espèce introduite
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2012 ◽  
Vol 137 (1) ◽  
pp. 33-38 ◽  
Author(s):  
Jean Denis Brisson ◽  
Claude Simard ◽  
Jean Brodeur ◽  
David Martineau

Nous rapportons, pour la première fois au Québec, la présence de l’araignée sauteuse Phidippus audax Hentz, 1845 (Salticidae Blackwall, 1841) et de la tétragnathe verte Tetragnatha viridis Walckenaer, 1841 (Tetragnathidae Menge, 1866). Nous décrivons les conditions de leur découverte et commentons leur répartition. Nos observations concernant l’araignée P. audax suggèrent que cette espèce soit à la fois une espèce indigène (trouvée en milieu naturel en Mauricie et à Longueuil), mais aussi une espèce introduite comme en témoigne sa découverte dans des camions importés du Minnesota. La tétragnathe verte fut trouvée à 2 endroits éloignés (Contrecoeur et Terrebonne), dans des habitats très différents au cours des mois de juin et de septembre 2010.


2004 ◽  
Vol 84 (2) ◽  
pp. 85-91 ◽  
Author(s):  
Richard Berthiaume ◽  
Christian Hébert ◽  
Éric Bauce

Résumé La coccinelle asiatique, Harmonia axyridis, une espèce introduite, établie au Québec depuis 1994, est rapidement devenue un problème entomologique puisqu’elle s’abrite dans les bâtiments durant la période hivernale. L’une des raisons souvent invoquées pour expliquer ce comportement serait une faible résistance au froid de cette espèce. Pour déterminer la résistance au froid des adultes de la coccinelle asiatique, une expérience combinant à la fois des températures froides et différentes durées d’exposition a été réalisée. Des groupes de 50 coccinelles placées dans des plats de Pétri ont été exposés à différentes températures (5, 0, -5, -10 et –20oC) pour des périodes de temps prédéterminées (2, 6, 12 et 18 semaines). Les résultats indiquent que le taux de survie est à la fois influencé par la température et la durée d’exposition. De plus, aucune coccinelle asiatique n’a survécu à –20oC, même après une exposition d’une seule journée.


1994 ◽  
Vol 47 (4) ◽  
pp. 435-438
Author(s):  
Jérome Lazard
Keyword(s):  

Les introductions et transferts d'espèces en vue d'accroître la production piscicole, notamment en Asie du Sud-Est, constituent aujourd'hui un sujet particulièrement sensible, alors qu'une véritable réflexion n'a toujours pas été menée sur les avantages et les inconvénients de telles pratiques. Dans les deux cas, les paramètres écologiques, biologiques et socio-économiques doivent être pris en compte. L'auteur montre sur deux exemples pris au Viêtnam et aux Philippines l'intérêt à développer la pisciculture, soit sur une espèce autochtone, soit sur une espèce introduite en déployant sur celle-ci le savoir-faire original des éleveurs. Réflexion, pilotage, accompagnement devraient permettre de faire face aux problèmes spécifiques plutôt qu'une réglementation d'application difficile.


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