La chirurgie bariatrique améliore les troubles de la statique pelvienne chez la femme

2016 ◽  
Vol 153 (2) ◽  
pp. 98-103
Author(s):  
T. Knepfler ◽  
E. Valero ◽  
E. Triki ◽  
N. Chilintseva ◽  
S. Koensgen ◽  
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2017 ◽  
Vol 201 (7-9) ◽  
pp. 973-982
Author(s):  
Claude Jaffiol ◽  
Jacques Bringer ◽  
Jean-Paul Laplace ◽  
Catherine Buffet ◽  
Claude Attali ◽  
...  

2019 ◽  
Vol 13 (4) ◽  
pp. 180-187
Author(s):  
M. Delestre ◽  
A. David ◽  
E. Frampas

L’obstruction à la défécation, qu’elle soit d’origine fonctionnelle ou mécanique, ou du fait de l’association de ces deux mécanismes, nécessite désormais un bilan d’imagerie dynamique afin d’en caractériser l’étiologie et le retentissement anatomique, dans le but d’orienter la prise en charge. Cet article a pour but de faire l’inventaire des différentes entités anatomiques rencontrées en imagerie par résonance magnétique (IRM). Différents repères anatomiques sont importants, comme la ligne pubococcygienne joignant le pubis à la dernière articulation coccygienne et permettant de définir la descente périnéale, ou bien l’axe du canal anal dans le diagnostic des rectocèles. Dans certaines situations, comme dans le cas du prolapsus rectal extériorisé, l’usage de l’IRM n’est pas utile au diagnostic, mais plus dans le but de démasquer d’autres entités associées, par exemple une élytrocèle. C’est pour ces raisons que l’IRM pelvienne dynamique (déféco-IRM) est aujourd’hui de pratique courante dans le bilan des troubles de la statique pelvienne et joue un rôle dans le choix de la prise en charge.


Obésité ◽  
2019 ◽  
Vol 14 (3) ◽  
pp. 103-110
Author(s):  
M. Gout ◽  
M. Ast ◽  
N. Lagoutte ◽  
F. Abo Alhassan ◽  
L. Jonval ◽  
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Introduction : La sleeve gastrectomie (SG) est devenue la technique de chirurgie bariatrique la plus réalisée en France. Cependant, les causes d’échec sont peu connues, et le volume gastrique (VG) pourrait y avoir un rôle. Le but de cette étude est donc d’analyser le lien entre le volume gastrique à un an et le succès pondéral. Patients et méthodes : Tous les patients obèses ayant bénéficié d’une SG entre septembre 2015 et juin 2017 ont bénéficié d’une volumétrie gastrique scanographique un an après la chirurgie. Le pourcentage d’excès de poids perdu à un an était mesuré pour évaluer le résultat pondéral et rechercher un lien avec le VG résiduel. Résultats : Cent soixante-huit patients consécutifs ont été inclus avec seulement sept perdus de vue (4,17 %). Le taux de succès de la SG à un an s’élevait à 73,9 %. Le sexe féminin et l’IMC préopératoire inférieur à 50 kg/m2 étaient des facteurs prédictifs de succès puisqu’il y avait 85,7 % de femmes dans le groupe succès contre 66,7 % dans le groupe échec (p = 0,007), et l’IMC moyen était de 43,7 ± 5,3 kg/m2 en cas de succès contre 46,7 ± 6,1 kg/m2 en cas d’échec (p = 0,003). Le VG était significativement plus petit chez les femmes (185,92 ± 95,83 cm3 vs 244,75 ± 134,06 cm3, p = 0,005) et chez les patients de moins de 40 ans (177,0 ± 85 cm3 vs 215 ± 119,8 cm3, p = 0,02). Le VG résiduel moyen était de 186,42 cm3 dans le groupe ayant un bon résultat pondéral et de 226,43 cm3 dans le groupe en échec de perte pondérale (p = 0,17). Conclusion : Le résultat pondéral à un an après sleeve gastrectomie n’est pas statistiquement lié au volume gastrique résiduel.


Author(s):  
R. Lesourd ◽  
T. Greilsamer ◽  
M. de Montrichard ◽  
D. Jacobi ◽  
E. Frampas ◽  
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