2019 jusquau mois de Juillet 2019, Parmi les 176 patients qui ont beneficie du projet de soins, nous avons inclus 81 patients diabetique type 2 qui ont avaient ete autorises a jeuner. 39 patients parmi les jeuneurs avaient repondu presents, et avaient rempli un questionnaire pour evaluer le deroulement du mois de Ramadan. Resultats : Notre serie comporte un total de 176 patients, 81 patients avaient ete autorises a jeuner. 39 patients parmi les jeuneurs avaient rempli un questionnaire pour evaluer le deroulement du mois de Ramadan. (79%) etaient des femmes et (21%) etaient des hommes. La duree moyenne de diabete etait de 10 ans. Apres Ramadan, les patients participants a notre etude ont ete convoques, la survenue depisodes dhypoglycemies est constatee chez (25%) des jeuneurs. Les symptômes dhypoglycemies ressentis par les patients jeuneurs sont essentiellement tremblement et asthenie. (80%) des patients avaient ressenti les symptomes dhypoglycemie quelques heures avant le coucher du soleil, tandis que 2 avaient rapporte la survenue des symptômes a midi, et aucun patient navait rapporte leur survenue le matin. (90 %) des patients jeuneurs avaient affirme la survenue de symptômes dhypoglycemies une seule fois par semaine pendant tout le mois, tandis que (10 %) avaient des symptômes dhypoglycemies 2 a 3 fois par semaine. (50 %) des patients avaient adopte la methode de resucrage par dattes ou morceaux de sucres lors de la survenue depisodes dhypoglycemies. (5%) des patients avaient eu recours a linterruption du jeune lors de la survenue depisodes dhypoglycemie severe. Par ailleurs (20%) des patients avaient affirme la survenue depisodes dhyperglycemie le soir apres rupture du jeune. Conclusion : Les diabetiques qui jeunent durant le Ramadan sont exposes a un risque de complications qui peuvent etre vitales. La decision de jeuner doit etre prise apres discussion approfondie avec le medecin traitant sur les risques encourus et la prise en charge doit etre individualisee.


Author(s):  
L.-M. Joly ◽  
M. Roussel ◽  
N. Verin ◽  
V. Buvat ◽  
J.-F. Gehanno ◽  
...  

La prescription d’un arrêt de travail (AT) est un acte médical qui concerne les salariés atteints d’une maladie (on parle alors d’arrêt-maladie) ou à la suite d’un accident (d’origine professionnelle ou non). Il s’agit de permettre au salarié de cesser son travail quand celui-ci est incompatible avec son état de santé, tout en lui maintenant des revenus financiers. Les urgentistes ne sont normalement amenés à effectuer que des AT initiaux ; ils ne sont pas concernés si le patient est hospitalisé ou opéré. L’AT doit être prescrit à sa juste durée en fonction de la maladie ou des lésions, et des caractéristiques du travail : suffisamment long pour que l’état de santé du salarié soit compatible avec la reprise du travail ; mais sans excès puisque l’argent qui est versé au salarié fait appel à la solidarité nationale par le biais de l’assurance maladie. En l’absence de complication, la durée prescrite doit permettre au salarié de revenir au travail sans visite supplémentaire chez son médecin traitant. L’estimation de la durée optimale d’un AT doit reposer sur la pathologie en cause, sur son expression symptomatique plus ou moins sévère, sur le terrain du patient, et sur les contraintes physiques liées à sa pratique professionnelle. Deux fiches élaborées avec l’assurance maladie sont présentées pour guider l’urgentiste dans le choix de la durée, l’une pour des urgences médicales fréquentes, l’autre pour des urgences traumatologiques non chirurgicales.


2020 ◽  
Vol 10 (1) ◽  
pp. 09-13
Author(s):  
F. Balen ◽  
A. Boyer ◽  
P. Auboiroux ◽  
S. Charpentier

Introduction : Acteur central du soin primaire, le médecin généraliste peut être amené à adresser des patients aux structures d’urgences (SU). Les objectifs de notre travail étaient d’évaluer l’incidence des patients adressés en SU par leur médecin traitant, d’évaluer leur gravité par rapport aux autres patients admis en SU et de connaître leur motif de consultation. Méthode : Il s’agit d’une étude de cohorte se déroulant sur les SU adultes du CHU de Toulouse au cours d’une semaine de 2019. Tous les malades admis dans les SU ont été inclus. Les variables démographiques, le caractère « adressé par le médecin traitant » ou non, le score de tri initial sur la classification infirmière des malades aux urgences (CIMU) et l’hospitalisation post-SU ont été relevés. Résultats : Sur les 2 289 passages dans les SU sur la période, 212 (9 %) étaient liés à des patients adressés par leur médecin traitant. Ces malades étaient plus âgés (58 ans vs 45 ans, p < 0,001), plus graves (taux de CIMU 3 plus élevés : 65 vs 38 %, p < 0,001) et plus souvent hospitalisés (39 vs 19 %, p < 0,001) que les patients admis en SU non adressés par leur médecin traitant. Le motif le plus fréquent d’admission était la douleur abdominale (21 %). Discussion : Une attention particulière doit être portée sur les malades admis en SU adressés par leur médecin traitant. Ils semblent en effet plus graves et nécessitant plus de ressources hospitalières.


2020 ◽  
Author(s):  
K. Benistan ◽  
S. Dugué

L’hypermobilité articulaire généralisée est fréquente en population pédiatrique et diminue avec l’âge. Les étiologies peuvent être variables. L’hypermobilité favorise des traumatismes orthopédiques répétés, responsables de douleurs intenses, dont la répétition fait le lit du syndrome douloureux chronique. La douleur est un symptôme cardinal du syndrome d’Ehlers-Danlos hypermobile (SEDh). De nouveaux critères internationaux élaborés par un consortium d’experts en 2017 permettent de mieux distinguer les patients ayant un SEDh des patients présentant un désordre du spectre de l’hypermobilité. La prise en charge de ces patients doit être multidisciplinaire et globale, selon le modèle biopsychosocial, associant au médecin traitant une structure de prise en charge de la douleur chronique pédiatrique et un centre de référence ou de compétence des SED non vasculaires. Dans ce sens, un protocole national de diagnostic et de soins a été récemment publié.


2019 ◽  
Vol 47 (9) ◽  
pp. 619-626
Author(s):  
M. Boulliard Poulteau ◽  
B. Trombert ◽  
X. Gocko ◽  
C. Bouteille ◽  
C. Chauleur

2019 ◽  
Vol 13 (2) ◽  
pp. 122-124
Author(s):  
S. Masmoudi ◽  
F. Ellouze ◽  
S. Abidi ◽  
H. Boussen ◽  
F. M’rad

L’influence du cancer du sein et de ses traitements sur la sexualité reste encore très peu explorée en Tunisie. Dans ce travail, on se propose de rapporter les difficultés et le vécu sexuels de deux femmes tunisiennes présentant un cancer du sein. À travers ces deux vignettes, il s’avère que les causes sont multiples et intriquées, on pourrait schématiquement les classer en cinq catégories : difficultés dans la communication avec le médecin traitant, croyances erronées, réaction dépressive, iatrogénie et modification de l’image du corps, troubles de la communication au sein du couple. Maintenir une image de soi positive, se sentir encore féminine et rester sexuellement attirante contribuent au bien-être des femmes confrontées au cancer du sein.


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