‘An overwhelming sense of déjà vu’

2021 ◽  
pp. 145-197
Author(s):  
Alex Alonso

Chapter 4 examines the importance of the long poem for Muldoon. It engages with his ever-expanding schemes of rhyme, and identifies a turn in Muldoon’s rhyming practice that coincides with his move to America. The archival discoveries in this chapter shed light on the most striking formal development of Muldoon’s American phase, namely, the introduction of a template of ninety end-words which recurs through multiple volumes. This rhyming procedure—a means of remembering and repeating earlier material—has become the blueprint for Muldoon’s longer forms (many of which are elegies), and gives rise to an extended intertextual performance of memory and mourning. If rhyme is often understood as a form of remembering, Muldoon’s long rhyming forms monumentalize the inability to forget, pulling the poet’s Irish past into his present and future writings in America.

1979 ◽  
Vol 24 (2) ◽  
pp. 137-138
Author(s):  
HOWARD E. A. TINSLEY
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

1991 ◽  
Vol 36 (5) ◽  
pp. 395-396
Author(s):  
Sam R. Hamburg
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

2012 ◽  
Author(s):  
Deborah S. Wright ◽  
Kimberley A. Wade ◽  
Derrick G. Watson
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

CFA Magazine ◽  
2008 ◽  
Vol 19 (3) ◽  
pp. 22-23
Author(s):  
Christopher Wright
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

2004 ◽  
Vol 60 (3) ◽  
pp. 52-59 ◽  
Author(s):  
Leonard Weiss
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

1995 ◽  
Vol 50 (4) ◽  
pp. 829-854 ◽  
Author(s):  
Marco Fincardi
Keyword(s):  
Deja Vu ◽  

23 Octobre 1872 : en plusieurs points de son cours, le Pô rompt ses digues, et, à l'exception des alentours de Suzzara, engloutit toute la basse région de Mantoue, sans épargner le reste de l'Italie septentrionale. Jamais le 19e siècle ne connaîtra crue du Pô aussi catastrophique, dans une région qui se remet tout juste de celle, à peine moins désastreuse, de 1868. A deux reprises, dans les mois qui suivent, les eaux envahissent à nouveau les terres en cours d'assèchement, sinon déjà ensemencées. Dans les paroisses rurales, on accourt auprès des prêtres, on les implore d'assurer la protection du village en procédant aux rites solennels d'invocation des saints thaumaturges. Mais rien de tel dans les communes les plus importantes, où les dix dernières années avaient déjà vu la suppression des subventions conséquentes naguère allouées au culte des saints protecteurs : ces pratiques religieuses ne suscitent qu'indifférence et le recours au ciel un scepticisme général. Il n'y a guère qu'une poignée de citoyens influents pour soutenir, éventuellement de leurs deniers, les processions qui, image sacrée en tête, appellent sur chacune des paroisses la protection du ciel.


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