facteurs de risque
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

2159
(FIVE YEARS 368)

H-INDEX

17
(FIVE YEARS 2)

Author(s):  
Emmanuelle Bodin ◽  
Véronique Peretti ◽  
Julia Rouillay ◽  
Phuong Lien Tran ◽  
Malik Boukerrou
Keyword(s):  

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 216
Author(s):  
M. Chamakh ◽  
A. Abdelkabir ◽  
H. Zribi ◽  
H.D. Mariem ◽  
A. Ayadi Kaddour ◽  
...  
Keyword(s):  

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 98
Author(s):  
F. Keriou ◽  
M. Ahmed Azi ◽  
A. Damen ◽  
A. Moumeni
Keyword(s):  

2022 ◽  
Vol 14 (1) ◽  
pp. 230
Author(s):  
Z. Chaari ◽  
M. Nasri ◽  
A. Ben Ayed ◽  
W. Abid ◽  
A. Hentati ◽  
...  
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 8 (2) ◽  
pp. 96-101
Author(s):  
Ouanassa Hamouda ◽  
◽  
Allaoua Hichem Fendri ◽  

Introduction : Les candidoses systémiques sont des affections graves responsables d’une mortalité élevée. L’objectif de ce travail est de décrire l’épidémiologie des candidoses systémiques dans les services à haut risque au CHU et au CAC de BATNA. Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective descriptive durant une période de trois ans (1er janvier 2016 au 31 décembre 2018). Les patients inclus sont ceux ayant au moins un prélèvement profond positif á Candida spp. Résultats : Un total de 69 cas de candidoses systémiques correspondant à 75 isolats et concernant 63 patients a pu être analysé. L’incidence globale était de 2,62 cas pour 1000 admissions. Les principaux motifs d’hospitalisation étaient les hémopathies malignes et le choc septique. La présence d’une colonisation ( 2 sites), une antibiothérapie á large spectre, d’un cathéter intra vasculaire, une corticothérapie, une chimiothérapie, une neutropénie étaient les facteurs de risque les plus retrouvés. L’analyse des souches isolées a montré la prédominance des espèces non albicans. L’index de colonisation ≥ 0,5 a été significativement associé au risque de candidose systémique. L’utilisation des Azolés a été associée á un taux de mortalité le plus élevé (19%). Le taux de mortalité est significativement élevé 51%. Conclusion : Les facteurs de risque et un index de colonisation ≥ 0,5 dans les services á haut risque constituent un facteur prédictif de candidose systémique. La prise en charge thérapeutique doit être instaurée pour réduire le taux de mortalité et éviter les complications liées á ces infections.


2021 ◽  
Vol 8 (2) ◽  
pp. 162-164
Author(s):  
Fadia Rahal ◽  
◽  
Amina Mezari ◽  
Fella Hanni ◽  

La parodontite est la pathologie chronique inflammatoire caractérisée par une perte des tissus de soutien des dents. Plusieurs dizaines de pathologies systémiques dont la polyarthrite rhumatoïde (PR) sont possiblement associées à la parodontite. En effet, les caractéristiques cliniques et la physiopathogénie de la PR possèdent de grandes similarités avec celles de la parodontite. PR et parodontite partagent des facteurs de risque communs tels que des susceptibilités génétiques et des facteurs environnementaux. Bien que l’impact du traitement de la PR sur la parodontite et vis-versa reste à établir, une bonne hygiène bucco-dentaire fait partie intégrante de la prise en charge de la PR et les praticiens doivent inciter leurs patients à y veiller pour leur propre santé.


2021 ◽  
Vol 74 (4) ◽  
pp. 225-230
Author(s):  
Abdeldjalal Bouziri ◽  
Ali Sebai ◽  
Ahmed Kebir ◽  
Maamar Khames ◽  
Taha Moussadak Hamdi ◽  
...  

La fièvre aphteuse (FA) est une maladie infectieuse d’origine virale qui affecte les ruminants et les porcins. Une enquête séroépidémiologique a été menée chez les ruminants de la région ouest de l’Algérie afin d’estimer la séroprévalence de la FA et de déterminer les facteurs de risque susceptibles de favoriser l’atteinte des animaux par cette pathologie. Au total 420 sérums ont été collectés (210 de bovins et 210 de petits ruminants) et soumis au test Elisa NSP permettant la détection des anticorps dirigés contre le virus de la FA induits par les protéines non structurales, puis à des tests Elisa détectant les protéines structurales spécifiques des sérotypes A, O, SAT 1, SAT 2 et Asia 1. Les résultats ont montré une différence non significative (p > 0,05) de la séroprévalence entre les espèces avec 23,8 % chez les bovins et 27,1 % chez les petits ruminants. Le sérotype O était présent dans 95,3 % des sérums positifs. Il était présent seul chez 64,9 % des petits ruminants alors que les bovins étaient généralement infectés par plusieurs sérotypes simultanément, avec l’association prédominante des quatre sérotypes A, O, SAT 1 et Asia 1, qui représentait 36 % des infections. Le taux de couverture vaccinale a atteint 48,7 % du cheptel (bovins et petits ruminants) âgé de plus de six mois. Aucun lien statistique n’a été mis en évidence entre le mode d’élevage (extensif, semi-intensif ou intensif) et l’atteinte par la FA (p > 0,05). En revanche, une association significative (p < 0,05) a été établie entre la vaccination des animaux et l’infection, les animaux vaccinés ayant été moins infectés par la FA.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document