Enseigner et apprendre les mathématiques par la résolution de problèmes

2021 ◽  
pp. 157-174
Author(s):  
Dominic Voyer ◽  
Marie-Pier Forest ◽  
Jim Cabot-Thibault
2013 ◽  
Vol 47 (1-3) ◽  
pp. 125-137
Author(s):  
Frédéric Guégnard ◽  
Frédéric Bousseau ◽  
Marc Bourcerie

1994 ◽  
Vol 94 (3) ◽  
pp. 461-484 ◽  
Author(s):  
Evelyne Cauzinille-Marmèche ◽  
Jacques Mathieu

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 108-109
Author(s):  
C. Isaac ◽  
D. Fouques ◽  
S. Braha Zeitoun ◽  
D. Januel

IntroductionLe trouble bipolaire est une maladie psychiatrique caractérisée par une alternance d’épisodes de dépression et/ou de manie, ainsi que de périodes de rémission plus ou moins partielles. Des études ont observé des déficits cognitifs chez les patients bipolaires, qui seraient présents dès le premier épisode et qui persisteraient tout au long de leur vie [4]. Ces troubles auraient un impact sur le fonctionnement psychosocial des patients [1]. Il n’existe actuellement aucune thérapie ciblant les déficits cognitifs des patients bipolaires. La remédiation cognitive est une thérapie permettant un entraînement des capacités cognitives et un apprentissage de stratégies de résolution de problèmes. Plusieurs études concluent à un effet bénéfique persistant de la thérapie chez les patients schizophrènes [3]. De nombreux auteurs suggèrent que la thérapie de remédiation cognitive pourrait également être bénéfique aux patients bipolaires [2].MéthodologieNotre étude a pour objectif d’observer l’intérêt que peut présenter la remédiation cognitive pour les patients bipolaires, à travers l’étude du parcours de Monsieur V., un patient bipolaire de type I, qui a suivi une thérapie individuelle de remédiation cognitive durant trois mois. Nous avons administré avant et après la thérapie un bilan clinique, un bilan neuropsychologique et le test de Rorschach.RésultatsLes résultats indiquent une amélioration des capacités cognitives et fonctionnelles du patient. Nous avons observé des améliorations comportementales, mais également un changement plus profond dans la manière dont le patient mobilise des capacités cognitives.ConclusionCes résultats suggèrent que des patients bipolaires pourraient bénéficier d’une thérapie de remédiation cognitive, et nécessiteraient d’être reproduits sur une plus large population.


2011 ◽  
Vol 111 (04) ◽  
pp. 613 ◽  
Author(s):  
Sylvie Gamo ◽  
Lynda Taabane ◽  
Emmanuel Sander

2009 ◽  
Vol 1 (3) ◽  
pp. 229 ◽  
Author(s):  
Nathalie Bier ◽  
Joël Macoir ◽  
Carol Hudon ◽  
Carolina Bottari ◽  
Sven Joubert

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