veronique tadjo
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2021 ◽  
pp. medhum-2021-012146
Author(s):  
Bryan Mukandi

This speculative work grapples with a riddle: if white supremacy is noxious, and if it is inescapable, is apparent black health, black sanity, in fact healthy? In order to help the reader appropriately appreciate the feat that is black sanity, I begin with a treatment of Fyodor Dostoevsky’s literary character, Mr Golyadkin. I go on to extend my claim that Golyadkin’s ill health or lack of sanity can be understood in terms of the violation of the norms of sociality, onto Antonin Artaud. Dostoevsky and Artaud therefore provide case studies with which it is possible to begin to develop an outline of the bounds and mechanics of white sanity. I juxtapose this outline to readings from a selection of works by African writers—Bessie Head, Véronique Tadjo and Dambudzo Marechera. This culminates in an interrogation of Franz Fanon’s metaphorisation of disability. I grapple especially with the ethical and existential implications of his understanding of black amputation. The conclusion that I eventually reach is another riddle, which may or may not amount to a restatement of the riddle with which I begin.


2021 ◽  
Vol 6 (3) ◽  
pp. 58-73
Author(s):  
Karel Plaiche
Keyword(s):  

Écrit en 2000 « L’ombre d’Imana » de Véronique Tadjo invite à penser la relation témoignage-littérature dans le cadre du génocide des Tutsi du Rwanda. Si l’œuvre illustre bien qu’écrire l’expérience génocidaire est possible, son écriture hétéroclite lui confère un statut difficilement classable qui démontre la complexité d’une telle entreprise, notamment au sein de l’espace littéraire qui relève de la fabulation. « L’ombre d’Imana » fait partie des premiers textes écrits par des écrivains qui n’ont pas vécu directement le drame et son éclatement reflète les tentatives de circonscrire un événement traumatique qui semble pousser l’imagination et le langage à (et hors de) leurs limites. Si le texte réaffirme donc la posture engagée de l’auteure, il illustre surtout « l’expérience du dire » (Ngandu 2011) qu’engendre le génocide qui suppose tout un travail de façonnage du discours. Comment l’auteure, en tant que témoin « tiers » (Coquio 2004), représente-t-elle ce temps de violence extrême ? Comment transmet-elle la mémoire des victimes et par quelles stratégies littéraires, esthétiques et discursives rend-elle son témoignage percutant dans l’optique d’une transmission crédible et convaincante ? En nous focalisant sur le jeu entre le factuel et le fictionnel, entre autres, cet article explore la transformation artistique de son témoignage visant un choix des meilleures façons de dire les faits.


2020 ◽  
Vol 21 (1) ◽  
pp. 71-101
Author(s):  
Ifeoma Mabel Onyemelukwe ◽  
Chukwunonso Hyacinth Muotoo ◽  
Mercy Eghonghon Odudigbo
Keyword(s):  

La mort est la mort pour chaque être humain partout dans le monde, peu importe son âge, son rang social, sa race ou sa couleur. Mais quelques divergences se manifestent dans le cadre de la conception de la mort par des individus et groupes divers. L’objectif de la présente recherche est l’étude de la mort, ou la thanatologie dans L’ombre d’Imana : voyages jusqu’au bout du Rwanda de l’écrivaine ivoirienne, Véronique Tadjo. Elle dispose, principalement, de deux théories critiques : l’écocritique et la psychanalyse. La typologie de l’écocritique selon le postulat d’Ifeoma Onyemelukwe s’avère utile dans cette étude ; de même l’approche sociologique. Notre recherche aboutit à huit types de mort : physique, psychologique, spirituelle et symbolique, entre autres. Il a été constaté que Tadjo, dans L’ombre d’Imana : voyages jusqu’au bout du Rwanda, ne se contente pas avec la peinture de l’horreur du génocide, qu’elle a d’ailleurs fait excellemment, mais elle va plus loin pour proposer des solutions concrètes au fléau mondial appelé le génocide. Alors, elle recommande la mort de la haine et du génocide au Rwanda ; préconise la réconciliation et la naissance d’un nouveau Rwanda. Heureusement qu’aujourd’hui, le Rwanda a été reconstruit au point d’être l’une des étoiles les plus brillantes d’Afrique (Newey 1). Mots clés : Thanatologie, mort, génocide, L’ombre d’Imana: voyages jusqu’au bout du Rwanda, Veronique Tadjo


Author(s):  
Okolo Chinwe Jane ◽  
Nneka Brown Onubiyi

La littérature postmoderne est forte marquée par la critique de la déconstruction et la réévaluation des conventions littéraires car le postmodernisme comprend des traits comme la contradiction, le hasard, la permutation, l’excès ou la discontinuité parmi d’autres. La légende d’Abraha Pokou s’est vue adoptée comme le mythe fondateur de la nation ivoirienne. Face aux turbulences sociales en Côte d’Ivoire Véronique Tadjo dans son roman La Reine Pokou entreprend une réécriture de cette légende et discours social ivoirien. Notre propos ici c’est de jeter un regard sur La Reine Pokou de Véronique Tadjo afin de dégager la textualisation de la subversion dialogique de ce discours social. La Reine Pokou se révèle une subversion dialogique de ce discours social ivoirien. La subversion dialogique de ce discours social s’avère significative du fait qu’elle fait naître une remise en question de cette légende dans la conscience sociale ivoirienne. La textualisation de la subversion dialogique de la légende dans le roman prête foi au rôle important de la littérature dans l’évolution des mœurs et des habitudes de la société dans laquelle elle se trouve. Ainsi, de par sa plume, Véronique Tadjo éveille une prise de conscience et une crise de conscience chez les Ivoiriens qui sont impliquées d’une manière ou d’une autre dans les perturbations sociopolitiques en Côte d’Ivoire.


2020 ◽  
Vol 35 (2) ◽  
pp. 24-40
Author(s):  
Kodjo Attikpoé
Keyword(s):  

2020 ◽  
pp. 227-241
Author(s):  
Chloé Chaudet ◽  
Jean-Marc Moura ◽  
Stefania Cubeddu-Proux
Keyword(s):  

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