Rencontre avec Lise Gauvin et Véronique Tadjo

2020 ◽  
pp. 227-241
Author(s):  
Chloé Chaudet ◽  
Jean-Marc Moura ◽  
Stefania Cubeddu-Proux
Keyword(s):  
2011 ◽  
Vol 85 (2) ◽  
pp. 409-410
Author(s):  
Suzanne Gasster Carrierre
Keyword(s):  

2020 ◽  
Vol 35 (2) ◽  
pp. 24-40
Author(s):  
Kodjo Attikpoé
Keyword(s):  

2011 ◽  
Vol 1 (3) ◽  
pp. 67-78
Author(s):  
Isabella Pellegrino
Keyword(s):  

La littérature enfantine africaine écrite est un phénomène récent et encore peu connu. Chez ces deux auteurs, elle représente une mission éthique et sociale à réaliser concrètement à la première personne. Bien que le sentiment de cette mission arrive à s’imposer très lourdement sur le traducteur, lui donnant une conscience un peu spéciale de ce qu’il est en train de faire, l’analyse des ses choix de traduction met au jour plutôt les échecs ainsi que les succès obtenus. Les uns comme les autres pourraient pourtant contribuer à développer la réflexion sur ces textes.


Author(s):  
Okolo Chinwe Jane ◽  
Nneka Brown Onubiyi

La littérature postmoderne est forte marquée par la critique de la déconstruction et la réévaluation des conventions littéraires car le postmodernisme comprend des traits comme la contradiction, le hasard, la permutation, l’excès ou la discontinuité parmi d’autres. La légende d’Abraha Pokou s’est vue adoptée comme le mythe fondateur de la nation ivoirienne. Face aux turbulences sociales en Côte d’Ivoire Véronique Tadjo dans son roman La Reine Pokou entreprend une réécriture de cette légende et discours social ivoirien. Notre propos ici c’est de jeter un regard sur La Reine Pokou de Véronique Tadjo afin de dégager la textualisation de la subversion dialogique de ce discours social. La Reine Pokou se révèle une subversion dialogique de ce discours social ivoirien. La subversion dialogique de ce discours social s’avère significative du fait qu’elle fait naître une remise en question de cette légende dans la conscience sociale ivoirienne. La textualisation de la subversion dialogique de la légende dans le roman prête foi au rôle important de la littérature dans l’évolution des mœurs et des habitudes de la société dans laquelle elle se trouve. Ainsi, de par sa plume, Véronique Tadjo éveille une prise de conscience et une crise de conscience chez les Ivoiriens qui sont impliquées d’une manière ou d’une autre dans les perturbations sociopolitiques en Côte d’Ivoire.


2018 ◽  
Vol 55 (1) ◽  
pp. 18-27
Author(s):  
Elisabeth Snyman

This article proposes a reading of three texts The Blind Kingdom (1990), Queen Pokou. Concerto for a sacrifice (2004) and Far from my Father (2010) written by the Ivorian author Véronique Tadjo, in order to examine the author's representation of, and reflexion on separation and division, be it within a nation, amongst groups, or in the heart of a family. In Tadjo's novelistic universe, such divisions often require the intervention of a female protagonist, whose own existence is deeply influenced by tensions and frictions between two opposing camps. I shall argue that the agency of these protagonists is never futile and may even point to a way to go beyond the original divisions. Tadjo's representation of division in these three texts goes beyond generic boundaries to open up a rich variety of perspectives on the problems she deals with. I shall demonstrate how the author draws on various genres such as poetry, the African folktale, the novel, as well as autofiction in order to engage the reader in a profound reflexion on the current state and future of the African continent.


2007 ◽  
Vol 15 (1) ◽  
pp. 67-83
Author(s):  
Thérèse Migraine-George
Keyword(s):  

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