Troubles du sommeil dans la maladie de Parkinson : à propos d’une cohorte hospitalière

2021 ◽  
Vol 177 ◽  
pp. S25
Author(s):  
Rania Attia ◽  
Beyrem Hidouri ◽  
Hajer Bouguila ◽  
Sabra Riahi ◽  
Trabelsi Emna ◽  
...  
2018 ◽  
Vol 18 (106) ◽  
pp. 245-255
Author(s):  
Y. Ouahmane ◽  
J. Mounach ◽  
A. Satté ◽  
A. Zerhouni ◽  
A. Bourazza ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 10 (1) ◽  
pp. 26-33
Author(s):  
Aissata NT Koné

Introduction : La maladie de Parkinson (MP) est une maladie neurodégénérative caractérisée par des symptômes moteurs et non-moteurs, responsables d'une diminution de la qualité de vie, de l'activité professionnelle et des liens sociaux-familiaux. Ce travail avait pour objectif d'étudier les facteurs de risque associés à la survenue de la maladie de Parkinson au Mali. Matériel et méthodes : Il s'agissait d'une étude cas-témoin portant sur 43 cas et 86 témoins appariés selon l'âge et le sexe réalisée sur une période de 8 mois allant de janvier à août 2019 à la maison des ainés de Bamako. Les cas étaient les malades atteints de la MP diagnostiqués par un neurologue et les témoins étaient indemnes de la MP. L'estimation du risque a été faite par le calcul des odds ratio avec IC à 95% en analyse bi variée, uni et multi variées par régression logistique. Résultats: L'âge moyen des malades était de 68,02 ans. A l'analyse bi variée, traumatisme crânien, antécédent familial de tremblement au repos, résidence rurale, trouble intestinal et profession agriculteur/ménagère étaient des facteurs de risque tandis que thé et café étaient des facteurs protecteurs. A l'analyse uni variée, eaux de puits et troubles du sommeil étaient des facteurs de risque tandis que niveau d'instruction, était facteur protecteur. Après ajustement sur ces variables, résidence, troubles du sommeil et antécédent familial de tremblement au repos étaient des facteurs de risque. Conclusion : résidence rurale et troubles du sommeil sont des facteurs de risques contrôlables de la MP au Mali.


Author(s):  
A. Anguenot ◽  
P.Y. Loll ◽  
J.P. Neau ◽  
P. Ingrand ◽  
R. Gil

Résumé:Objective:La fréquence de la dépression au cours de la maladie de Parkinson (MP) conduit à s’interroger sur les difficultés du diagnostic et sur les liens entre la dépression et l’histoire naturelle de la maladie.Méthodes:Une série consécutive de 135 sujets atteints d’une MPidiopathique a été examinée sur le plan psychiatrique (DSM-III-R, échelle de dépression de Goldberg), neurologique (en distinguant les signes “axiaux” des autres signes parkinsoniens), neuropsychologique ( et en particulier tests frontaux).Résultats:Plus de la moitié des sujets ont une dépression qui apparaît plus fréquente dans les formes akinétiques et les formes fluctuantes de la maladie. Les sujets déprimés n’ont pas de déficit cognitif plus marqué mais leurs scores aux tests frontaux sont plus élevés. En outre les signes axiaux de la maladie (instabilité posturale, rigidité axiale) sont plus marqués chez les parkinsoniens déprimés, suggérant un lien entre la dépression et les lésions non dopaminergiques de la maladie. Alors que le ralentissement, les troubles de l’appétit et du sommeil, la fatigue peuvent être observés même chez des parkinsoniens non dépressifs, la séparation de la population parkinsonienne en plusieurs groupes montre que certains symptômes ne sont jamais rencontrés chez les parkinsoniens non dépressifs: il en est ainsi apparu que “l’impression que la vie ne vaut pas la peine d’être vécue”, “la perte d’espoir pour l’avenir”, “l’impression de ne pas être à la hauteur, de ne rien faire de bien”, “la baisse d’énergie”, “la tristesse matinale” caractérisent la dépression parkinsonienne. La dépression parkinsonienne revêt deux grandes formes cliniques. La première est la plus riche en manifestations somatiques: troubles du sommeil, fatigue matinale; elle correspond aux dépressions les plus sévères avec une absence d’espoir pour l’avenir , une perte de confiance en soi. La seconde est pauvre en manifestations somatiques alors que l’apathie y est très fréquente ainsi que le ralentissement.Conclusions:Cette étude permet ainsi de préciser les symptômes de la dépression parkinsonienne qui doit être mieux reconnue pour être plus souvent traitée. Les liens entre la dépression et les signes axiaux de la maladie expliquent sans doute pourquoi la L-dopa et les agonistes dopaminergiques améliorent les signes moteurs de la dépression sans agir le plus souvent sur les manifestations dépressives.


2015 ◽  
Vol 30 (S2) ◽  
pp. S31-S31
Author(s):  
R. David

Les déficits de l’olfaction sont de plus en plus mis en évidence dans les pathologies psychiatriques (troubles bipolaires) comme dans les pathologies neurologiques et dégénératives (maladie de Parkinson, maladie d’Alzheimer). Ils peuvent constituer un marqueur de vulnérabilité et de dépistage précoce pour certaines de ces pathologies, mais ils peuvent aussi constituer une alternative prometteuse dans la prise en charge non pharmacologique de certaines perturbations émotionnelles et comportementales (anxiété, dépression, troubles du sommeil…), ainsi que de certains déficits cognitifs et mnésiques dans le spectre des pathologies neuropsychiatriques. L’objectif de ce symposium est tout d’abord de présenter les bases neurobiologiques de l’olfaction et de ses déficits, puis d’aborder l’intérêt du dépistage précoce des déficits de l’olfaction dans les pathologies neuropsychiatriques ainsi que les modalités thérapeutiques de la stimulation sensorielle olfactive en lien avec le développement des nouvelles technologies de l’information et de la communication.


2010 ◽  
Vol 194 (7) ◽  
pp. 1287-1304
Author(s):  
Charles Duyckaerts ◽  
Véronique Sazdovitch ◽  
Danielle Seilhean
Keyword(s):  

2003 ◽  
Vol 187 (2) ◽  
pp. 295-304
Author(s):  
Richard S.J. Frackowiak ◽  
Patricia Dowsey-Limousin ◽  
Marjan Jahanshahi ◽  
Marwan Hariz

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