Réduire l'autostigmatisation et les symptômes négatifs par la remédiation cognitive

Author(s):  
Julien Dubreucq ◽  
Franck Gabayet ◽  
Thierry Lucas ◽  
Fanny Mélis ◽  
Mégane Faraldo
2011 ◽  
Vol 195 (6) ◽  
pp. 1319-1333 ◽  
Author(s):  
Isabelle Amado ◽  
Marie-Odile KREBS ◽  
Raphaël Gaillard ◽  
Jean-Pierre Olié ◽  
Henri Lôo

Enfance ◽  
1995 ◽  
Vol 48 (2) ◽  
pp. 263-271
Author(s):  
E. Le Loarer ◽  
Jacques Lautrey ◽  
Michel Huteau ◽  
Daniel Chartier

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 108-109
Author(s):  
C. Isaac ◽  
D. Fouques ◽  
S. Braha Zeitoun ◽  
D. Januel

IntroductionLe trouble bipolaire est une maladie psychiatrique caractérisée par une alternance d’épisodes de dépression et/ou de manie, ainsi que de périodes de rémission plus ou moins partielles. Des études ont observé des déficits cognitifs chez les patients bipolaires, qui seraient présents dès le premier épisode et qui persisteraient tout au long de leur vie [4]. Ces troubles auraient un impact sur le fonctionnement psychosocial des patients [1]. Il n’existe actuellement aucune thérapie ciblant les déficits cognitifs des patients bipolaires. La remédiation cognitive est une thérapie permettant un entraînement des capacités cognitives et un apprentissage de stratégies de résolution de problèmes. Plusieurs études concluent à un effet bénéfique persistant de la thérapie chez les patients schizophrènes [3]. De nombreux auteurs suggèrent que la thérapie de remédiation cognitive pourrait également être bénéfique aux patients bipolaires [2].MéthodologieNotre étude a pour objectif d’observer l’intérêt que peut présenter la remédiation cognitive pour les patients bipolaires, à travers l’étude du parcours de Monsieur V., un patient bipolaire de type I, qui a suivi une thérapie individuelle de remédiation cognitive durant trois mois. Nous avons administré avant et après la thérapie un bilan clinique, un bilan neuropsychologique et le test de Rorschach.RésultatsLes résultats indiquent une amélioration des capacités cognitives et fonctionnelles du patient. Nous avons observé des améliorations comportementales, mais également un changement plus profond dans la manière dont le patient mobilise des capacités cognitives.ConclusionCes résultats suggèrent que des patients bipolaires pourraient bénéficier d’une thérapie de remédiation cognitive, et nécessiteraient d’être reproduits sur une plus large population.


2016 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 31-47
Author(s):  
C. Soumet-Leman ◽  
A. Plagnol ◽  
R. Jouvent

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 591-592
Author(s):  
I. Jalenques

L’objectif d’un diagnostic et d’un programme thérapeutique personnalisés pour chaque patient souffrant de troubles schizophréniques n’est aujourd’hui qu’en partie atteint. Cette session fait le point sur les dernières avancées et celles à venir concernant les outils et stratégies diagnostiques ainsi que les thérapeutiques médicamenteuses et cognitives.Si l’hétérogénéité des tableaux cliniques répondant aux critères diagnostiques de schizophrénie est une constatation bien établie, on ne sait pas encore clairement ce que recouvre cette hétérogénéité : maladies distinctes ou variabilité d’expression d’une même maladie. Outre l’intérêt théorique, identifier une étiologie revêt un intérêt pratique pour définir la stratégie thérapeutique la plus adaptée chez un patient donné car certaines caractéristiques cognitives ou évolutives ont une incidence sur les options thérapeutiques. Reste à déterminer un algorithme réaliste permettant de hiérarchiser outils et examens pour affiner le bilan diagnostique de l’ensemble des patients.L’évolution des troubles schizophréniques a été amplement modifiée suite à l’avènement des neuroleptiques en 1952. Les antipsychotiques de seconde génération sont venus compléter l’offre de soins. Les données récentes insistent sur la nécessité de traiter sans retard car la souffrance engendrée par la maladie est réelle. Avec les nouvelles molécules la prise en charge devrait être individualisée, prenant en compte les attentes et appréhensions des patients notamment face au traitement pharmacologique.Les troubles cognitifs très fréquents, hétérogènes, contribuent fortement au pronostic fonctionnel. Le profil des compétences dégradées et préservées est propre à chaque patient : une remédiation cognitive pertinente nécessite donc des prises en charge individualisées. Le bilan neuropsychologique, dans le cadre d’une évaluation intégrative multidisciplinaire, permet d’établir des liens entre les profils cognitif et fonctionnel. Les éventuelles indications de remédiation cognitive qui en découlent ne doivent pas viser l’amélioration des performances cognitives pour elles-mêmes, mais la réussite de projets concrets dans les domaines social ou professionnel à laquelle cette amélioration peut contribuer [1,2].


L Encéphale ◽  
2009 ◽  
Vol 35 (2) ◽  
pp. 160-167 ◽  
Author(s):  
J. Sablier ◽  
E. Stip ◽  
N. Franck

2019 ◽  
Vol 1 ◽  
pp. S20
Author(s):  
A. Luquiens ◽  
A. Santiago ◽  
R. Miranda ◽  
A. Carré ◽  
P. Perney

2016 ◽  
Vol 37 (306) ◽  
pp. 42-43 ◽  
Author(s):  
Palmyre Schenin-King ◽  
Fanny Thomas ◽  
Sonia Braha-Zeitoun ◽  
Noomane Bouaziz ◽  
Dominique Januel

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