signes cliniques
Recently Published Documents


TOTAL DOCUMENTS

155
(FIVE YEARS 27)

H-INDEX

7
(FIVE YEARS 1)

Sexologies ◽  
2021 ◽  
Author(s):  
P. Desvaux ◽  
B. Cuzin ◽  
A. Faix ◽  
E. Huyghe ◽  
H. Lejeune ◽  
...  
Keyword(s):  

2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 81-84
Author(s):  
Amel Guezzi ◽  
◽  
Abdelmalek Rahmani ◽  
Omar Bafdel

L’invagination iléo-colique sur tumeur caecale est une pathologie rare chez l’adulte. Les circonstances de découvertes sont très variées. Le diagnostic pré opératoire peut être difficile vu que le tableau clinique évolue le plus souvent selon un mode chronique. Nous rapportons un cas d’invagination iléo-caecale sur tumeur iléocæcale survenue chez une femme de 67 ans qui a été opérée en urgence pour un syndrome occlusif. Les signes cliniques et l’imagerie étaient en faveur d’une invagination intestinale aiguë. Cependant, le diagnostic étiologique a été posé en peropératoire et la laparotomie a révélé une invagination intestinale iléo-cæco-colique sur une tumeur du caecum et que la résection carcinologique avec anastomose immédiate était possible. L’évolution postopératoire a été favorable. Mots-clés : Invagination intestinale, caecum, Lipome.


2021 ◽  
Vol 8 (1) ◽  
pp. 36-41
Author(s):  
Nada Boutrid ◽  
◽  
Hakim Rahmoune ◽  
Karim Bouziane-Nedjadi ◽  
Abdelkrim Radoui ◽  
...  

Introduction. La mucoviscidose reste une affection potentiellement sévère, responsable d’une morbimortalité élevée dans notre pays en raison du retard diagnostique et de prise en charge des enfants vu l’absence de dépistage néonatal. Objectif. Présenter les signes cliniques digestifs et hépatobiliaires des enfants atteints de mucoviscidose au diagnostic et lors de leur suivi. Patients et méthodes. Etude descriptive, transversale et rétrospective conduite au niveau du service de pneumo-allergologie de l’EHS Canastel « Boukhrofa Abdelkader » à Oran, entre 2000 et 2019, concernant les dossiers des enfants avec un diagnostic confirmé de mucoviscidose. Résultats. Sur 51 dossiers d’enfants colligés (49% de garçons, âge moyen = 6.68 +/- 4.24 années), la triade classique avec diarrhée, dénutrition et atteinte pulmonaire était le premier motif d’hospitalisation avec 41% des enfants. Aussi, à l’admission, la diarrhée chronique avec stéatorrhée était présente dans 82,4% des cas, avec 11.8% de déshydratation. Trente-six pour cent (36%) des enfants présentaient également une dénutrition associée. Concernant le système hépatobiliaire, 10% des enfants présentaient une hépatomégalie clinique, avec une lithiase vésiculaire dans un seul cas. Un seul enfant a présenté un prolapsus rectal. Sur le plan thérapeutique nutritionnel, tous les enfants ont reçu des extraits pancréatiques. L’évolution des diarrhées était globalement favorable ; le pourcentage des enfants diarrhéiques étant passé de 82.4% à 37.25% avec une amélioration de l’index de masse corporelle (IMC) chez 42.55% des malades. Conclusion. Les manifestations hépato-digestives sont au premier plan au cours de la mucoviscidose : dans notre cohorte, tous les patients ont présenté au moins un signe d’appel digestif durant leur suivi. Leur reconnaissance et surtout leur prise en charge précoces sont des étapes essentielles en vue d’améliorer le pronostic des enfants atteints de mucoviscidose. Mots clés : Mucoviscidose, Enfant, Algérie, insuffisance pancréatique exocrine, complications digestives, complications hépatobiliaires.


2021 ◽  
Vol 9 (5) ◽  
pp. 245-247
Author(s):  
H. Ayyadi ◽  
◽  
H. Lahmam ◽  
H. Ait El Ghali ◽  
R. Chafik ◽  
...  

