Multivariate Probit Analysis

Author(s):  
Charles E. Brown
2005 ◽  
Vol 70 (6) ◽  
pp. 871-897 ◽  
Author(s):  
Witold J. Henisz ◽  
Bennet A. Zelner ◽  
Mauro F. Guillén

Why do countries differ so much in the extent to which they adopt neoliberal, marketoriented reform in their infrastructure industries? Building on world-society and neoinstitutional theories in sociology, this paper argues that international pressures of coercion, normative emulation, and competitive mimicry strongly influence the domestic adoption of market-oriented reform. The paper considers the effect of such pressures on the adoption of four reform elements: the privatization of state-owned firms, the formal separation of the regulatory authority from the executive branch, the de facto elimination of executive political influence on the regulatory authority, and the opening of the retail market to multiple service providers. It finds generally robust support for its arguments using a multivariate probit analysis of reform adoption in the telecommunications and electricity industries of as many as 71 countries and territories between 1977 and 1999. The results also suggest that the coercive effect of lending by the IMF and World Bank differs for each reform element. The paper discusses the possibility that, by leading countries to adopt some reform elements but not others, international coercion may not produce ideal outcomes.


2011 ◽  
Vol 111 (9) ◽  
pp. 1465-1480 ◽  
Author(s):  
Jae Young Choi ◽  
Yeonbae Kim ◽  
Yungman Jun ◽  
Yunhee Kim

1970 ◽  
Vol 3 (2) ◽  
pp. 308-317 ◽  
Author(s):  
Jane Jenson ◽  
Peter Regenstreif

Depuis 1960 la situation politique au Québec a accrédité deux types d'explications pour rendre compte de la faveur dont out joui les partis politiques qui, tous, ont pris position sur la question nationale et lui ont accordé leur appui, quoique à des degrés divers. La première de ces deux explications veut que la faveur dont jouissent les partis nationalistes, spécialement le Parti québécois (PQ), soit redevable aux caractéristiques sociales des électeurs : le rejet de l'ordre établi serait le fait de gens actuellement désavantagés dans la société québécoise ; la seconde explication des choix partisans propose que le soutien au nationalisme et aux partis qui l'affichent vient d'individus qui partagent un système d'attitudes similaires sur la question.Les données ont montré que les partisans dupqsont, dans une proportion particulièrement élevée, jeunes, de sexe masculin, munis d'une éducation supérieure, et qu'ils occupent des postes professionnels ou techniques qui exigent de hautes qualifications ; toutefois, le test basé sur le modèle d'estimation des probabilités d'appartenance à la n° classe (n-chotomous multivariate probit analysis), appliqué aux deux raisonnements, maintient la valeur du second. Il a été prouvé que les variables significatives, dans la combinaison qui motive les choix partisans, sont celles qui intègrent une attitude nationaliste ; les variables issues des caractéristiques sociales n'y ont pas une influence appréciable et ne peuvent servir de base pour rendre compte d'une intention de vote.En conclusion, l'article précise que même si le nationalisme constitue une raison de support partisan de valeur inégale chez certains groupes, tous n'y apportent pas cependant la même adhésion. Ils se distinguent, en effet, de la majorité silencieuse et de ceux qui n'appuient pas les positions nationalistes par leur attitude plutôt que par leurs caractéristiques sociales.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document