de natura rerum
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

36
(FIVE YEARS 9)

H-INDEX

3
(FIVE YEARS 1)

2020 ◽  
Vol 24 (5-6) ◽  
pp. 485-503 ◽  
Author(s):  
Hiro Hirai

Abstract One of the most popular writings ascribed to Paracelsus, De natura rerum appeared in 1572. That was when the movement of forgery production reached its climax, in parallel with the multiple editions of his genuine work Archidoxis. This article aims to place the genesis of De natura rerum in the context of publication history. It will first reconstruct a “library” by surveying the works ascribed to Paracelsus which could serve as instruments for the “author/reworker/editor” of De natura rerum. Then it will examine the evolution of this forgery production by focusing on the divergent editions of Archidoxis from 1569 to 1572.


Ambix ◽  
2020 ◽  
Vol 67 (1) ◽  
pp. 4-29
Author(s):  
Urs Leo Gantenbein
Keyword(s):  

Escritos ◽  
2019 ◽  
Vol 27 (58) ◽  
pp. 143-197
Author(s):  
Gonzalo Soto Posada
Keyword(s):  

Peritia ◽  
2019 ◽  
Vol 30 ◽  
pp. 31-52
Author(s):  
Bernhard Bauer
Keyword(s):  

Reinardus ◽  
2018 ◽  
Vol 30 ◽  
pp. 24-46
Author(s):  
Thierry Buquet

Résumé La Chevalerie de Judas Macchabée et de ses nobles frères, roman en vers daté de 1285, utilise à plusieurs reprises les animaux comme motifs narratifs symboliques. Certains animaux (dont l’anabulla un des noms de la girafe au XIIIe siècle) sont empruntés au Liber de natura rerum (LDNR) de Thomas de Cantimpré. L’analyse du texte de la Chevalerie et l’illustration de son unique témoin manuscrit (Paris, BnF Fr. 15104) montre que l’auteur s’est non pas inspiré du texte de Thomas de Cantimpré, mais de l’illustration du manuscrit 320 de Valenciennes (témoin du LDNR), dont le programme iconographique (dont ont été conservées les instructions pour l’enlumineur en notes marginales) présente des écarts par rapport au contenu textuel – erreurs qui seront transmises dans des témoins enluminés postérieurs du LDNR. Ainsi, l’anabulla et l’aloy y sont représentés comme des éléphants, alors qu’il s’agit respectivement d’une girafe et d’un élan. L’auteur de la Chevalerie décrit dans son roman ces deux animaux comme des éléphants, montrant par-là que sa source n’est pas le texte latin du LDNR, mais des illustrations “fautives” d’un témoin manuscrit particulier.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document