gastrectomie en manchon
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Obésité ◽  
2019 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 92-97
Author(s):  
P. Blanc ◽  
C. Breton

But de l’étude : Le court-circuit gastrique par cœlioscopie est le geste de référence en chirurgie bariatrique, la chirurgie robotique se développe en chirurgie digestive et bariatrique. Le but de ce travail est de rapporter les résultats de la chirurgie robotique bariatrique lors de la période d’apprentissage. Patients et méthodes : De septembre 2017 à septembre 2018, les 50 premiers courts-circuits gastriques par cœlioscopie avec robot assistance ont été analysés. La période d’apprentissage a été évaluée prospectivement par la durée opératoire, la durée moyenne de séjour et, le taux de complications précoces. Résultats : Il a été réalisé 50 courts-circuits gastriques avec anse en Y. Il s’agissait d’une chirurgie de première intention dans 39 cas, une chirurgie de révision dans 11 cas (6 après anneau périgastrique modulable, 5 après gastrectomie en manchon pour reflux gastro-œsophagien). Il y avait 43 femmes 7 hommes, l’âge moyen était de 43,8 ans (22-65) et, l’IMC moyen de 41,45 kg/m2 (35-55). La durée opératoire moyenne a été de 155,1 min. (90-252) en cas de chirurgie de première intention et, de 181,4 min. (124-252) en cas de chirurgie de révision. La durée moyenne de séjour a été de 3,4 jours (2-12) en cas de chirurgie de première intention et, de 4,5 jours (2-12) en cas de chirurgie de révision. Il n’y a eu aucune conversion, aucun décès. Le taux de complications a été de 12% en cas de chirurgie de première intention (5/39) de 45 % en cas de chirurgie de révision (5/11), le taux de réintervention précoce a été de 8%. Il n’y a eu aucune mortalité. Conclusion : A la condition de suivre une formation spécifique, et de sélectionner les premiers patients, la chirurgie bariatrique par cœlioscopie avec robot assistance est une technique réalisable sans augmenter la morbidité postopératoire et ceci même lors de la période d’apprentissage.


2017 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 241-242
Author(s):  
S. Turion Lejeune ◽  
C. Jeandel ◽  
M. Deloze ◽  
E.M. Skalli ◽  
P. Lefebvre ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 31 (3) ◽  
pp. 162-165 ◽  
Author(s):  
E. Drapier ◽  
C. Fédou ◽  
E. Ghanassia ◽  
D. Nocca ◽  
J. Mercier ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 30 (2) ◽  
pp. 117
Author(s):  
E. Drapier ◽  
C. Fédou ◽  
E. Raynaud de Mauverger ◽  
D. Nocca ◽  
E. Ghanassia ◽  
...  

2014 ◽  
Vol 40 ◽  
pp. A91
Author(s):  
F. Galtier ◽  
C. Agostini ◽  
P. Lefebvre ◽  
V. Lacroix ◽  
N. Berlandier ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 98-99
Author(s):  
N. Reibel

On distingue trois catégories d’interventions en chirurgie bariatrique  les techniques restrictives, comme l’anneau gastrique ajustable (AGA) ou la gastroplastie verticale calibrée (GVC), réduisent la capacité de l’estomac et freinent mécaniquement le passage du bol alimentaire, – les techniques mal absorptives pures, qui sont abandonnées en raison du risque de carences gravissimes,- les techniques mixtes, comme le court circuit gastrique (CCG) ou la gastrectomie en manchon (GM) ; elles associent restriction et mal digestion, provocant des modifications des sécrétions hormonales digestives induisant des effets satiétogène et anorexigène. L’existence d’une hyperphagie boulimique (HB) est un facteur de risque de reprise pondérale quel que soit le type d’intervention [3]. En raison d’une morbi-mortalité post-opératoire immédiate quasi nulle, l’AGA reste très pratiqué en France. les résultats à dix ans retrouvent pour certain un taux d’échec de 50 % [2], lié à des complications, favorisées par l’HB, nécessitant une conversion de technique chirurgicale. Parmi les 196 patients opérés d’une GCV entre 1994 et 2005 à Nancy, 50 % présentaient une HB. Malgré une psychothérapie préopératoire, le taux d’échec à dix ans était de 20 %, dû à la récidive d’HB responsable de complications, nécessitant une réintervention. Parmi les techniques mixtes, le taux d’échec de la GM à cinq ans varie de 15 à 25 %, en partie lié à une dilatation du tube gastrique, favorisée par l’HB, nécessitant une réintervention. Après CCG, en cas de reprise pondérale liée à une récidive de l’HB, dans la majorité des cas, la prise en charge psychothérapeutique permet de retrouver l’efficacité du montage chirurgical sans réopérer, contrairement à la GM ou aux techniques restrictives devenues contre indiquées pour nous en cas d’HB [1]. Le rôle du psychiatre au sein de l’équipe multidisciplinaire de chirurgie bariatrique est essentiel pour le choix de la technique opératoire et maintenir son efficacité au long court.


Obésité ◽  
2013 ◽  
Vol 8 (3) ◽  
pp. 219-219
Author(s):  
P. Lointier ◽  
R. Kassir ◽  
C. Breton ◽  
T. Raia ◽  
P. Blanc

Obésité ◽  
2013 ◽  
Vol 8 (3) ◽  
pp. 190-193 ◽  
Author(s):  
P. Lointier ◽  
R. Kassir ◽  
C. Breton ◽  
T. Raia ◽  
P. Blanc

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