L'Écriture de l'enchantement: magie et magiciens dans la littérature française du XVIIe siècle

2005 ◽  
Vol 59 (2) ◽  
pp. 239-240
Author(s):  
Amy Wygant
1991 ◽  
Vol 86 (2) ◽  
pp. 452
Author(s):  
J. P. Short ◽  
Jean Rohou

2017 ◽  
Vol 34 (2) ◽  
pp. 45-70
Author(s):  
Clément Van Hamme

La République de Venise s’est efforcée, du XVe siècle jusqu’à sa chute, de charger sa puissance politique et commerciale d’une double justification, politique et religieuse. En se servant des légendes orales qui circulaient depuis sa fondation, et en mettant en place une interprétation officielle de sa propre histoire, elle a fabriqué un mythe théologico-politique dont elle est le héros. Au tournant des XVIe et XVIIe siècles, alors que ce mythe atteint l’apogée de son influence chez le plus grand nombre des penseurs politiques européens, des contestations apparaissent, encouragées par les mutations de la méthode historique. Est-ce à dire que le mythe de Venise vit ses dernières heures ? Cet article se propose d’interroger la présence de traces du mythe politique vénitien chez les intellectuels français du XVIIe siècle. Ceux-ci, certes acquis à la lutte de Venise contre les abus politiques de la papauté depuis l’affaire de l’Interdit vénitien de 1606, prirent néanmoins part à un certain renouvellement méthodologique de l’écriture de l’histoire.


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