L articulation sterno-claviculaire est souvent mal connue et sa pathologie, quoique frequente, est volontiers sous-estimee. L atteinte infectieuse de cette articulation est assez rare, mais elle peut etre grave, notamment si elle se complique d une mediastinite pouvant engager le pronostic vital. Par comparaison avec les autres arthrites septiques, l atteinte sterno-claviculaire presente plusieurs singularites concernant les donnees epidemiologiques, les facteurs de risque, les signes cliniques et biologiques. Un diagnostic rapide et un traitement adapte sont les seuls garants d un excellent pronostic. Nous rapportons dans cette etude retrospective 2 cas colliges dans notre service presentant tous les deux une osteoarthrite de larticulation sterno-claviculaire. Le traitement etait exclusivement medical par antibiotherapie avec evolution favorable. Du fait de sa rarete et de son tableau clinique souvent trompeur, le diagnostic d une arthrite septique de la sterno-claviculaire est souvent retarde. Il faut savoir evoquer cette pathologie devant une douleur, meme atypique, de la region sterno-claviculaire ou de l epaule. Faute d un diagnostic precoce, les complications locoregionales peuvent s installer, notamment la redoutable mediastinite. Diagnostiquee rapidement, cette arthrite est aisement contrôlee par le traitement medical, et le pronostic est excellent.


2021 ◽  
Vol 9 (4) ◽  
pp. 982-984
Author(s):  
O. Samory Khatry ◽  
◽  
S. Karam ◽  
N. Mamouni ◽  
S. Errarhay ◽  
...  

Lhypertension intracranienne idiopathique (HTICI) est une pathologie rare, sa physiopathologie reste encore difficile a expliquer. Le diagnostic positif repose sur des signes cliniques dHTIC, une imagerie cerebrale normale, et une mesure de la pression du LCR. Le diagnostic dHTICI est retenu selon les criteres de Dandy modifies par FRIEDMAN et JACOBSON. Sa survenue durant la grossesse entraîne plusieurs difficultes du diagnostic positif, car les cephalees sont frequemment rencontrees chez la femme enceinte et leurs causes sont multiples. Le choix de la therapeutique depend en premier lieu de latteinte visuelle, mais aussi de lage gestationnel, la grossesse nest pas contreindiquee chez une patiente atteinte de cette pathologie, lhypertension intracranienne idiopathique naugmente pas le taux de complications obstetricales, et laccouchement peut se realiser dans les conditions habituelles. Nous rapportons le cas dune patiente ayant presente une HTIC idiopathique diagnostiquee au troisieme trimestre de sa grossesse. Lobjectif de cet article est de preciser les modalites de prise en charge, levolution et le pronostic obstetrical de cette pathologie.


2021 ◽  
Vol 4 (1) ◽  
pp. 65
Author(s):  
Gil Dutra Furtado ◽  
Soraya Abrantes Pinto de Brito ◽  
Magnolia Ouriques de Oliveira

Les CoV (coronavirus) appartiennent à la des virus de l’acide ribonucléique (ARN) et sont connus sous le nom de coronavirus parce que la particule virale a une caractéristique « couronne ». Les infections au CoV sont courantes chez les humains et les animaux, dont certaines sont zoonotiques. Le CoV peut provoquer des pathologies allant du rhume à des maladies plus graves, telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (causé par le MERS-CoV) et le syndrome respiratoire aigu sévère (causé par le SRAS-CoV) chez l'homme. Certains travaux scientifiques montrent que le SRAS-CoV a été transmis des civettes aux humains et le MERS-CoV des dromadaires aux humains. Le CoV qui cause le COVID-19 a été nommé SARS-CoV-2 par le Comité international de taxonomie des virus (ICTV). Selon la recherche scientifique, les preuves actuelles suggèrent que le SRAS-CoV-2 a émergé d'une source animale, et les informations sur la séquence génétique révèlent que le SRAS-CoV-2 est similaire à d'autres CoV trouvés dans les populations de chauves-souris fer à cheval (Rhinolophus Ferrumequinum). Pas encore assez de preuves scientifiques pour mettre en évidence la source réelle du SRAS-CoV-2 ou pour expliquer quelle était la voie initiale de transmission de celui-ci aux humains (qui peut avoir impliqué un hôte intermédiaire). Étant donné que l'infection par le SRAS-CoV-2 est si largement répandue dans la population humaine, on observe qu'il est possible que certaines espèces animales soient infectées par contact avec des humains infectés. Les animaux infectés par le SRAS-CoV-2 peuvent créer des situations inattendues pour la santé animale et humaine, ainsi que pour le bien-être animal, la préservation de la faune et la recherche biomédicale. Quant aux animaux domestiques tels que les chats et les chiens, ils ont été testés positifs pour le SRAS-CoV-2 après avoir eu des contacts avec des êtres humains infectés par ce virus. Au cours des travaux d'observation réalisés avec ces animaux, les chats ont présenté des signes cliniques de la maladie tels que des problèmes respiratoires et gastro-intestinaux. Bien qu'il ait été confirmé que des animaux ont été infectés par le SRAS-CoV-2, il n'est pas confirmé, à ce jour, que ces animaux aient transmis le COVID 19 à l'homme, mais il est bien observé que la pandémie est due à la transmission de l’homme à l’homme. Comme les animaux et les humains peuvent être affectés par ce virus zoonotique, il est recommandé aux personnes suspectées ou confirmées d'infection par le SRAS-CoV-2 de limiter le contact avec leurs animaux de compagnie.


