Hormonoradiothérapie exclusive dans la prise en charge du cancer du sein de la personne âgée : cas clinique et revue de la littérature des schémas hypofractionnés

2011 ◽  
Vol 15 (8) ◽  
pp. 723-727 ◽  
Author(s):  
P. Auberdiac ◽  
C. Chargari ◽  
L. Cartier ◽  
A. Mélis ◽  
N. Malkoun ◽  
...  
Author(s):  
Yassine Smiti ◽  
Anass El Bouti ◽  
Khaoula Sibbou ◽  
Nazik Allali ◽  
Siham El Haddad ◽  
...  

2016 ◽  
Vol 22 (1) ◽  
pp. 63-75 ◽  
Author(s):  
Adrien Bizet ◽  
Christophe Margottin ◽  
André Lagarde ◽  
Olivier Malard ◽  
Pierre Corre ◽  
...  

2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 651-651
Author(s):  
E. Thibon ◽  
P. Doury ◽  
K. Parera ◽  
F. Olivier ◽  
R. Cance

Mme L., 90 ans, était traitée en 3e intention par rispéridone 0,5 mg puis 1 mg durant 7 jours dans le cadre d’un trouble anxieux généralisé décompensé avec agitation. Une rhabdomyolyse et une cytolyse hépatique ont été découvertes fortuitement, associées à des signes cliniques de syndrome malin des neuroleptiques (SMNL) débutant. Les anomalies cliniques et paracliniques ont été résolutives 7 jours après l’arrêt de la rispéridone.Nous avons réalisé une revue de la littérature sur le SMNL chez le sujet âgé de plus de 65 ans dans la base de données gratuite de Pubmed entre 1985 et 2014.Parmi les patients retrouvés, la majorité étaient des hommes âgés de plus de 80 ans. Les pathologies traitées étaient représentées pour moitié par des pathologies neurodégénératives. Les différentes classes d’antipsychotiques étaient représentées, avec notamment : halopéridol, dropéridol, chlorpromazine, trifluopérazine, méthotrimeprazine, loxapine, sulpiride ainsi que risperidone et olanzapine. L’augmentation récente des doses semblait être un facteur favorisant. Les délais d’apparition étaient immédiat (< 48 h), précoce (2 à 15 jours), ou tardif (> 15 jours) dans la plupart des cas. Les signes cardinaux du SMNL étaient présents dans la plupart des cas, associés à une augmentation systématique des CPK. On note 50 % de mortalité.La spécificité chez le sujet âgé semble être une mortalité plus élevée qu’en population générale. Les facteurs de risque tels les pathologies neurodégénératives sont analysés. Les auteurs interrogent le rapport bénéfice/risque de la prescription des antipsychotiques chez la personne âgée.


2016 ◽  
Vol 23 (10) ◽  
pp. 1067-1070 ◽  
Author(s):  
P. Brinas ◽  
C. Bréhin ◽  
S. Breinig ◽  
P. Galinier ◽  
I. Claudet ◽  
...  

ONCOLOGIE ◽  
2009 ◽  
Vol 12 (S1) ◽  
pp. 26-29 ◽  
Author(s):  
H. Mrabti ◽  
I. El Ghissassi ◽  
K. El Hassani ◽  
Y. Bensouda ◽  
Y. Sbitti ◽  
...  

2013 ◽  
Vol 28 (S2) ◽  
pp. 9-9
Author(s):  
S. Ben Alaya ◽  
W. Homri ◽  
A. Harbaoui ◽  
A. Hari ◽  
R. Labbene

IntroductionLes sujets à personnalité dépendante sont assez souvent victimes de maltraitance physique émanant dans la majorité des cas de leurs proches. Cependant, cette maltraitance reste longtemps tolérée par le sujet afin de ne pas rompre le lien de dépendance. ObjectifMettre en exergue l’association entre ce type de trouble de la personnalité et la tolérance à la maltraitance infligée par leurs proches.MéthodologieRevue de la littérature par recherche sur la base de données « Science direct », via les mots clés « Dependant personality » « Violence » « Abuse », illustrée par un cas clinique.RésultatsIl s’agit de M. A.R., âgé de 59 ans sans antécédent notable, marié, père d’un fils âgé de 27 ans, suivi dans notre service pour trouble dépressif majeur avec caractéristiques psychotiques sur une personnalité dépendante. Lors des hospitalisations nous avons constaté la présence de traces de maltraitance physique, ce n’est qu’après plusieurs entretiens que le patient avoue qu’il subissait continuellement la violence physique et la maltraitance de la part de sa femme et de son fils. Après revue de la littérature, nous avons constaté que les sujets ayant une personnalité dépendante auraient tendance à être agressés plus fréquemment par leurs proches, de manière répétée. Il s’agit d’une population à risque capable de supporter longtemps la violence émanant d’un proche de peur de perdre son soutien et son approbation, maintenant ainsi le lien de dépendance. ConclusionLa personnalité dépendante est un trouble de la personnalité relativement fréquent mais les sujets ne consultent généralement pas pour leur trouble, il s’agit d’une population vulnérable et silencieuse souvent sujette à la maltraitance qu’il faudrait savoir dépister afin d’entamer une prise en charge adaptée. Cependant, il n’existe que peu de travaux relatifs traitant de ce sujet.


2014 ◽  
Vol 29 (S3) ◽  
pp. 569-569
Author(s):  
C. Kocyba ◽  
B. Choukroun

« Curieux petit syndrome », le syndrome de Capgras consiste en un trouble de l’identification des personnes. Il porte atteinte au sentiment de familiarité, renvoyant un inconfortable vécu d’étrangeté. Cela donne une véritable particularité clinique dans la relation et la prise en charge du patient. Partant de la situation de Mme. A., nous entamons une revue de la littérature des caractéristiques sémiologiques et des considérations étiologiques du syndrome de Capgras. Initialement dénommé « illusion des sosies », ce syndrome renvoie à la conviction délirante du patient qu’un ou des proches ont été substitués par un ou des sosies. Ce dernier renvoie un sentiment de persécution d’intensité variable selon les patients. Capgras résume sa description clinique en parlant d’« agnosie d’identification », car « partout le patient saisit la ressemblance et partout il méconnaît l’identité ». La clinique de Mme. A., par ses intrications psychiatriques, biologiques, cognitives et neurologiques, souligne la nécessité d’une approche multifactorielle et intégrative dans la compréhension du syndrome de Capgras. À côté des hypothèses psychodynamiques, deux modèles issus des sciences cognitives se dégagent dans la littérature : le modèle séquentiel de reconnaissance des visages par Bruce et Young et le modèle « à deux voies ». Des modèles ultérieurs tentent ensuite de faire le lien avec les données de neuro-imagerie, notamment fonctionnelle. Issus de ces démarches intégratives, des approches globales du syndrome de Capgras semblent se développer dans les travaux les plus récents de la littérature. Avec une clinique à la rencontre de la psychiatrie et de la neurologie, les questions autour de l’organicité du syndrome de Capgras persistent sans être entièrement tranchées. Ce syndrome demeure néanmoins d’une grande richesse pour le clinicien, tant sur le plan théorique que dans les liens avec le patient et son entourage.


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