scholarly journals Résistances aux herbicides chez les mauvaises herbes

Agronomie ◽  
1990 ◽  
Vol 10 (6) ◽  
pp. 457-472 ◽  
Author(s):  
H. Darmency ◽  
J. Gasquez
Keyword(s):  
2015 ◽  
Vol 155 (1) ◽  
pp. 47-64
Author(s):  
Ursula Maier ◽  
Helmut Schlichtherle ◽  
Maria Angelica Borrello
Keyword(s):  

Weed Research ◽  
1988 ◽  
Vol 28 (6) ◽  
pp. 407-418 ◽  
Author(s):  
G. BARRALIS ◽  
R. CHADOEUF ◽  
J. P. LONCHAMP
Keyword(s):  

2009 ◽  
Vol 89 (2-3) ◽  
pp. 107-111 ◽  
Author(s):  
Maryse Leblanc
Keyword(s):  

À la fin des années 1980 et au début des années 1990, une prise de conscience de l’impact négatif des herbicides sur l’environnement et la santé humaine, une augmentation de leur coût et la baisse de disponibilité et de choix de ceux-ci forcent les agriculteurs à se tourner vers d’autres moyens de lutte aux mauvaises herbes. C’est à cette période que la lutte physique et culturale aux mauvaises herbes commence à prendre de l’ampleur au Québec. Les paliers gouvernementaux et les organismes de transfert et de recherche participent activement à son développement. Différents types de sarcleurs et de pyrodésherbeurs font leur apparition au Québec. Les paillis et les méthodes culturales telles que les cultures intercalaires, les engrais verts et les cultures de couverture font aussi l’objet de plusieurs études qui portent sur leur potentiel à réprimer les mauvaises herbes. Le défi de la lutte physique demeure le désherbage du rang qui requiert plus de précision. Le développement de nouvelles méthodes substitutives aux herbicides se poursuit aujourd’hui et ne semble pas vouloir s’estomper puisque le souci de la santé et de l’environnement demeure une priorité pour la population.


2009 ◽  
Vol 89 (2-3) ◽  
pp. 103-106
Author(s):  
Gilles Émond ◽  
Danielle Bernier
Keyword(s):  

À l’occasion du centenaire de la SPPQ, nous jetons un bref coup d’oeil sur la lutte aux mauvaises herbes au cours du siècle dernier. En relatant des moments historiques de la malherbologie au Québec, nous regardons de quelle manière les préoccupations, les problèmes et surtout les solutions ont traversé le temps. Les structures, les organisations et les acteurs ont changé. La santé humaine, l’environnement et l’agriculture durable sont devenus incontournables et indissociables. De nouvelles avenues sont développées, tels que les OGM, qui s’avèrent révolutionnaires comparativement aux méthodes conventionnelles. En 2008, malgré toutes les techniques et moyens mis à notre disposition, la lutte aux mauvaises herbes demeure une priorité dans la gestion des cultures. Les producteurs et productrices agricoles ont encore et de plus en plus besoin des connaissances issues de la recherche et de l’innovation en malherbologie.


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