2021 ◽  
Vol 16 (1) ◽  
pp. 7-10
Author(s):  
M Savadogo ◽  
A Ouattara ◽  
CK Dahani ◽  
O Nikiéma ◽  
S Traoré ◽  
...  

Introduction : la pandémie de COVID-19 n'a pas épargné le Burkina Faso qui a enregistré ses premiers cas le 09 mars 2020.Objectifs : décrire le profil épidémiologique et clinique des cas suspects de COVID-19 au CHU Yalgado Ouédraogo de OuagadougouPatients et méthode : il s'agit d'une étude transversale conduite du 05 Avril au 04 Mai 2020 dans la zone d'accueil et de tri du CHU Yalgado Ouédraogo. Étaient inclus tous les patients suspects de COVID-19, conformément aux définitions de l'OMS.RésultatsSur les 2 486 patients reçus au niveau de la zone d'accueil et de tri du CHU Yalgado Ouédraogo, 151 cas suspects de COVID-19 avaient été recensés, dont 14 cas confirmés, soit un taux de dépistage de 9%. La majorité des patients (71,5%) provenaient de la ville de Ouagadougou. L'âge moyen était de 53±18 ans. Le sexe masculin prédominait (sex ratio = 1,25). Cliniquement, 86% des patients étaient fébriles. Une toux était présente chez 69% des patients ; une dyspnée chez 60% avec une fréquence respiratoire moyenne de 29±10 cycles/mn. La saturation pulsée en oxygène moyenne était à 86±13%. La fréquence cardiaque moyenne était de 104±17/mn. Une asthénie était notée chez 29% ; des céphalées chez 18% ; un mal de gorge chez 15,5% ; une douleur thoracique chez 11,5% ; une détresse respiratoire chez 11% des patients ; un écoulement nasal et des nausées chez respectivement 7% des patients. Tous les cas suspects ont bénéficié de prélèvement nasopharyngé. La majorité des prélèvements (76,2%) ont été effectués par l'équipe d'investigation de l'hôpital Yalgado. Les patients prélevés étaient hospitalisés dans 29% des cas. Six cas ont refusé le prélèvement. Neuf prélèvements ont été effectués en post mortem.Conclusion : il est noté un polymorphisme clinique et un faible taux de dépistage de la COVID-19 chez les patients suspects, témoins d'un manque de spécificité des signes cliniques de la maladie.


Author(s):  
A. Pointet ◽  
X. Belgodère ◽  
J.-Y. Héry

La rétronychie est une pathologie rare des ongles qui touche principalement l’hallux. Elle consiste en l’incarnation proximale de plusieurs tablettes unguéales, à partir de la matrice dont la fonction productrice est perturbée. Initialement décrite en 1999 par De Berker et Rendall, elle est souvent confondue avec un panaris résistant aux antibiotiques. Le traitement entrepris peut alors être source d’erreurs thérapeutiques amenant chronicisation de l’incarnation et complications infectieuses. Pourtant, les signes cliniques sont caractéristiques, et la rétronychie est aisément curable. Nous rapportons ici un cas inhabituel de rétronychie bilatérale des deux hallux chez un jeune homme de 19 ans. À travers ce cas et une revue de la littérature, nous rappelons les caractéristiques cliniques, la physiopathologie et la prise en charge thérapeutique de la rétronychie.


Sign in / Sign up

Export Citation Format

Share Document