douleur abdominale
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Author(s):  
Samuel Staubli ◽  
Riccardo Enrico Vandoni
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 193 (24) ◽  
pp. E931-E934
Author(s):  
Qazi Zain Sohail ◽  
Karima Khamisa
Keyword(s):  

Author(s):  
C. Lartigau-Roussin ◽  
C. Leroux-Madec ◽  
C. Vanhecke
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 6 ◽  
Author(s):  
Pihou Gbande ◽  
Mazamaesso Tchaou ◽  
Abdoulatif Amadou ◽  
Lantam Sonhaye ◽  
Komlanvi Adjenou
Keyword(s):  

Author(s):  
T. Hary ◽  
F. Amiot ◽  
F.-X. Laborne ◽  
T. Delomas

Objectif : Déterminer si la réalisation d’une échographie clinique en médecine d’urgence (ECMU) modifie la prise en charge des patients présentant une douleur abdominale aiguë d’origine non traumatique. Matériel et méthodes : Étude rétrospective, monocentrique, incluant les patients qui ont consulté aux urgences pour douleur abdominale aiguë d’origine non traumatique entre le 1er juin 2019 et le 31 octobre 2019. Les données recueillies étaient le nombre d’examens complémentaires d’imagerie réalisés, le temps de prise en charge, le taux d’hospitalisation, le diagnostic et le taux de reconsultation à 30 jours. Le critère de jugement principal était le recours aux examens complémentaires d’imagerie spécialisée (parmi lesquels : échographie spécialisée, tomodensitométrie abdominopelvienne et abdomen sans préparation) chez les patients ayant bénéficié d’une échographie clinique (groupe « ECMU ») comparativement aux patients n’ayant pas bénéficié d’échographie (groupe « sans ECMU »). Résultats : Mille cinquante-trois patients ont été inclus. Parmi ces patients, 16 % ont bénéficié d’une échographie clinique par le médecin urgentiste. Il existait une réduction significative du recours à l’échographie spécialisée dans le groupe ECMU (4 % dans le groupe « avec ECMU » versus 9 % dans le groupe « sans ECMU », OR = 0,45, IC 95 % : [0,17–1,00], p = 0,04), sans différence significative entre les deux groupes concernant le temps de prise en charge, l’orientation, le taux de reconsultation à 30 jours et la concordance diagnostique. Conclusion : La réalisation d’une ECMU dans l’exploration des douleurs abdominales aiguës d’origine non traumatique entraînait une réduction significative du nombre d’échographies spécialisées, sans pour autant diminuer le temps de prise en charge ni la concordance entre le diagnostic posé aux urgences et celui en fin d’hospitalisation.


2020 ◽  
Vol 41 (7) ◽  
pp. 500-501
Author(s):  
S. Belabbes ◽  
I. En-nafaa ◽  
T. Ziadi ◽  
B. Zainoun ◽  
J. El Fenni
Keyword(s):  

2020 ◽  
Vol 10 (1) ◽  
pp. 09-13
Author(s):  
F. Balen ◽  
A. Boyer ◽  
P. Auboiroux ◽  
S. Charpentier

Introduction : Acteur central du soin primaire, le médecin généraliste peut être amené à adresser des patients aux structures d’urgences (SU). Les objectifs de notre travail étaient d’évaluer l’incidence des patients adressés en SU par leur médecin traitant, d’évaluer leur gravité par rapport aux autres patients admis en SU et de connaître leur motif de consultation. Méthode : Il s’agit d’une étude de cohorte se déroulant sur les SU adultes du CHU de Toulouse au cours d’une semaine de 2019. Tous les malades admis dans les SU ont été inclus. Les variables démographiques, le caractère « adressé par le médecin traitant » ou non, le score de tri initial sur la classification infirmière des malades aux urgences (CIMU) et l’hospitalisation post-SU ont été relevés. Résultats : Sur les 2 289 passages dans les SU sur la période, 212 (9 %) étaient liés à des patients adressés par leur médecin traitant. Ces malades étaient plus âgés (58 ans vs 45 ans, p < 0,001), plus graves (taux de CIMU 3 plus élevés : 65 vs 38 %, p < 0,001) et plus souvent hospitalisés (39 vs 19 %, p < 0,001) que les patients admis en SU non adressés par leur médecin traitant. Le motif le plus fréquent d’admission était la douleur abdominale (21 %). Discussion : Une attention particulière doit être portée sur les malades admis en SU adressés par leur médecin traitant. Ils semblent en effet plus graves et nécessitant plus de ressources hospitalières.


Author(s):  
Lionel Arrivé ◽  
Nadia Ben Daamer ◽  
Edouard Chambenois ◽  
Clément Cholet ◽  
Anne Miquel ◽  
...  
Keyword(s):  

2019 ◽  
Vol 14 (4) ◽  
pp. e43-e49
Author(s):  
Claudia Frankfurter ◽  
Kevin Venus ◽  
David Frost

AbstractAn 89-year-old man with multiple comorbidities presented to the emergency department with diffuse abdominal pain and dyspnea. He was found to have a severe anion-gap metabolic acidosis with the normal osmolar gap. An initial panel of investigations for common causes of anion-gap metabolic acidosis was unremarkable. Further history revealed long-term daily acetaminophen use. A presumptive diagnosis of 5-oxoprolinemia secondary to chronic acetaminophen use was made. Despite supportive care, the patient did not survive. There is emerging literature on elevated anion gap metabolic acidosis induced by the accumulation of 5-oxoproline, an intermediate organic acid in the gamma-glutamyl cycle. A quantitative profile of urinary organic acids to measure 5-oxoproline is valuable in confirming the diagnosis. Treatment is largely supportive, consisting of cessation of acetaminophen, alkali therapy, and N-acetylcysteine. Clinicians should consider 5-oxoprolemia in patients who present with an otherwise unexplained anion gap metabolic acidosis and a history of chronic acetaminophen use. RESUMEUn homme de 89 ans souffrant de comorbidités multiples s’est présenté à l’urgence avec douleur abdominale diffuse et dyspnée. On a découvert qu’il souffrait d’une acidose métabolique grave à anions nuls avec un écart osmolaire normal. Un premier groupe d’études sur les causes courantes d’acidose métabolique à intervalle anionique n’a pas été remarquable. D’autres antécédents ont révélé une utilisation quotidienne à long terme de l’acétaminophène. Un diagnostic présumé de 5-oxoprolinémie secondaire à l’utilisation chronique d’acétaminophène a été posé. Malgré des soins de soutien, le patient n’a pas survécu. Il existe une littérature émergente sur l’acidose métabolique à intervalle anionique élevé induite par l’accumulation de 5-oxoproline, un acide organique intermédiaire dans le cycle gamma-glutamyle. Un profil quantitatif d’acides organiques urinaires pour mesurer la 5-oxoproline est utile pour confirmer le diagnostic. Le traitement est largement favorable, consistant en l’arrêt de l’acétaminophène, un traitement alcalin et de la N-acétylcystéine. Les cliniciens devraient envisager l’administration de 5-oxoprolemia chez les patients qui présentent une acidose métabolique par gap anionique autrement inexpliquée et des antécédents d’utilisation chronique d’acétaminophène.


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