Patch transdermique de buprénorphine versus Celecoxib oral pour la gestion de la douleur après une arthroplastie totale du genou : essai contrôlé randomisé ouvert en simple aveugle

2020 ◽  
Vol 106 (5) ◽  
pp. 531
Author(s):  
Xinxian Xu ◽  
Linghui Xie ◽  
Haixiao Liu ◽  
Yuezheng Hu
2020 ◽  
Vol 33 (1) ◽  
pp. 19-23
Author(s):  
B. Leroy ◽  
C. Demoulin

La douleur chronique touche 20 % des Européens. Une prise en charge interdisciplinaire apparaît nécessaire en raison des facteurs cognitifs et affectivomotivationnels qui deviennent prédominants sur les facteurs sensoridiscriminatifs. Dans les programmes de gestion de la douleur, différentes disciplines interagissent de façon à aider le patient à atteindre un objectif fonctionnel qu’il s’est fixé. Le patient sera encouragé à faire des activités en dehors du centre afin de rendre pérenne son changement de comportement.


Author(s):  
Sharon Kaasalainen ◽  
Kevin Brazil ◽  
Esther Coker ◽  
Jenny Ploeg ◽  
Ruth Martin-Misener ◽  
...  

RÉSUMÉObjectif : Les objectifs de cette étude étaient double : (1) d’explorer les obstacles à la gestion de la douleur et ceux associés à la mise en œuvre d’un programme de gestion de la douleur en soins de longue durée (SLD) et (2) de développer une approche interprofessionelle afin d’améliorer la gestion de la douleur en soins de longue durée.Méthodes : Une étude de cas a inclus tous les deux éléments, quantitatifs et qualitatifs. Nous avons recueilli des données sur deux sites LTC à l’aide de sept groupes de discussion pour les infirmières autorisées, fournisseurs de soins non réglementés, et médecins, et 10 entretiens avec des autres groupes de fournisseurs de soins de santé, l’administration et des résidents. Nous avons examiné les documents et administré un sondage à court aux participants à l’étude pour évaluer les perceptions des obstacles à la gestion de la douleur.Résultats : Les résultats ont révélé des obstacles à la gestion efficace de la douleur au niveau des soins de longue durée des résidents et des familles, des fournisseurs de soins de santé, et des systèmes de santé. Nous avons ensuite élaboré un modèle à six niveaux, avec les interventions proposées pour surmonter ces obstacles.Conclusions : Ce modèle peut guider le développement d’approches novatrices pour améliorer la gestion de la douleur dans les établissements de soins de longue durée.


2018 ◽  
Vol 104 (8) ◽  
pp. 777
Author(s):  
Jun-ichi Fukushi ◽  
Ichiro Kawano ◽  
Goro Motomura ◽  
Satoshi Hamai ◽  
Ken-ichi Kawaguchi ◽  
...  

2020 ◽  
Vol 68 ◽  
pp. S20-S21
Author(s):  
M.-A. Le Pogam ◽  
C. Yamdjieu Ngadeu ◽  
I. Peytremann-Bridevaux ◽  
J. Cottenet ◽  
B. Burnand ◽  
...  
Keyword(s):  

2015 ◽  
Vol 20 ◽  
Author(s):  
Bensaad Soufiane ◽  
Hammou Naserddine ◽  
Mechchat Atif ◽  
El Ibrahimi Abdelhamim ◽  
Shimi Mohemmed ◽  
...  
Keyword(s):  

2018 ◽  
Vol 89 (3) ◽  
pp. 259-277 ◽  
Author(s):  
Gabriel Lietz ◽  
Sarah Gebeile-Chauty

Introduction : L’objectif de cette revue de la littérature est d’évaluer le rapport bénéfice/risque de la distraction osseuse symphysaire. Materiels et methodes : Les essais cliniques randomisés, les séries de cas s’intéressant à la distraction osseuse symphysaire, dont l’échantillon de patients est supérieur ou égal à dix, ont été recherchés sur Pubmed/Medline et Cochrane sur les vingt dernières années. Resultats : Sur les 92 articles trouvés, 25 articles répondaient aux critères d’inclusion. Un essai contrôlé a été retenu, mais aucun essai contrôlé randomisé. Les autres études sont toutes des séries de cas, seize de nature rétrospective, huit de nature prospective. Les distracteurs à ancrage osseux ou hybrids entraîneraient davantage de complications d’ordre parodontal et infectieux, ceci s’expliquant par la position vestibulaire du vérin. Les complications présentent, pour la plupart, un caractère bénin, la plus difficile à gérer restant la fracture du dispositive de distraction. La distraction osseuse symphysaire accroît la dimension transversal de façon efficace, fiable et durable et, paraît-il, sans effets délétères démontrés sur les ATM, et ce pour les trois types de distracteurs. Discussion : Le dispositif à appui dento-porté est à préconiser dans la majorité des cas, compte tenu de son ratio bénéfice/risque. De plus, il ne nécessite pas de seconde intervention chirurgicale pour son retrait. Conclusion : La distraction osseuse symphysaire serait une thérapeutique fiable, dont les limites exactes et la reproductibilité restent encore à définir à la lumière de futures études prospectives.


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