Étude de la relation entre amélioration des paramètres moteurs, thymiques, d’activités de la vie quotidienne, de qualité de vie, et de douleur après chirurgie de stimulation cérébrale profonde et type de personnalité dans la maladie de Parkinson IDI

2014 ◽  
Vol 170 ◽  
pp. A129
Author(s):  
J. Dupouy ◽  
F. Ory-Magne ◽  
J. Pellaprat ◽  
C. Arbus ◽  
C. Brefel-Courbon
2021 ◽  
Vol 177 ◽  
pp. S20
Author(s):  
Salma Laassila ◽  
Naima Chatou ◽  
Bouchal Siham ◽  
Faouzi Belahsen

2012 ◽  
Vol 168 ◽  
pp. A108-A109
Author(s):  
Damien Fetter ◽  
Romain Lefaucheur ◽  
Nathalie Chastan ◽  
Stéphane Derrey ◽  
David Maltete

2009 ◽  
Vol 1 (1) ◽  
pp. 137 ◽  
Author(s):  
Antoinette Prouteau ◽  
Olivier Grondin ◽  
Joël Swendsen

2020 ◽  
Vol 176 ◽  
pp. S92
Author(s):  
Léa Decombe ◽  
Henry Audrey ◽  
René Decombe ◽  
Mélissa Tir ◽  
Anne Doé De Maindreville ◽  
...  

Praxis ◽  
2002 ◽  
Vol 91 (10) ◽  
pp. 402-406
Author(s):  
Braune

La participation du système nerveux autonome dans la maladie de Parkinson est un exemple du caractère multisystémique qui dépasse le système extrapyramidal de cette maladie. Les symptômes qui sont provoqués par celle-ci apparaissent chez 40 à 60% des patients et provoquent une diminution importante de la qualité de vie. La cause en est principalement une lésion postganglionnaire du système nerveux autonome. La scintigraphie avec metaiodebenzylguanidine (MIBG) met en évidence une atteinte précoce du système nerveux et peut être utilisée pour le diagnostic différentiel entre la maladie de Parkinson et d'autres maladies neurodégénératives déjà durant la phase précoce. Cet examen a une sensibilité d'au moins 89.7% et une spécificité de 94.6% pour la différentiation d'une atrophie multisystémique. Un symptôme trop souvent négligé d'une insuffisance autonome est l'hypotension orthostatique. La vérification du diagnostic et l'investigation des causes peuvent être effectuées avec des méthodes cliniques simples; des options physiothérapeutiques et médicamenteuses sont à disposition pour le traitement.


2019 ◽  
Vol 175 ◽  
pp. S106
Author(s):  
Antoine Blain ◽  
Ouhaid Lagha Boukbiza ◽  
Gebus Odile ◽  
Mathieu Anheim ◽  
Christine Tranchant

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 578-578 ◽  
Author(s):  
A. Poisson

Les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont une complication relativement fréquente au stade des complications cognitives de la maladie. Étant généralement peu inquiétantes, le sujet ne les rapportera pas toujours spontanément. Pourtant, elles peuvent en effet signer l’entrée dans une psychose ou une démence parkinsonienne. Elles grèvent la qualité de vie du patient, de son entourage et parfois mettent en péril le maintien à domicile des sujets. Elles ne doivent donc pas êtres négligées. Classiquement les hallucinations dans la maladie de Parkinson sont d’abord visuelles, parfois mineures (simples de passage à la périphérie du champ visuel) ou au contraire très élaborées.Leur physiopathologie demeure imparfaitement connue. L’atteinte visuelle centrale, et notamment au niveau de l’intégration des données visuelles semble jour un rôle majeur. Cependant, d’autres systèmes dont le fonctionnement est perturbé dans la maladie de Parkinson sont impliqués dans la survenue des hallucinations : système visuel périphérique (rétine), voies régulatrices du cycle veille sommeil et notamment du sommeil paradoxal et enfin le système frontal et notamment exécutif.La prise en charge des hallucinations dans la maladie de Parkinson est relativement stéréotypée. Il faut tout d’abord dépister pour les éliminer les facteurs favorisants, notamment de type médicamenteux ou métabolique. Si les hallucinations persistent, le traitement antiparkinsonien doit être revu rapidement avec en priorité la diminution ou l’arrêt des anticholinergiques, des agonistes dopaminergiques et de l’amantadine, puis des inhibiteurs de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT) et de la monoaminoxydase B (MAO B). Au besoin, les doses de dopamine peuvent être diminuées. Ces adaptations thérapeutiques permettent en général de contrôler les hallucinations, parfois au détriment de l’état moteur. Malgré tout, si les hallucinations persistent, un traitement neuroleptique par petites doses de clozapine peut être indiqué avec en générale une excellente efficacité.


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