Modulation de la douleur après stimulation cérébrale profonde dans la maladie de Parkinson : revue de la littérature

2016 ◽  
Vol 30 (1) ◽  
pp. 23-28
Author(s):  
A. Marques
2021 ◽  
Vol 177 ◽  
pp. S20
Author(s):  
Salma Laassila ◽  
Naima Chatou ◽  
Bouchal Siham ◽  
Faouzi Belahsen

2012 ◽  
Vol 168 ◽  
pp. A108-A109
Author(s):  
Damien Fetter ◽  
Romain Lefaucheur ◽  
Nathalie Chastan ◽  
Stéphane Derrey ◽  
David Maltete

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 560-561
Author(s):  
F. Cyprien

L’association « AZUR Psy » regroupe des psychiatres investis dans la recherche et l’innovation en psychiatrie qui mènent des travaux en collaboration entre les hôpitaux de l’inter-région Sud. La schizophrénie est une des thématiques privilégiée de cette association, les symptômes négatifs et les troubles cognitifs étant des facteurs pronostics majeurs du fonctionnement quotidien des patients. Ces symptômes restent encore aujourd’hui peu accessibles aux stratégies thérapeutiques pharmacologiques. L’objet de cette session « Forum des associations » est de présenter des travaux récents et en cours qui s’attachent à mieux comprendre les symptômes négatifs et améliorer la prise en charge des patients par des innovations thérapeutiques. Le professeur Eric Fakra présentera une revue de la littérature sur la physiopathologie des symptômes négatifs et des dysrégulations émotionnelles chez les patients schizophrènes [1]. Les travaux récents des membres de l’association utilisant une approche intégrant la biologie moléculaire et l’imagerie fonctionnelle seront également exposés. Le docteur Bruno Giordana présentera une revue de la littérature sur les méthodes de remédiation cognitive actuellement disponibles [2]. Il présentera l’intérêt de développer un nouveau programme intégratif s’adressant à des patients déficitaires et hospitalisés au long cours. Le docteur Jérôme Attal présentera les techniques de neurostimulation (stimulation magnétique transcrânienne répétée (rTMS), stimulation transcrânienne par courant continu (tDCS), stimulation cérébrale profonde) qui font actuellement l’objet de plusieurs protocoles de recherche dans le champ des symptômes négatifs [3]. Ces techniques pourraient devenir de nouvelles stratégies thérapeutiques pour les patients. Il exposera ainsi un projet de recherche en cours sur l’efficacité de la tDCS sur les symptômes négatifs dans la schizophrénie impliquant plusieurs membres de notre association. Enfin, cette session souhaite être l’occasion de présenter et de partager ce modèle de partenariat inter-régional original dans le champ de la recherche en psychiatrie et d’ouvrir notre association à de futures collaborations.


2020 ◽  
Vol 176 ◽  
pp. S92
Author(s):  
Léa Decombe ◽  
Henry Audrey ◽  
René Decombe ◽  
Mélissa Tir ◽  
Anne Doé De Maindreville ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 175 ◽  
pp. S106
Author(s):  
Antoine Blain ◽  
Ouhaid Lagha Boukbiza ◽  
Gebus Odile ◽  
Mathieu Anheim ◽  
Christine Tranchant

2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S151-S151
Author(s):  
B. Jakubowicz ◽  
A.-S. Seigneurie ◽  
F. Limosin

IntroductionLes dyskinésies tardives induites par les antipsychotiques sont des mouvements anormaux pouvant survenir à partir de 3 mois de prise médicamenteuse. Leur incidence, estimée à 29,7 %, semble liée à une hypersensibilité des récepteurs à la dopamine. Des thérapies médicamenteuses permettent de juguler ces effets indésirables. Lorsque ces propositions thérapeutiques échouent à soulager efficacement le patient, l’indication de la stimulation cérébrale profonde se pose alors.ObjectifsÀ la lumière d’un cas clinique exposant la situation d’un jeune homme traité par antipsychotiques chez lequel des dyskinésies tardives invalidantes sont diagnostiquées, nous mettrons en évidence l’intérêt de la stimulation cérébrale profonde bilatérale pallidale interne lorsque les autres alternatives thérapeutiques ne sont pas efficaces.MéthodesUn report de cas complété par une revue de la littérature étayeront nos propos.ConclusionL’identification de facteurs de risque de survenue de ces mouvements anormaux doit davantage être considérée par les prescripteurs, pouvant agir sur un axe préventif. La place de la stimulation cérébrale profonde dans le traitement curatif de ces mouvements anormaux est encore marginale du fait des pathologies psychiatriques dont sont atteints ces sujets. Cette technique est pourtant vectrice d’une amélioration conséquente des dyskinésies tardives induites par les antipsychotiques résistantes aux thérapies médicamenteuses.


Author(s):  
Valérie Coulombe ◽  
Léo Cantin ◽  
Vincent Martel-Sauvageau

La stimulation cérébrale profonde des noyaux sous-thalamiques utilisée dans le traitement des symptômes moteurs de la maladie de Parkinson engendre fréquemment des effets secondaires sur l’intelligibilité de la parole. Aucune évaluation objective de la parole n’est actuellement administrée lors de la chirurgie d’implantation des électrodes malgré que le site de contact des électrodes influence grandement les résultats postopératoires. L’objectif de cette revue systématique des écrits scientifiques est de documenter et d’identifier les éléments pertinents pour prendre position quant à une procédure d’évaluation de la parole applicable au contexte peropératoire de stimulation cérébrale profonde dans la maladie de Parkinson. Grâce à une recherche effectuée sur les bases de données Medline, Cinahl et Google Scholar, 28 articles ont été analysés et de courtes tâches de répétition de mots, de répétition de syllabes rapide, de tenue vocalique et d’auto-évaluation ont été retenues. Ces quatre tâches permettent d’évaluer les effets directs du site d’implantation pour la stimulation sur la parole grâce aux mesures acoustiques, soit le temps maximal de phonation, la pente de transition du F2 et le débit articulatoire. Cette revue a permis d’identifier un protocole d’évaluation qui pourrait guider la pratique clinique.


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