Chapitre 9 – Contrôler la dépense énergétique

2015 ◽  
Vol 41 ◽  
pp. A30
Author(s):  
M. Hugo ◽  
N. Mehsen ◽  
A. Pierreisnard ◽  
T. Schaeverbeke ◽  
V. Rigalleau

2018 ◽  
Vol 32 (4) ◽  
pp. 291-292
Author(s):  
P. Jésus ◽  
P. Fayemendy ◽  
M. Nicol ◽  
H. Sourisseau ◽  
G. Lautrette ◽  
...  

1991 ◽  
Vol 4 (3) ◽  
pp. 257-267 ◽  
Author(s):  
P.A. GERAERT

Devant le développement de l’aviculture dans les régions chaudes du globe ainsi que l’importance économique des coups de chaleur dans les élevages avicoles en France, faire le point des connaissances disponibles sur l’effet des températures ambiantes élevées sur le métabolisme énergétique du poulet de chair nous est apparu nécessaire. Les aspects de thermolyse ou pertes de chaleur et de thermogénèse ou production de chaleur sont développés ainsi que les capacités d’acclimatation des jeunes poulets aux températures chaudes. Les mécanismes d’élimination de la chaleur par voie sensible ou par évaporation pulmonaire chez les volailles sont présentés en insistant particulièrement sur l’influence de la vitesse de l’air en relation avec la température ambiante. Dans bien des cas, pour des raisons économiques, l’augmentation de la ventilation associée ou non à une diminution de la densité d’élevage apparaît la principale solution pour accroître les pertes de chaleur. Sur le plan de la dépense énergétique, alors que l’exposition au chaud réduit le métabolisme basal et vraisemblablement l’activité physique, la composante « thermogénèse alimentaire » ne serait pas diminuée mais au contraire accrue. Un tel résultat pourrait expliquer pourquoi les gains de poids des poulets élevés au chaud sont toujours inférieurs à ceux des poulets maintenus à température normale même lorsque les consommations sont égalisées. La modification de la composition de l’aliment ne permet de changer notablement ni la production de chaleur ni le dépôt de protéines corporelles des animaux élevés au chaud. La solution apparaît plutôt être dans le retrait de l’aliment juste avant et pendant toute la durée du stress thermique. Enfin, l’acclimatation des poulets dès le jeune âge à des températures ambiantes élevées leur permet de supporter beaucoup mieux les coups de chaleur en fin de croissance, période où ils sont le plus vulnérables. En conclusion, les besoins en nutriments et la réponse des animaux aux températures élevées pourraient être prédits par des modèles théoriques intégrant les facteurs environnementaux et nutritionnels pour éviter l’approche empirique trop longtemps utilisée en nutrition par le passé.


2008 ◽  
Vol 34 ◽  
pp. H49
Author(s):  
C. Fagour ◽  
C. Noel-Suberville ◽  
P. Higueret ◽  
H. Gin ◽  
V. Rigalleau

2006 ◽  
Vol 23 (4) ◽  
pp. 396 ◽  
Author(s):  
M. Garet ◽  
F. Costes ◽  
J.C. Barthélémy ◽  
J.R. Lacour ◽  
F. Roche

2013 ◽  
Vol 48 ◽  
pp. S125
Author(s):  
J. Dubourg ◽  
E. Lejeune ◽  
P. Gelas ◽  
D. Barnoud ◽  
S. Baubet ◽  
...  

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